Entrepreneuriat
Entrepreneuriat
Qu’est-ce que la Finance entrepreneuriale ?
Loading
/

33 écoutes

Partager

Qu’est-ce que la Finance entrepreneuriale ?

La finance entrepreneuriale s’intéresse à la levée de ressources financières pour les jeunes entreprises. Outre les proches (les anglo-saxons parlent de love money) qui, pour des raisons affectives, sont souvent les premiers contributeurs aux jeunes aventures entrepreneuriales et les divers programmes d’aides publiques, on trouve surtout des investisseurs en fonds propres. Ceux-ci peuvent se classer en trois catégories : le capital risque (ou venture capital), les business angels, et la foule qui peut intervenir à travers des plateformes de equity-based crowdunding. Il est à noter que, compte tenu de leur expérience, de leur compétences et connaissances spécifiques, certains de ses acteurs contribuent davantage que simplement de l’argent aux jeunes entreprises.

Mots clés

Médias de la même institution

Le Professeur Roland Pérez a été l’un des pionniers des sciences de gestion en tant que discipline universitaire en France. Sa trajectoire est celle d’un universitaire accompli et très actif dans la société. Il a été le témoin et l’acteur engagé de la naissance et de l’autonomisation des sciences de gestion et de leur développement à l’université française, et cela dans différents champs : la comptabilité et la finance, la stratégie et la gouvernance. Cet intérêt intellectuel qui déborde des frontières étroites des disciplines académiques, avec un intérêt particulier pour la responsabilité sociale, est dû à ses valeurs humanistes fortes. Il y a donc à la fois un certain eclectisme au niveau des sujets abordés, et une posture très cohérente, solidement ancrée dans l’humanisme et résolument tournée vers l’action (institutionnelle). Labex Entreprendre et Montpellier Recherche en Management (MRM) Interview réalisée par Peter WIRTZ.
WIRTZ Peter - emlyon business school |
PEREZ Roland - FNEGE |
La valorisation de la recherche doctorale est selon nous une pratique importante mais sous-estimée. Nous considérons la valorisation comme étant liée étroitement à la question de l'impact ou plus précisément des différentes formes d'impact. Nous proposons de voir la valorisation comme un ensemble d'écosystèmes qu'il est nécessaire de saisir dès le début du parcours doctoral, avec une logique de progression prudente et progressive dans les différents espaces.
CLOAREC Julien - iaelyon School of Management |
GAILLARD Hugo - FNEGE |
Nous considérons la thèse de doctorat comme un outil pour développer les compétences et élargir le champ d'expertise des doctorants. Nous identifions deux rôles fondamentaux liés à la thèse, à savoir celui d’émancipateur et celui d'utilitariste, qui sont perçus comme étant en tension et en concurrence. L'analyse textuelle des chapitres a également révélé l'importance de l'environnement de réalisation de la thèse pour favoriser...
CLOAREC Julien - iaelyon School of Management |
GAILLARD Hugo - FNEGE |
La comptabilité d’engagement qui s’applique aux entreprises commerciales implique de comptabiliser, au titre d’un exercice, tous les engagements pris et donnés au cours de cette année sans tenir compte de la date de paiement. Ainsi ce n’est pas le paiement ou l’encaissement qui fait le rattachement aux charges et produits de l’année, ce qui explique les différences entre trésorerie et résultat.
BASSIN Claire - iaelyon School of Management |

Médias de la même thématique

Les Organismes de Gestion de Destination (OGD) interviennent au sein des destinations touristiques qui sont le lieu de la rencontre entre un projet d’expérience porté par les visiteurs et un projet de développement territorial porté les résidents, leurs élus et, bien entendu, des entreprises. Les OGD ont la responsabilité d’atteindre les objectifs de la politique publique tout en épousant la complexité de leur territoire qui se concrétise dans l’hétérogénéité de ses parties prenantes. En France, le concept d’OGD désigne essentiellement les offices de tourisme. Les travaux de recherche récents montrent par quels processus les OGD pilotent l’action collective territoriale. Au-delà de leurs missions légales, ils jouent le rôle central dans l’adaptation de leur destination aux mutations du secteur.
BOTTI Laurent - IAE Perpignan |
Ce numéro double de la revue Entreprendre & Innover montre comment l’entrepreneuriat de territoire – à savoir des dynamiques entrepreneuriales portées par les acteurs locaux et pour leur territoire – permet d’adresser les enjeux d’un développement local soutenable. Une douzaine de cas différents par les échelles territoriales et les enjeux adressés, permettent de saisir la façon dont (1) les acteurs du territoire, individus, privés, publics ou associatifs, peuvent s’engager dans des actions locales, (2) comment se créer des dynamiques de coopération entre acteurs, et (3) l’apparition de pratiques d’accompagnement des acteurs locaux, via des actions sur la gouvernance, la création de structures ad hoc, ou de dispositifs d’accompagnement. Un état des lieux de l’entrepreneuriat de territoire en ressort, qui permet d’en cerner les leviers, ainsi que les difficultés et écueils à éviter.
CHABAUD Didier - IAE Paris-Sorbonne |
Les définitions académiques des fintechs sont basées sur des recherches antérieures ou sur des rapports d’organismes de régulation et de cabinets de conseil. En interrogeant directement 10 acteurs de la fintech et de la banque, cette étude compare la perception des fintechs par les chercheurs avec la réalité vécue par les professionnels interrogés. Notre définition est fortement inspirée de la perception des fondateurs de fintechs. Elle met davantage l’accent sur la notion d’innovation d’usage centrée sur le client (vs innovation technologique) et sur une vision entrepreneuriale des fintechs, plus indépendants des acteurs en place.
ELABIDI Houda - ISTEC Business School |
The paper explores how sanctions affect international business (IB) and how firms respond to sanctions. We propose that firms’ reactions to sanctions can be analyzed through the lenses of leading IB theories, including institutions-based view and resource-based view. We argue that IB scholars can go beyond existing approaches to explain how firms act when facing sanctions. Moreover, we suggest that studies of firms facing sanctions help to reassess some of the assumptions underlying the prevailing theoretical explanations. We contribute with systematic view on strategy options that international and domestic firms may implement when faced with sanctions.
PANIBRATOV Andrei - EMLV |

Découvrez nos podcasts