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03:18
L’intelligence artificielle conversationnelle s’impose dans le e-commerce, utilisée par plus de 30 % des consommateurs français, avec une forte croissance depuis 2024. Des marques comme Zalando ou Carrefour exploitent ces technologies pour recommander des produits et assister les clients. Ce mémoire analyse l’impact de ces chatbots sur la confiance et l’adoption des recommandations à travers une enquête quantitative auprès de 235 consommateurs. Les résultats montrent que l’utilité perçue est le principal facteur d’adhésion : plus le chatbot est jugé utile (gain de temps, simplification du choix), plus ses conseils sont suivis. Cette utilité dépend néanmoins de la qualité de l’interaction et de la confiance accordée. Pour les entreprises, la réussite repose sur une personnalisation progressive, une évaluation de l’efficacité réelle et une transparence totale sur le fonctionnement du chatbot. Bien conçu, celui-ci peut devenir un véritable conseiller virtuel, aussi fiable et attentif qu’un vendeur humain, mais disponible en permanence.
OUACHKRADI Nahla - IAE Lille |
PIOVEZAN Sarah - AEF Info |
RAMANANTSOA Bernard - FNEGE |
DE MIOLLIS Stéphane - FNEGE |
Les organisations utilisent l'IA dans leurs processus de recrutement de plus en plus souvent, mais la perception éthique de ces processus semble mitigée. Face à une telle diversité de perceptions de l'IA dans le recrutement, il est essentiel de comprendre l'impact de ces perceptions sur les organisations qui l'utilisent. Nous analysons le lien entre les perceptions éthiques de l'utilisation de l'IA dans le recrutement et les perceptions d'attractivité et d'innovation des organisations. Nos résultats indiquent que ces perceptions éthiques sont positivement corrélées à la perception d'attractivité des organisations, directement et indirectement via les perceptions d'innovation, avec des variations selon la méthode de recrutement utilisée. Par exemple, nous constatons que les personnes qui considèrent comme éthique pour les organisations d'utiliser l'IA de manières souvent considérées comme attentatoires à la vie privée, comme l'analyse du contenu des réseaux sociaux, perçoivent ces organisations comme plus innovantes et plus attractives.
FIGUEROA-ARMIJOS Maria - FNEGE |
03:19
Les organisations utilisent l'IA dans leurs processus de recrutement de plus en plus souvent, mais la perception éthique de ces processus semble mitigée. Face à une telle diversité de perceptions de l'IA dans le recrutement, il est essentiel de comprendre l'impact de ces perceptions sur les organisations qui l'utilisent. Nous analysons le lien entre les perceptions éthiques de l'utilisation de l'IA dans le recrutement et les perceptions d'attractivité et d'innovation des organisations. Nos résultats indiquent que ces perceptions éthiques sont positivement corrélées à la perception d'attractivité des organisations, directement et indirectement via les perceptions d'innovation, avec des variations selon la méthode de recrutement utilisée. Par exemple, nous constatons que les personnes qui considèrent comme éthique pour les organisations d'utiliser l'IA de manières souvent considérées comme attentatoires à la vie privée, comme l'analyse du contenu des réseaux sociaux, perçoivent ces organisations comme plus innovantes et plus attractives.
FIGUEROA-ARMIJOS Maria - FNEGE |
Cette recherche aborde un domaine négligé dans la littérature en entrepreneuriat : celui des entrepreneurs du quotidien — ces « modestes acteurs du changement ». Se concentrant sur le secteur du vin biologique en France, cette étude cherche à comprendre comment la digitalisation, souvent perçue comme un univers réservé aux start-up de la tech, pouvait impacter la performance de ces petits entrepreneurs. Les données financières de 66 producteurs de vin biologique ayant rejoint une plateforme numérique, ont été analysées et comparées sur une décennie à un groupe de contrôle qui n’avait pas franchi ce pas. Les résultats sont significatifs. Après avoir rejoint la plateforme, les vignerons du groupe cible ont vu leur chiffre d’affaires augmenter de 10,1 % par rapport au groupe de contrôle. Leur rentabilité s’est également améliorée. Fait encore plus marquant, cette croissance s’est faite à ressources constantes. Cette performance signe là l’essence même de leur stratégie : le bricolage numérique.
BONCORI Anne-Laure - OMNES Education |
03:50
Cette recherche aborde un domaine négligé dans la littérature en entrepreneuriat : celui des entrepreneurs du quotidien — ces « modestes acteurs du changement ». Se concentrant sur le secteur du vin biologique en France, cette étude cherche à comprendre comment la digitalisation, souvent perçue comme un univers réservé aux start-up de la tech, pouvait impacter la performance de ces petits entrepreneurs. Les données financières de 66 producteurs de vin biologique ayant rejoint une plateforme numérique, ont été analysées et comparées sur une décennie à un groupe de contrôle qui n’avait pas franchi ce pas. Les résultats sont significatifs. Après avoir rejoint la plateforme, les vignerons du groupe cible ont vu leur chiffre d’affaires augmenter de 10,1 % par rapport au groupe de contrôle. Leur rentabilité s’est également améliorée. Fait encore plus marquant, cette croissance s’est faite à ressources constantes. Cette performance signe là l’essence même de leur stratégie : le bricolage numérique.
BONCORI Anne-Laure - OMNES Education |
Cette étude analyse 2 986 entreprises d’Amérique latine (2009–2017, base LAIS) pour comprendre comment les collaborations universités–entreprises influencent le lien entre dépenses d’innovation et résultats d’innovation. Les résultats montrent (1) une relation positive entre dépenses et résultats, et (2) un effet modérateur significatif de la collaboration universitaire : à budget équivalent, les entreprises partenaires des universités obtiennent davantage d’innovations. La qualité des partenariats compte autant que leur existence. Implications : structurer la coopération (objectifs, IP), investir dans le capital humain, et mobiliser les ressources académiques comme amplificateurs de capacité.
PLATA Carlos - EM Normandie |
02:38
Cette étude analyse 2 986 entreprises d’Amérique latine (2009–2017, base LAIS) pour comprendre comment les collaborations universités–entreprises influencent le lien entre dépenses d’innovation et résultats d’innovation. Les résultats montrent (1) une relation positive entre dépenses et résultats, et (2) un effet modérateur significatif de la collaboration universitaire : à budget équivalent, les entreprises partenaires des universités obtiennent davantage d’innovations. La qualité des partenariats compte autant que leur existence. Implications : structurer la coopération (objectifs, IP), investir dans le capital humain, et mobiliser les ressources académiques comme amplificateurs de capacité.
PLATA Carlos - EM Normandie |
Les entreprises investissent massivement en R&D, mais l’impact reste parfois inégal. Travailler avec les universités aide à passer des idées aux solutions utiles—non seulement via les brevets ou les équipements, mais grâce à la dimension humaine des connaissances. Un langage partagé, des routines simples et un apprentissage conjoint alignent les équipes et évitent les retours en arrière. En co-concevant le cahier des charges, en libérant un peu de temps aux chercheurs et en s’appuyant sur un soutien juridique et de gestion de projet solide, la collaboration avance mieux. Le prestige peut ouvrir la première porte, mais la valeur naît du travail quotidien ensemble : adoption plus rapide, processus améliorés, compétences qui restent dans l’entreprise. Quand les universités reconnaissent et valorisent ces résultats, les partenariats se renforcent. En bref : investir dans la relation qui porte le savoir-faire sécurise et améliore le rendement de la R&D.
PLATA Carlos - EM Normandie |
04:30
Companies invest heavily in R&D, yet results can be uneven. Working with universities helps ideas move from plans to usable solutions—not only through patents or equipment, but through the human side of knowledge. When teams share language, simple routines, and learn together, they frame the problem the same way and avoid rework. Starting with a co-designed brief, giving academics a bit of protected time, and backing the project with capable legal and project-management support keep collaborations on track. Prestige may open the first door, but everyday joint work creates the real value: faster adoption, better processes, and skills that stay inside the firm. When universities recognise and reward these outcomes, partnerships deepen. The takeaway is simple: invest in the relationship that carries know-how, and R&D pays off more reliably.
PLATA Carlos - EM Normandie |
03:08
Cette recherche vise à mieux comprendre : le contenu des échanges entre les membres afin de déchiffrer la nature de leur haine, la structure organisationnelle et sociale en place afin d'identifier les jeux d'influence et la force des liens entre les membres, ainsi que l'intensité de la haine des membres et les comportements correspondant à chaque niveau. Une approche netnographique a été mise en œuvre au sein de deux communautés virtuelles françaises anti-marques. Au total, 1 000 verbatims provenant de chaque communauté ont été analysés. Au-delà de la catégorisation des publications des membres en quatre catégories, basée sur les travaux de Fetscherin (2019) et Granovetter (1973), nous mettons en évidence, d'une part, un nouveau niveau de haine (haine figée) qui se traduit par des grognements silencieux et, d'autre part, que la force des liens sociaux dépend du secteur d'activité de la marque ciblée. L'intérêt fondamental de cette recherche réside dans sa capacité à démontrer que les communautés virtuelles anti-marques s'auto-organisent, développant une forme de propagande qui favorise la haine des membres envers la marque, mais aussi la solidarité entre eux pour compenser les défaillances de la marque. Par ailleurs, ces communautés pourraient agir comme des lanceurs d'alerte et appeler les pouvoirs publics à contraindre les entreprises à améliorer la qualité de leurs services.
BUFFAZ Pierre - EDC Business School |
Pourquoi parler du handicap au travail ? Le handicap concerne 30% de la population, souvent invisible et peu abordé. Pourtant, parler ouvertement du handicap en entreprise favorise l’inclusion et améliore l’accessibilité pour tous grâce à l’effet “curb-cut”. Découvrez pourquoi chaque effort compte pour créer un environnement de travail plus juste et accueillant.
STARZYK Anita - NEOMA Business School |