Triple Bottom Line Performance in Post Covid B2B Marketing

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The Triple Bottom Line (TBL) concept emphasizes that business success should not be measured solely by financial performance. It includes social and environmental impacts alongside profit. Additionally, dynamic capabilities help firms adapt to rapid environmental changes and enhance sustainability performance. Previous studies have shown that TBL initiatives can also improve sustainability performance. However, no research has investigated how dynamic abilities and TBL initiatives jointly impact B2B firms’ sustainability performance in the post-COVID-19 period. This study aims to examine the implications of dynamic capabilities on TBL performance, particularly from a B2B marketing perspective. By developing and validating a conceptual research model, it contributes to the literature related to dynamic capability view, TBL, and sustainability.

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05:01
We disaggregate the notion of ‘politics of internationalization’ through identification of a set of distinct dimensions in which politics affect firm internationalization. We find that EMNE strategies are becoming more entangled with those of governments, political parties, lobbyists, and other formal and informal institutions. In emerging economies, the state often plays a relatively active role in the economy, and EMNE strategies are more conditioned by politics, policies, and non-market considerations. We argue that the ability to leverage politics is becoming more important for the competitive advantage of EMNEs, and firms are increasingly engaging in political activities through nonmarket strategies.
PANIBRATOV Andrei - EMLV |
03:03
The sociomaterial lens within IS research holds that agency should not be considered as a property solely of humans, or of technology, but instead arises from an emergent interaction between the two. This, emergent, account of agency deepens our understanding of unfolding IS practice, but its largely cognitive orientation remains naïve towards affectively-sensed motivations that also form part of this interaction. By implication, a sociomaterial perspective lacking an affective dimension offers an incomplete conceptualisation of information systems. In response, an affectively-informed negative ontology encourages IS researchers to extend their focus beyond the visible, to encompass how actors' receptiveness towards material objects (discourses, technologies) is shaped by deep, affectively-derived motivations of which they are not focally aware, but which nonetheless acquire agency in contributing to a sociomaterial outcome. A central argument, and illustrative empirical vignette, demonstrate how the concepts of sociomateriality, affect, and negative ontology combine to offer researchers an enhanced understanding of relational agency. A discussion follows, exploring some initial ontological, epistemological and methodological implications of an affectively-informed negative ontology for IS research.
PIGNOT Edouard - EMLV |
06:03
Digital technologies can create confusion among donors in the humanitarian supply chain (HSC), leading to uncertainty about their use. While resilience in HSCs has been widely studied, antifragility has not. This study examines how donor confidence in digital technologies impacts antifragility in HSCs through their application in sourcing, material flow, and distribution, with trust in digital technologies and perceived effective digital technology governance as moderating factors. Using resource dependence theory, data from 296 NGOs were analyzed with partial least squares–based structural equation modeling (PLS-SEM). The findings show that digital technology application is crucial for building an antifragile HSC and that donor confidence and trust in digital technologies are essential. NGOs should focus on enhancing trust and governance perception to facilitate digital transformation in HSCs.
BAG Surajit - EMLV |
02:54
When investors hold disproportionately high carbon emitters with associated increased carbon risk, a positive relationship exists between a firm's carbon emissions and the association between the stock returns and dividend payment. If investors hold disproportionately high carbon emitters with the associated increased carbon risk stocks, the stock market reacts less positively (more negatively) to dividend increase (decrease) announcements. At the same time, if firms under-price their carbon risk, the stock market reacts less positively (more negatively) to dividend increase (decrease) announcements.
NGUYEN Duc Khuong - EMLV |

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Bien que le développement de villes durables suscite un intérêt croissant, il subsiste un important déficit de connaissances concernant les choix logistiques concrets nécessaires à leur réalisation. Fondée sur une recherche ethnographique sur la logistique urbaine, cette étude examine comment les prestataires de services logistiques (PSL) relèvent les défis de la durabilité au sein de l'écosystème urbain, tout en répondant aux exigences d'efficacité de leur écosystème commercial. En repositionnant les prestataires de services logistiques comme un sous-écosystème imbriqué dans l'écosystème urbain plus large, l'article démontre comment les prestataires de services logistiques abordent habilement les complexités de l'environnement urbain et répondent aux pressions de leur écosystème commercial. Cette étude améliore considérablement la compréhension des enjeux sous-jacents qui affectent la durabilité de la logistique urbaine. Elle approfondit le concept de la logistique urbaine en tant que sous-écosystème au sein de l'écosystème urbain, en soulignant comment sa durabilité est liée à la structure de l'écosystème urbain. Du point de vue sociétal, cette recherche conceptualise la logistique urbaine comme une activité commerciale et un service social vital qui soutient le bien-être urbain. Les résultats suggèrent qu'il est nécessaire de poursuivre les recherches sur le rôle des acteurs de la logistique urbaine en tant que contributeurs clés de la durabilité urbaine.
DE TARRAGON Hugo - FNEGE |
La valeur, concept clé en économie, est définie selon plusieurs perspectives : la théorie de la valeur-travail (travail nécessaire à la production) et la notion d’utilité (utilité pour les autres). Aujourd’hui, la valeur est aussi perçue à travers des attributs tangibles (ex. : qualité de la caméra) et intangibles (ex. : confiance dans la marque), comme pour l’iPhone. La perception de cette valeur détermine le prix et la volonté de payer, ce qui influence les stratégies de tarification des entreprises.
ARREOLA Fernanda - ESSCA |
En français, la soutenabilité renvoie bien souvent à des enjeux essentiellement financiers, la soutenabilité de la dette étant par exemple une préoccupation à la fois politique et managériale. Pourtant, notre langue offre aussi une vision différente de la soutenabilité, au sens de ce qui peut être supporté. La soutenabilité est l’idée que les biens et services devraient être produits de telle manière qu’ils n’utilisent pas de ressources qui ne pourraient être remplacées et qui n’endommagent pas l’environnement. Il s’agit d’un développement qui peut être supporté par les limites sociétales et environnementales. L’organisation internationale de normalisation (ISO) a le même discours, faisant de la soutenabilité un état de l’ensemble des systèmes (environnementaux, sociaux, économiques) qui parviennent alors à satisfaire les besoins du présent sans que les générations futures ne soient empêchées de répondre aux leurs. La soutenabilité d’un pays ou d’une organisation est donc le but du développement durable.
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |
La responsabilité sociétale des organisations se diffuse à l’ensemble des entités, privées comme publiques. Cette situation conduit aujourd’hui les associations loi 1901 à également penser leur responsabilité sociétale. Trop souvent plaquée sur celle des entreprises, elle doit être cadrée dans le contexte spécifique des associations. La responsabilité sociétale des associations est en premier lieu de s’assurer que la mission et les valeurs se diffusent dans toute l’organisation. Il s’agit ensuite de demeurer en conformité avec la loi, pour survivre, tout simplement. La responsabilité des associations porte également sur un certain nombre d’aspects de réédition des comptes et de transparence vis-à-vis de la performance de l’organisation dans sa vie quotidienne. Il s’agit aussi d’avoir un comportement éthique à la tête de l’association comme sur le terrain. Plus globalement, les associations peuvent se montrer exemplaires, d’abord parce qu’elles ont un rôle de politisation fondamental et donc un rôle citoyen, mais aussi parce qu’elles peuvent être motrices de l’innovation sociétale.
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |

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