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International Business under Sanctions
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International Business under Sanctions

The paper explores how sanctions affect international business (IB) and how firms respond to sanctions. We propose that firms’ reactions to sanctions can be analyzed through the lenses of leading IB theories, including institutions-based view and resource-based view. We argue that IB scholars can go beyond existing approaches to explain how firms act when facing sanctions. Moreover, we suggest that studies of firms facing sanctions help to reassess some of the assumptions underlying the prevailing theoretical explanations.

We contribute with systematic view on strategy options that international and domestic firms may implement when faced with sanctions.

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The Triple Bottom Line (TBL) concept emphasizes that business success should not be measured solely by financial performance. It includes social and environmental impacts alongside profit. Additionally, dynamic capabilities help firms adapt to rapid environmental changes and enhance sustainability performance. Previous studies have shown that TBL initiatives can also improve sustainability performance. However, no research has investigated how dynamic abilities and TBL initiatives jointly impact B2B firms’ sustainability performance in the post-COVID-19 period. This study aims to examine the implications of dynamic capabilities on TBL performance, particularly from a B2B marketing perspective. By developing and validating a conceptual research model, it contributes to the literature related to dynamic capability view, TBL, and sustainability.
CHAUDHURI Ranjan - EMLV |
Based on institutional theory and the dynamic capability view, this study delves into the relationship between a firm’s climate change adaptation (CCA) capability and its performance, with a focus on the mediating influence of business-to-business (B2B) marketing capability. The study poses two main research questions: RQ1: What role do institutional pressures play in fostering CCA capability among B2B firms in both developed and developing countries? RQ2: How does the CCA capability of B2B firms impact their performance? To validate the theoretical model developed, data is collected through surveys conducted in a developed country (Australia) and a developing country (South Africa). The study holds significance on two fronts: (a) being among the first to examine the influence of institutional pressures on CCA capability development, and (b) uncovering the mediating role of marketing capability in enhancing B2B firm performance through CCA capability. The study’s novel contribution lies in identifying pivotal elements for driving exceptional B2B firm performance amidst climate change, while employing institutional theory and the dynamic capability view to elucidate underlying mechanisms.
BAG Surajit - EMLV |
Bien que la pratique du coaching ait fait l’objet d’une attention soutenue dans la littérature, aucun cadre théorique n’existe pour guider le langage des conversations visant à améliorer la performance des dirigeants. Cet article répond à cette omission. À la suite de Richard Weaver, il ressuscite une ancienne distinction entre langage noble et ignoble et combine cette distinction avec une hiérarchie linguistique. Le langage noble culmine et donne voix à une performance exécutive optimale ; en tant que tel, c’est le langage idéal du coaching.
JOULLIÉ Jean-Étienne - EMLV |
Peu connue en France, la distinction analytique-synthétique est un des piliers de l’empirisme en général et de la méthode scientifique en particulier. En effet, elle traduit, dans la langue de tous les jours, le fait que la connaissance scientifique provient soit de l’expérience (c’est-à-dire de l’observation), soit de la logique appliquée à l’expérience. Les origines de la distinction remontent au quatorzième siècle et à Guillaume d’Ockham, mais c’est David Hume puis Immanuel Kant qui lui donnèrent son expression définitive.
JOULLIÉ Jean-Étienne - EMLV |

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Les Organismes de Gestion de Destination (OGD) interviennent au sein des destinations touristiques qui sont le lieu de la rencontre entre un projet d’expérience porté par les visiteurs et un projet de développement territorial porté les résidents, leurs élus et, bien entendu, des entreprises. Les OGD ont la responsabilité d’atteindre les objectifs de la politique publique tout en épousant la complexité de leur territoire qui se concrétise dans l’hétérogénéité de ses parties prenantes. En France, le concept d’OGD désigne essentiellement les offices de tourisme. Les travaux de recherche récents montrent par quels processus les OGD pilotent l’action collective territoriale. Au-delà de leurs missions légales, ils jouent le rôle central dans l’adaptation de leur destination aux mutations du secteur.
BOTTI Laurent - IAE Perpignan |
Ce numéro double de la revue Entreprendre & Innover montre comment l’entrepreneuriat de territoire – à savoir des dynamiques entrepreneuriales portées par les acteurs locaux et pour leur territoire – permet d’adresser les enjeux d’un développement local soutenable. Une douzaine de cas différents par les échelles territoriales et les enjeux adressés, permettent de saisir la façon dont (1) les acteurs du territoire, individus, privés, publics ou associatifs, peuvent s’engager dans des actions locales, (2) comment se créer des dynamiques de coopération entre acteurs, et (3) l’apparition de pratiques d’accompagnement des acteurs locaux, via des actions sur la gouvernance, la création de structures ad hoc, ou de dispositifs d’accompagnement. Un état des lieux de l’entrepreneuriat de territoire en ressort, qui permet d’en cerner les leviers, ainsi que les difficultés et écueils à éviter.
CHABAUD Didier - IAE Paris-Sorbonne |
Le conseil d’administration est une structure de gouvernance collégiale chargée de superviser les activités d’une organisation. Composé de membres choisis pour leurs compétences, il agit en tant que représentant des actionnaires et veille à l’efficacité, à l’éthique et à la conformité de l’organisation. Ses responsabilités comprennent la définition de la stratégie et des objectifs, la surveillance des risques ainsi que la nomination et la supervision de la direction. Ses réunions permettent d’examiner les rapports et de prendre des décisions stratégiques. Cette structure est cruciale pour le succès à long terme de l’organisation, favorisant la transparence et la confiance.
BESANGER Serge - OMNES Education |
La responsabilité numérique implique un ensemble d'obligations éthiques, sociales et légales pour les individus, les entreprises et les gouvernements. Cela englobe la gestion des données, la transparence, la lutte contre la désinformation, et la promotion de l'accès équitable aux technologies. Les implications touchent tous les acteurs de l'écosystème numérique, appelés à adopter des pratiques respectueuses de la vie privée et à élaborer des politiques protectrices. En intégrant la responsabilité numérique dans leurs actions et politiques, ils peuvent créer un environnement numérique plus sûr et éthique pour tous.
BESANGER Serge - OMNES Education |

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