Recherche par mots clés

Recherche par mots clés

Établissements

Établissements

Auteurs

Auteurs

Thématiques

Thématiques

Formats

Formats

Types de média

Types de média

Dico du management

Dico du management

Trier par

Trier par
08:43
Intervention lors de la conférence FNEGE-PwC du 6 juin 2019 « Cybersécurité & Management – L’affaire de tous : du technicien au manager… » Aujourd’hui, le critère principal des hackers pour attaquer une entreprise n’est plus sa taille mais sa compétitivité. Dès lors, une petite PME très performante a beaucoup plus de chance de se faire attaquer qu’un grand groupe sans compétitivité. La recherche identifie quatre postes très stratégiques qui sont les plus attaqués dans une entreprise : le Directeur Administratif et Financier, le Directeur Général, le Directeur Commercial et le Directeur R&D. Rémy FEVRIER présente 3 cas d’attaques très courantes en entreprise, qui passent par des outils que nous utilisons au quotidien (photocopieur, Facebook…).
FEVRIER Rémy - FNEGE |
08:37
Résultats d’une étude sur le comportement de cybersécurité Intervention lors de la conférence FNEGE-PwC du 6 juin 2019 "Cybersécurité & Management - L’affaire de tous : du technicien au manager…" Le facteur humain est le maillon faible de la cybersécurité. En effet, près d’un tiers des Français ne se sentent pas capables de se projeter contre les cyber-attaques.
VENARD Bertrand - FNEGE |
05:09
Film industry experts are constantly debating whether the industry’s huge investments in movie stars are profitable. In order to make empirical generalizations, the authors (1) provide a meta-analysis of the relationship between the power of stars and the success of films and (2) analyze a complete dataset of this industry with n=1,545 films. Based on these two studies, four empirical generalizations emerge. First, when we ignore the effects of star selection, the impact of star power on box office revenues is strongly biased upwards. Second, the artistic star power (cf. commercial) is associated with significantly lower box office revenues. Third, on average, films with a commercial star (cf. without a commercial star) generate US$12.46 million in additional box office revenues. In contrast, artistic stardom does not result in a statistically significant increase in revenues. Fourth, commercially successful (artistic) stars have a statistically significant "multiplier effect" of 1.127 (1.083) on other characteristics that influence a film’s revenue.
HOFMANN Julian - EM Normandie |
05:08
Jean-Marc JANAILLAC, Président de la FNEGE, s’entretient en vidéo avec Thibault LIEURADE pour échanger sur les missions de son mandat à la Fondation. Le Président revient tout d’abord sur les différentes raisons qui l’ont motivé à accepter cette mission.
JANAILLAC Jean-Marc - FNEGE |
05:10
L’internet des objets devrait être la prochaine phase de la révolution numérique qui va transformer la vie des consommateurs. Il soulève néanmoins des défis. Fondé sur le cadre théorique de Ram et Sheth (1989), ce travail tente de mieux comprendre les faceturs de résistance des consommateurs aux services intelligents en tant qu’innovation. À cette fin, notre recherche adopte un cadre intégratif combinant des barrières fonctionnelles, des barrières psychologiques et des barrières individuelles. Notre recherche enrichit la littérature existante en (1) adaptant le cadre théorique de Ram et Sheth (1989) à l'évolution des technologies numériques (barrières de vulnérabilité technologique), (2) en prenant en compte l'aspect idéologique de la résistance (barrières idéologiques), et (3 ) en prenant en compte les variables disposionnelles (barrières individuelles). En outre, il souligne le rôle clé du scepticisme à l'égard des appareils IoT en tant que médiateur entre les barrières de vulnérabilité technologique et les barrières individuelles, d'une part, et la résistance des consommateurs aux services intelligents, de l'autre. The Internet of Things (IoT) is expected to be the next phase of the Internet revolution and to transform consumers’ service experience. It nevertheless raises challenges on innovation in services. Based on Ram and Sheth’s (1989) theoretical framework, this work attempts to provide a better understanding of the barriers that lead to consumers’ resistance to smart services as an innovation. To this end, our research adopts an integrative framework that combines functional barriers, psychological barriers, and individual barriers to explain consumer resistance to smart services. Structural equation modeling was used to test this theoretical framework. Our research enriches the existing literature by (1) adapting Ram and Sheth’s (1989) theoretical framework to the evolution of digital technologies (technological vulnerability barriers), (2) taking into account the ideological aspect of resistance (ideological barriers), and (3) considering dispositional variables (individual barriers). Moreover, it highlights the key role of skepticism toward IoT devices as a mediator between technological vulnerability barriers and individual barriers on the one hand and consumer resistance to smart services on the other.
MANI Zied - FNEGE |
CHOUK Inès - FNEGE |
05:08
A l’ère post-industrielle, le capital intellectuel sous la forme du capital humain, structurel, ou relationnel est devenu un facteur crucial pour la performance à long terme des entreprises. Les recherches antérieures ont étudié la relation entre les différents composants du capital immatériel et la performance financière isolément les uns des autres, et même si la relation est positive dans l’ensemble, elle n’est pas si claire que cela. Une méta-analyse de 75 études empiriques de 1975 à 2017 montre que les différents composants du capital intellectuel n’influencent pas la performance financière dans les mêmes proportions. Cette recherche souligne que certains composants sont interreliés ensemble dans leur relation avec la performance financière. Cette recherche pose les bases d’un agenda de recherche articulé autour de quatre directions : (1) identifier et classer les composants du capital immatériel, (2) comprendre l’orchestration des composants du capital immatériel, (3) améliorer les indicateurs de mesure et les sysèmes de management du capital immatériel et (4) améliorer la compréhension de la création de valeur par la communication extra-financière.
ALBERTINI Elisabeth - IAE Paris-Sorbonne Business School |
BERGER-REMY Fabienne - IAE Paris-Sorbonne Business School |
03:50
Arrivée en France il y a un peu plus de dix ans, la gestion de la diversité, conçue ici comme un ensemble d’actions visant à agir contre les discriminations et à promouvoir des cultures de travail inclusives, est passée du discours aux pratiques. Elle est principalement dévolue aux fonctions Ressources Humaines et à l’encadrement, mais ses enjeux et son application concernent tous les salarié.e.s.
KLARSFELD Alain - TBS Education |
06:02
Comment la fonction chef de produits s’est-elle imposée comme le modèle référent dominant des organisations marketing? Le premier chef de produits est apparu il y a près d’un siècle, chez Procter & Gamble. Depuis, la plupart des entreprises ont mis en place des chefs de produits pour gérer leurs marques et produits, alors que cette fonction a constamment été critiquée. A l’heure de la transformation digitale et du big data, les entreprises ont-elles encore besoin de chefs de produits ? Ils se retrouvent en concurrence avec des nouvelles fonctions bien plus spécialisées. En même temps, les entreprises ont plus que jamais besoin de coordination et de vision stratégique. Le chef de produits pourrait donc même voir son rôle renforcé, s’il sait se réinventer comme il l’a fait depuis bientôt un siècle.
LAPORTE Marie-Eve - FNEGE |
BERGER-REMY Fabienne - IAE Paris-Sorbonne Business School |
02:34
Adaptive learning, Immersive learning, peer-to-peer learning... Derrière ces expressions se cachent de nouvelles façons d'enseigner et d'animer des connaissances, dans un paysage numérique qui remet en question la posture traditionnelle du professeur-sachant.
CHALLE Rémy - FNEGE |
02:53
Pour répondre aux enjeux de transformation numérique qui s'imposent aux établissements d'enseignement supérieur, les solutions innovantes proposées par les entreprises EdTech permettent à la fois d'enrichir l'expérience de l'étudiant et d'augmenter l'expérience de l'apprenant.
CHALLE Rémy - FNEGE |
03:30
Une société a trois piliers : la transaction, la relation et l’information. Autrement dit la façon de créer de la valeur, la façon d’entrer en relation avec les autres et la façon dont le pouvoir se répartit. Sous l'effet des nouvelles technologies, chacun de ces piliers est en train de se scinder en deux. Le monde se polarise. L'apprentissage tout au long de la vie et la culture générale permettant des tâches transversales non substituables par la machine deviennent nécessaires à l'individu qui veut rester un consommateur, un travailleur et un citoyen éclairé.
BABEAU Olivier - FNEGE |
03:53
Les technologies nous prolongeaient. A présent le risque est qu'elles nous remplacent. Les nouvelles technologies changent la façon dont nous décidons, reposent sur la manipulation de plus en plus efficace de nos pulsions et confisquent notre attention. L'entreprise doit prendre conscience de ces enjeux et prendre des positions éthiques courageuses pour devenir cet "accompagnateur en humanité" dont les individus auront de plus en plus besoin.
BABEAU Olivier - FNEGE |