Coping with the unpredictable by developing the team’s plasticity

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When time is of the essence and teams face unexpected contextual changes, they must adapt quickly, sometimes even in real time, that is, they may have to improvise.  This paper adopts an inductive approach to explore how teams decide to engage in improvised adaptation, and what happens during those processes for improvisation to be successful. The study analyzes improvisation from the perspective of paradox theory and identifies six paradoxical tensions driven by these contexts: deployment, development, temporal, procedural, structural, and behavioral tensions. We propose a dynamic equilibrium model of team improvised adaptation that leads to team plasticity. By properly managing the paradoxical tensions emerging from the convergence of design and execution, teams become more plastic and able to cope with sudden change. These findings contribute to adaptation and improvisation literatures by delving into the adaptation process under the temporal and material confluence of design and execution.

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Cette vidéo présente les travaux de Quentin Plantec (TBS Education), menés avec Pascal Le Masson et Benoît Weil (Mines Paris – PSL), sur un enjeu stratégique : repenser les relations entre science et industrie à l’heure des grandes transitions. À partir de l’ouvrage Science et industrie à l’aune du double impact, elle introduit un nouveau modèle de collaboration : le couplage à double impact simultané. Rompant avec la logique de transfert linéaire, ce modèle propose une co-émergence des percées scientifiques et des innovations industrielles. Fondé sur la théorie C-K et illustré par des cas emblématiques (prix Nobel, ARPA-E, CIFRE…), il souligne les conditions de cette dynamique : indépendance, échanges intenses, et complémentarité des logiques. La vidéo propose ainsi une nouvelle lecture des relations science-industrie, au service d’un impact à la fois scientifique et sociétal.
PLANTEC Quentin - TBS Education |
04:08
Ce cas est un exercice d'analyse de "gestion de crise" centré sur les dimensions humaines et managériales des défis organisationnels. Il permet d’introduire un statut spécifique de société : la SCOP. L'histoire centenaire de Duralex, fleuron de l'industrie verrière française, véritable success story, offre un terrain d'étude pertinent pour examiner comment les enjeux de ressources humaines et de management sont au cœur de la capacité d'une entreprise à traverser des crises et à se transformer. Ce cas met en lumière comment les décisions managériales et les pratiques RH peuvent soit exacerber les crises, soit contribuer à les surmonter. Il souligne l'importance cruciale du facteur humain dans la gestion du changement et la pérennité de l'entreprise. En découvrant les différentes phases de l'histoire de Duralex, de son âge d'or à ses périodes de turbulence, jusqu'à sa récente transformation en SCOP, les étudiants découvriront les multiples facettes du management en situation de crise. Ils seront invités à réfléchir sur les compétences de leadership nécessaires pour naviguer dans des environnements incertains et sur les stratégies RH permettant de maintenir la cohésion et la performance d'une organisation en pleine mutation.
DIARD Caroline - TBS Education |
MEIER Olivier - Université Paris Est IUTSF Sénart |
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La taxonomie des compétences cognitives du World Economic Forum (WEF) s’inscrit dans le cadre de son initiative « Révolution des qualifications à l’horizon 2030 ». Ce projet souligne l’importance croissante des compétences cognitives pour les entreprises et distingue plusieurs grandes catégories : compétences, connaissances, aptitudes et attitudes. Les compétences cognitives se répartissent en trois catégories principales : créativité et résolution de problèmes (pensée analytique, systémique, créative), mathématiques et pensée statistique (calcul, estimation, modélisation), et communication orale et écrite (lecture, rédaction, langues étrangères). Ces compétences sont intégrées dans les formations doctorales et DBA grâce à une pédagogie par l’action visant à améliorer la prise de décision
THION Stéphane - TBS Education |
02:58
Dans un monde complexe et incertain, les décisions sont souvent biaisées par un excès de confiance, des erreurs de jugement et une mémoire influencée par la désirabilité des résultats, selon John Sterman. Inspirée des travaux de Forrester, la pensée systémique permet de comprendre comment les éléments interagissent au sein d’un système global, plutôt que de les traiter isolément. Elle aide à éviter les effets secondaires imprévus et à trouver des solutions durables. De plus en plus prisée par les entreprises, elle est enseignée dans certains doctorats et DBA pour préparer les décideurs à mieux appréhender cette complexité.
THION Stéphane - TBS Education |

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PLANTEC Quentin - TBS Education |
Cet article propose un agenda de recherche sur les stratégies internationales des entreprises combinant innovation et développement durable face aux menaces globales comme le changement climatique. À travers une revue systématique de la littérature, nous identifions les tensions organisationnelles majeures : court terme contre long terme, standardisation contre adaptation locale, et collaboration contre concurrence. L'article appelle à approfondir les recherches sur la gestion de ces tensions et leurs impacts sur l’innovation et la transformation organisationnelle. Il recommande aussi une approche multiniveau intégrant les acteurs internes et externes, et insiste sur l'importance d’études qualitatives pour comprendre les dynamiques décisionnelles et interculturelles.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
NEUKAM Marion - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
La gouvernance multi-acteurs et multi-niveaux désigne un mode de gestion des politiques publiques et des projets complexes qui repose sur l’articulation entre différents échelons de décision (local, régional, national, voire international) et la coopération entre une diversité d’acteurs publics, privés et citoyens. Contrairement aux modèles de gouvernance centralisés ou cloisonnés, cette approche reconnaît que les défis contemporains – comme la transition écologique ou la gestion des crises sociales – nécessitent une coordination entre plusieurs niveaux d’autorité et une implication active des parties prenantes. Inspirée de Duit et Galaz (2008), elle permet d’articuler des ressources et compétences variées pour répondre à des enjeux complexes. Selon Emerson, Nabatchi et Balogh (2011), elle s’appuie sur des processus et structures collaboratives impliquant divers acteurs au-delà des frontières institutionnelles et sectorielles. Cette gouvernance combine une coopération horizontale, entre organisations d’un même niveau, et verticale, entre différents échelons. Son objectif est de dépasser les logiques cloisonnées, favoriser l’innovation et mieux répondre aux besoins des citoyens.
BERTHINIER-PONCET Anne - LIRSA-CNAM |
MICHELIN Émilie - LIRSA-CNAM |
RIVAL Madina - LIRSA-CNAM |
L’innovation publique collaborative désigne une approche de l’innovation dans le secteur public qui repose sur la coopération entre une diversité d’acteurs : administrations, citoyens, entreprises, associations et collectivités. L’innovation publique collaborative repose sur deux approches complémentaires : une dynamique top-down, où l’innovation est structurée et encadrée par des institutions et une dynamique bottom-up, où l’innovation émerge du terrain grâce aux agents publics et citoyens. Elle s’appuie sur quatre fondamentaux : des objectifs communs, une vision partagée, la création de connaissances sociales et une gouvernance multi-acteurs et multi-niveaux. L’innovation publique collaborative crée de la valeur publique, reposant sur le leadership de certains acteurs, le dépassement des frontières organisationnelles et l’adaptation des services publics aux besoins réels des usagers.
BERTHINIER-PONCET Anne - LIRSA-CNAM |
MICHELIN Émilie - LIRSA-CNAM |
RIVAL Madina - LIRSA-CNAM |

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