Dico du management

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03:16
Le risque de change est le danger financier lié aux variations des taux entre devises, affectant entreprises, investisseurs et particuliers dans leurs transactions internationales. Il peut impacter les revenus, les investissements ou les remboursements de prêts selon l'évolution des monnaies. On distingue le risque de transaction, de conversion et économique. Sa gestion repose sur des mécanismes internes (facturation, netting) ou externes (contrats à terme, options), avec un équilibre à trouver entre coût et protection.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
03:12
L’Anthropocène désigne une ère où les activités humaines altèrent profondément les équilibres de la planète, compromettant la vie sur Terre. Face à cette réalité, les entreprises doivent revoir urgemment leurs stratégies en intégrant les données biophysiques et climatiques. Pourtant, nombre d’entre elles continuent d’ignorer ces sciences, basant leurs plans sur des projections économiques déconnectées des contraintes écologiques. Ce décalage aggrave les déséquilibres planétaires, et ne plus intégrer les limites de la Terre relève désormais de l’inconscience stratégique.
GAUTHIER Thomas - emlyon business school |
02:44
La gouvernance multi-acteurs et multi-niveaux désigne un mode de gestion des politiques publiques et des projets complexes qui repose sur l’articulation entre différents échelons de décision (local, régional, national, voire international) et la coopération entre une diversité d’acteurs publics, privés et citoyens. Contrairement aux modèles de gouvernance centralisés ou cloisonnés, cette approche reconnaît que les défis contemporains – comme la transition écologique ou la gestion des crises sociales – nécessitent une coordination entre plusieurs niveaux d’autorité et une implication active des parties prenantes. Inspirée de Duit et Galaz (2008), elle permet d’articuler des ressources et compétences variées pour répondre à des enjeux complexes. Selon Emerson, Nabatchi et Balogh (2011), elle s’appuie sur des processus et structures collaboratives impliquant divers acteurs au-delà des frontières institutionnelles et sectorielles. Cette gouvernance combine une coopération horizontale, entre organisations d’un même niveau, et verticale, entre différents échelons. Son objectif est de dépasser les logiques cloisonnées, favoriser l’innovation et mieux répondre aux besoins des citoyens.
BERTHINIER-PONCET Anne - LIRSA-CNAM |
MICHELIN Émilie - LIRSA-CNAM |
RIVAL Madina - LIRSA-CNAM |
03:30
L’innovation publique collaborative désigne une approche de l’innovation dans le secteur public qui repose sur la coopération entre une diversité d’acteurs : administrations, citoyens, entreprises, associations et collectivités. L’innovation publique collaborative repose sur deux approches complémentaires : une dynamique top-down, où l’innovation est structurée et encadrée par des institutions et une dynamique bottom-up, où l’innovation émerge du terrain grâce aux agents publics et citoyens. Elle s’appuie sur quatre fondamentaux : des objectifs communs, une vision partagée, la création de connaissances sociales et une gouvernance multi-acteurs et multi-niveaux. L’innovation publique collaborative crée de la valeur publique, reposant sur le leadership de certains acteurs, le dépassement des frontières organisationnelles et l’adaptation des services publics aux besoins réels des usagers.
MICHELIN Émilie - LIRSA-CNAM |
RIVAL Madina - LIRSA-CNAM |
BERTHINIER-PONCET Anne - LIRSA-CNAM |
03:44
La confusion du consommateur désigne un état d’incertitude cognitive qui perturbe la prise de décision d’achat. Elle peut être causée par une surcharge d’informations, un manque de clarté ou des messages ambigus. Ce phénomène entraîne des réactions cognitives, affectives et comportementales, telles que le stress, la frustration, le report ou l’abandon d’achat. Il a aussi des effets négatifs sur la satisfaction, la fidélité et la performance marketing. Pour y remédier, les entreprises doivent clarifier leurs offres et simplifier leur communication.
BENHISSI Maali - EDC Business School |
03:49
Le Contrat psychologique (PCO, Psychological Contract in Organizations) est une théorie et une méthode qui permet de mieux comprendre pourquoi, face à un même événement, certains percevront une violation contractuelle et d’autres, un simple ajustement. Fondé fin 1990 aux Etats-Unis, ces travaux en comportement organisationnel se développent dans les pays francophones à partir de leur traduction/adaptation en 2015. Le PCO décrit la complexité et la varité des engagements organisationnels : il est idiosyncrasique (personnel et biographique) mais aussi normatif, c’est-à-dire partagé par plusieurs individus dans une profession ; il est relationnel lorsque l’enjeu vise absolument à maintenir l’engagement ou à l’inverse purement transactionnel. Face aux problématiques de RSE (responsabilité sociétale des entreprises), respecter et gérer ces formes d’engagement contractuel améliorent la vie organisationnelle.
DE ROZARIO Pascale - LIRSA-CNAM |
03:19
Les Objectifs de Développement Durable (ODD) sont 17 objectifs adoptés en 2015 par les Nations Unies afin de répondre simultanément aux défis économiques, sociaux et environnementaux mondiaux à l’horizon 2030. Ils couvrent un large éventail d'enjeux tels que l’élimination de la pauvreté, l’accès universel à une éducation de qualité, la préservation des écosystèmes, la gestion durable des ressources ou encore la lutte contre le changement climatique. Pour les entreprises, adopter les ODD représente une opportunité stratégique majeure : cela permet de renforcer leur responsabilité sociale et environnementale, d'améliorer leur image de marque, d'attirer des investisseurs soucieux d’éthique, tout en assurant leur performance économique sur le long terme. Toutefois, réussir cette intégration implique un engagement fort et une réelle mobilisation de tous les acteurs internes et externes à l'entreprise.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
03:07
Le coût de revient correspond à la somme de tous les coûts engagés pour produire un bien ou fournir un service. Il inclut les coûts directs (matières premières, main-d'œuvre spécifique) et indirects (frais généraux comme loyer, administration, amortissements). C’est un indicateur essentiel pour déterminer le prix de vente et analyser la rentabilité. Calculer précisément ce coût présente des défis, notamment la répartition des charges indirectes, la fluctuation régulière des prix des ressources, et les coûts cachés. Une maîtrise du coût de revient permet une meilleure gestion des ressources, favorisant la compétitivité et la pérennité de l’entreprise.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
03:32
L’amortissement est une notion comptable essentielle permettant de répartir progressivement le coût d'une immobilisation sur sa durée d’utilisation. Il traduit la perte de valeur d’un actif liée à son usure physique, son obsolescence technique ou l'écoulement du temps. Trois méthodes principales existent : l'amortissement linéaire (charges égales chaque année), dégressif (charges élevées au début, diminuant progressivement) et par unités d’œuvre (charges selon l’usage réel). L’amortissement assure une présentation fidèle des résultats financiers de l'entreprise et permet d’anticiper le renouvellement des investissements, contribuant ainsi à une gestion stratégique optimale des ressources.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
03:25
Cette vidéo définit la notion de productivité et ses modes de calcul. Elle présente également les limites de cet indicateur.
BERNIER-KHEDACHE Salomon - IAE Paris-Est |
DESCHAINTRE Stéphane - FNEGE |
03:32
Cette vidéo définit l’évaluation de l’impact social et insiste sur son actualité. Elle met ensuite en avant les difficultés de sa mise en place dans les organisations et plus globalement, les enjeux plus macro qu’elle recouvre.
BERNIER-KHEDACHE Salomon - IAE Paris-Est |
BOUDEN Inès - IAE Paris-Est |
03:05
La problématique contemporaine du contrôle interne est celle de la qualité de son management. Certaines organisations souffrent d’un sous contrôle interne, qui ne permet pas de maîtriser les risques. D’autres, notamment dans le secteur public, d’un sur contrôle interne, dont la bureaucratie, l’excès de procédures, ou de leur utilisation déviante sont alors les symptômes. Ces défauts de management entraînant des coûts cachés gigantesques pouvant menacer la survie-développement de l’organisation. Quelles sont alors les clés d’un bon management du système de contrôle interne ? Il y en a deux essentielles : - la qualité de l’identification des risques via une cartographie des risques pertinentes et stimulantes, pour laquelle l’IA et les coûts-performances peuvent aider ; - la qualité de l’intégration des normes au sens large – celles imposées (comme les lois) ou celles créées (comme les procédures) pour maîtriser les risques – par le potentiel humain en charge de les faire vivre, et qui renvoie fondamentalement à l’humain et son comportement.
CAPPELLETTI Laurent - LIRSA-CNAM |