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Qu’est-ce que les organismes de gestion de destination ?
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Qu’est-ce que les organismes de gestion de destination ?

Les Organismes de Gestion de Destination (OGD) interviennent au sein des destinations touristiques qui sont le lieu de la rencontre entre un projet d’expérience porté par les visiteurs et un projet de développement territorial porté les résidents, leurs élus et, bien entendu, des entreprises. Les OGD ont la responsabilité d’atteindre les objectifs de la politique publique tout en épousant la complexité de leur territoire qui se concrétise dans l’hétérogénéité de ses parties prenantes. En France, le concept d’OGD désigne essentiellement les offices de tourisme. Les travaux de recherche récents montrent par quels processus les OGD pilotent l’action collective territoriale. Au-delà de leurs missions légales, ils jouent le rôle central dans l’adaptation de leur destination aux mutations du secteur.

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Le management du tourisme s’appuie sur 3 grands types d’activités : l’étude de la façon selon laquelle les entreprises et les autres organisations touristiques telles que les institutions fonctionnent et sont agencées .; l’analyse de l’organisation des actions collectives sur les territoires qui permettent l’existence du phénomène touristique et le développement durable des territoires en lien avec les parties prenantes (notamment non-humaines) ; l’identification, la mise en valeur et la préservation du patrimoine territorial, dans sa diversité.
BOTTI Laurent - IAE Perpignan |
Les organisations artistiques et culturelles peuvent être considérées comme spécifiques du fait de leur mode de fonctionnement. D’une part ces organisations ont une dimension créative et font face à de l’incertitude dans leur processus de production comme dans le résultat de ce processus, et d’autre part elles font face à de multiples parties prenantes. Elles évoluent en effet à la croisée de plusieurs mondes auxquels sont associées diverses logiques.
VILLESÈQUE-DUBUS Fabienne - IAE Perpignan |
À quoi sert le contrôle de gestion ? À qui sert le contrôle de gestion ? Comment se « fabrique » un contrôle de gestion ? Cet ouvrage propose d’apporter des éléments de réponse à ces interrogations au travers de l’étude d’une organisation publique singulière : le Réseau de coopération et d’action culturelle français à l’étranger. Il invite à un voyage et offre une plongée dans un réseau culturel unique mais à vocation universelle, une organisation efficace mais en crise.
BENOIT Benjamin - IAE Perpignan |

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Bien que le développement de villes durables suscite un intérêt croissant, il subsiste un important déficit de connaissances concernant les choix logistiques concrets nécessaires à leur réalisation. Fondée sur une recherche ethnographique sur la logistique urbaine, cette étude examine comment les prestataires de services logistiques (PSL) relèvent les défis de la durabilité au sein de l'écosystème urbain, tout en répondant aux exigences d'efficacité de leur écosystème commercial. En repositionnant les prestataires de services logistiques comme un sous-écosystème imbriqué dans l'écosystème urbain plus large, l'article démontre comment les prestataires de services logistiques abordent habilement les complexités de l'environnement urbain et répondent aux pressions de leur écosystème commercial. Cette étude améliore considérablement la compréhension des enjeux sous-jacents qui affectent la durabilité de la logistique urbaine. Elle approfondit le concept de la logistique urbaine en tant que sous-écosystème au sein de l'écosystème urbain, en soulignant comment sa durabilité est liée à la structure de l'écosystème urbain. Du point de vue sociétal, cette recherche conceptualise la logistique urbaine comme une activité commerciale et un service social vital qui soutient le bien-être urbain. Les résultats suggèrent qu'il est nécessaire de poursuivre les recherches sur le rôle des acteurs de la logistique urbaine en tant que contributeurs clés de la durabilité urbaine.
DE TARRAGON Hugo - FNEGE |
Le commerce équitable promeut des échanges justes, basés sur un prix juste, des conditions de travail décentes, et des partenariats durables. Il vise à réduire les inégalités et sensibiliser les consommateurs, mais fait face à la concurrence de produits non labellisés et au manque de sensibilisation.
ARREOLA Fernanda - ESSCA |
La valeur, concept clé en économie, est définie selon plusieurs perspectives : la théorie de la valeur-travail (travail nécessaire à la production) et la notion d’utilité (utilité pour les autres). Aujourd’hui, la valeur est aussi perçue à travers des attributs tangibles (ex. : qualité de la caméra) et intangibles (ex. : confiance dans la marque), comme pour l’iPhone. La perception de cette valeur détermine le prix et la volonté de payer, ce qui influence les stratégies de tarification des entreprises.
ARREOLA Fernanda - ESSCA |
En français, la soutenabilité renvoie bien souvent à des enjeux essentiellement financiers, la soutenabilité de la dette étant par exemple une préoccupation à la fois politique et managériale. Pourtant, notre langue offre aussi une vision différente de la soutenabilité, au sens de ce qui peut être supporté. La soutenabilité est l’idée que les biens et services devraient être produits de telle manière qu’ils n’utilisent pas de ressources qui ne pourraient être remplacées et qui n’endommagent pas l’environnement. Il s’agit d’un développement qui peut être supporté par les limites sociétales et environnementales. L’organisation internationale de normalisation (ISO) a le même discours, faisant de la soutenabilité un état de l’ensemble des systèmes (environnementaux, sociaux, économiques) qui parviennent alors à satisfaire les besoins du présent sans que les générations futures ne soient empêchées de répondre aux leurs. La soutenabilité d’un pays ou d’une organisation est donc le but du développement durable.
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |

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