Enseignement supérieur de Management
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Qu'est-ce que le co-branding ?
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Qu’est-ce que le co-branding ?

Le co-branding désigne un partenariat entre marques pour valoriser une action commune de communication ou de marketing. L’opération de co-branding commence généralement par l’analyse de la clientèle-cible qui se doit être la même pour chaque marque. En second lieu, vient la contractualisation du partenariat qui indique de quelle façon, chacune des entreprises, va promouvoir son produit ou son service. La question peut aussi se poser de rajouter des référents : des célébrités comme des stars, des influenceurs ou toutes autres personnes pouvant avoir un impact sur l’acte d’achat des consommateurs. La décision de présenter ce co-branding, sous une même forme de support de communication ou de marketing est aussi essentielle. Enfin, il s’agit de décider d’un espace commun d’exploitation, le lieu où va s’afficher ce co-branding ou le contexte dans lequel vont se prendre les photographies immortalisant cet instant.

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Les métiers de la vente ont su s’adapter aux révolutions technologiques. Nous sommes passés d’un commercial 1.0 (porte-à-porte, rendez-vous en personne) à un commercial 4.0 intégrant data, IA et omnicanalité pour anticiper les besoins des clients et personnaliser leurs expériences. Pourtant, cette évolution n’a pas suffi à transformer l’image du commercial, encore souvent perçu comme un "tueur", obsédé par ses objectifs à court terme. Face à un malaise persistant dans la profession commerciale, l’éthique s’impose comme un levier clé de motivation et de performance. Une enquête menée en novembre 2024 révèle que les jeunes commerciaux perçoivent la démarche éthique comme un accélérateur de leur efficacité commerciale : • 84 % considèrent l’éthique comme un atout pour la vente, • 79 % pensent qu’elle est compatible avec l’atteinte des objectifs commerciaux. • 78 % indiquent que l’éthique est un enjeu pour leurs clients. • Or seuls 32 % ont reçu une formation dédiée. Si les entreprises veulent répondre aux attentes des nouvelles générations et restaurer l’image du métier, elles devront intégrer ces principes dans leurs pratiques, au-delà des discours. Des actions seront nécessaires pour rendre l’éthique crédible.
GIFFARD Pierre-Olivier - OMNES Education |
Alors que l’émotion suscitée dans le milieu de l’enseignement supérieur et de la recherche par la sortie du livre "Le Cube", de Claire Marchal, est retombée, et que deux propositions de loi continuent de porter le sujet de la régulation du privé lucratif dans le débat, "Le Grand Oral AEF info x Fnege" reçoit José Milano, PDG du groupe Omnes Education. À ses yeux, le secteur a besoin d’une "plus forte régulation", c’est-à-dire "des règles claires qui sont contrôlées", et doit aussi "mieux regarder les taux d’insertion professionnelle", comme le fait InserSup via la Déclaration sociale nominative, mais "jusqu’au bout" et "pour tout le monde".
CABY Jérôme - IAE Paris-Sorbonne Business School |
MILANO José - OMNES Education |
PIOVEZAN Sarah - FNEGE |
Ticket Restaurant, UpDéjeuner, Pluxee Restaurant, Resto Flash ou encore Swile … leur dénominateur commun : être une offre de titres-restaurant à destination des employeurs pour motiver et améliorer le bien-être de leurs utilisateurs et contribuer à l’efficacité des entreprises. Ils permettent à plus de 180 000 entreprises de proposer à leurs salariés de payer leurs repas dans les restaurants ou d’acheter des aliments immédiatement consommables. Considéré comme une amélioration du pouvoir d’achat pour 83 % des salariés, leur usage a été étendu aux produits alimentaires non directement consommables, depuis août 2022 et la loi dite « pouvoir d’achat ». Cependant, cette mesure, prolongée jusqu’à la fin 2026, pose la question de l’avenir du dispositif réglementaire du titre-restaurant et de ses caractéristiques : et si le titre-restaurant devenait un titre alimentaire, remettant en cause son objectif social associé à la pause repas du salarié, à laquelle participe financièrement son employeur et l’État ?
GIFFARD Pierre-Olivier - OMNES Education |
La digitalisation de l’hôtellerie exige une modernisation des services pour répondre aux attentes actuelles des clients. Cette étude qualitative, fondée sur des entretiens avec des professionnels et des consommateurs, révèle que les technologies digitales, à la fois traditionnelles et disruptives telles que les CRM, les applications mobiles, l’intelligence artificielle, et la réalité augmentée, enrichissent considérablement l’expérience client. Ces technologies, qui permettent des séjours personnalisés et immersifs, doivent être complétées par des interactions humaines afin d’optimiser l’expérience globale. L’étude met en avant la création de valeur par la personnalisation, l’automatisation, l’interaction, et le soin, tout en soulignant les défis liés à l’adoption technologique face à la diversité des attentes des clients.
YOUSSOFI Alexandra - OMNES Education |
JEANNOT Florence - OMNES Education |

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Cette recherche analyse la transformation digitale des entreprises industrielles sur le temps long, en s’appuyant sur le cas de l’industrie automobile. Elle montre que la digitalisation, amorcée depuis plusieurs décennies, s’inscrit dans une dynamique historique complexe. L’étude adopte une approche systémique et prospective, révélant six grandes périodes de co-évolution technologique. Elle souligne que la transformation digitale est à la fois continue et marquée par des ruptures, influencée par l’articulation produit-service-processus. L’ouvrage invite à repenser les stratégies digitales avec une approche intégrative, multidimensionnelle et interdisciplinaire, en valorisant l’expérience passée pour mieux accompagner les mutations futures.
FABBE-COSTES Nathalie - IAE Aix-Marseille Graduate School of Management |
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GIFFARD Pierre-Olivier - OMNES Education |
Si le prêt-à-porter crée de nombreux emplois, c’est aussi le quatrième secteur le plus destructeur du vivant. Pourquoi être à la mode est-il aussi important ? Comment passer d’une industrie qui pille les ressources à une mode respectueuse de la planète et des droits humains ? Comment influencer à long terme le comportement des consommateurs, les pratiques des entreprises et les responsabiliser ? Comment instaurer des modèles d’affaires durables ? Les sciences de gestion, et le marketing en particulier, ont un rôle majeur à jouer. Fondé sur un marketing durable transformateur, cet ouvrage apporte un éclairage approfondi sur le modèle de mode durable en pleine structuration, les enjeux du secteur, les freins et les perspectives. Relever ce défi d’ampleur passera avant tout par la formation des étudiants, futurs acteurs de cette industrie, et par la sensibilisation de tous les acteurs.
DEKHILI Sihem - ESSCA |
ACHABOU Mohamed Akli - IPAG Business School |
GUILLARD Valérie - FNEGE |
L’intelligence artificielle est omniprésente en entreprise, mais son usage reste souvent mal structuré. Notre recherche propose une méthodologie en quatre étapes pour cartographier les usages de l’IA et en évaluer les risques. Nous avons identifié trois catégories de risques : managériaux, organisationnels et juridiques. Nos résultats montrent que l’IA est souvent déployée sans vision globale, que les risques sont sous-évalués et qu’une gouvernance adaptée est essentielle. Nous recommandons aux entreprises de cartographier leurs usages, de réaliser des audits réguliers, de mettre en place un cadre de gouvernance clair et de former leurs équipes. L’objectif est de faire de l’IA un levier de transformation maîtrisé plutôt qu’une source de risques mal anticipés.
SCHOCH Patrice - EDC Business School |

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