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Le rapport extra-financier, aussi appelé rapport ESG ou RSE, donne une image complète de l'impact environnemental, sociétal et de gouvernance d'une entreprise. Il est aujourd’hui encadré par des initiatives comme le Global Reporting Initiative (GRI) et le Carbon Disclosure Project (CDP). La directive européenne NFRD et sa mise à jour, la CSRD, imposent des normes strictes. Cependant, la complexité croissante du cadre réglementaire risque de détourner les ressources des actions concrètes vers la production de rapports. Heureusement, des efforts sont en cours pour rendre les normes interopérables et simplifier les exigences.
ROSZAK Sabrina - SKEMA Business School |
04:41
Le rapport extra-financier, aussi appelé rapport ESG ou RSE, donne une image complète de l'impact environnemental, sociétal et de gouvernance d'une entreprise. Il est aujourd’hui encadré par des initiatives comme le Global Reporting Initiative (GRI) et le Carbon Disclosure Project (CDP). La directive européenne NFRD et sa mise à jour, la CSRD, imposent des normes strictes. Cependant, la complexité croissante du cadre réglementaire risque de détourner les ressources des actions concrètes vers la production de rapports. Heureusement, des efforts sont en cours pour rendre les normes interopérables et simplifier les exigences.
ROSZAK Sabrina - SKEMA Business School |
Le Balanced Scorecard (BSC), créé par Kaplan et Norton dans les années 90, évalue la performance d'une entreprise via quatre axes : financier, client, processus internes et apprentissage/innovation. Il relie des objectifs stratégiques à des indicateurs précis pour aligner les actions avec la stratégie globale.
ROSZAK Sabrina - SKEMA Business School |
04:01
Le Balanced Scorecard (BSC), créé par Kaplan et Norton dans les années 90, évalue la performance d'une entreprise via quatre axes : financier, client, processus internes et apprentissage/innovation. Il relie des objectifs stratégiques à des indicateurs précis pour aligner les actions avec la stratégie globale.
ROSZAK Sabrina - SKEMA Business School |
Le rapport intégré, créé par l'IIRC en 2013, vise à améliorer le reporting d'entreprise en intégrant des performances extra-financières aux performances financières pour offrir une vue globale de la stratégie et des résultats. L'IIRC distingue la Pensée Intégrée, une culture valorisant les résultats non financiers, du Reporting intégré, le processus de création du rapport. Le rapport intégré remplace le rapport annuel traditionnel, trop complexe et financier, répondant mieux aux besoins des parties prenantes.
ROSZAK Sabrina - SKEMA Business School |
03:36
Le rapport intégré, créé par l'IIRC en 2013, vise à améliorer le reporting d'entreprise en intégrant des performances extra-financières aux performances financières pour offrir une vue globale de la stratégie et des résultats. L'IIRC distingue la Pensée Intégrée, une culture valorisant les résultats non financiers, du Reporting intégré, le processus de création du rapport. Le rapport intégré remplace le rapport annuel traditionnel, trop complexe et financier, répondant mieux aux besoins des parties prenantes.
ROSZAK Sabrina - SKEMA Business School |
La finance durable désigne l’ensemble des activités financières visant à améliorer l’intérêt de la collectivité à moyen et à long terme. Elle couvre la finance solidaire, la finance durable et la finance verte. Elle repose sur des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). La finance durable sous-entend : (1) une plus grande transparence des transactions, (2) une meilleure traçabilité des flux de capitaux et (3) une responsabilisation des acteurs. La finance durable a modifié certaines pratiques financières. Ainsi, le pilotage de la performance au sein des organisations est désormais global et intègre les critères ESG. Parallèlement, des agences de notation extra-financière évaluent les risques selon des critères ESG et envoient un signal aux investisseurs socialement responsables. Néanmoins, la question qui se pose au niveau théorique : la finance durable est-elle une finance de continuité compatible avec les théories financières existantes ou une finance de rupture qui implique un nouveau cadre théorique ?
BOUEBDALLAH Najla - Excelia Business School |
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
05:57
La finance durable désigne l’ensemble des activités financières visant à améliorer l’intérêt de la collectivité à moyen et à long terme. Elle couvre la finance solidaire, la finance durable et la finance verte. Elle repose sur des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). La finance durable sous-entend : (1) une plus grande transparence des transactions, (2) une meilleure traçabilité des flux de capitaux et (3) une responsabilisation des acteurs. La finance durable a modifié certaines pratiques financières. Ainsi, le pilotage de la performance au sein des organisations est désormais global et intègre les critères ESG. Parallèlement, des agences de notation extra-financière évaluent les risques selon des critères ESG et envoient un signal aux investisseurs socialement responsables. Néanmoins, la question qui se pose au niveau théorique : la finance durable est-elle une finance de continuité compatible avec les théories financières existantes ou une finance de rupture qui implique un nouveau cadre théorique ?
BOUEBDALLAH Najla - Excelia Business School |
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
Les premières agences de notation extra-financière ont vu le jour dans les années 1990. Ces agences se sont appuyées sur les critères environnementaux, sociaux et de bonne gouvernance  (ESG) élaborés par les institutions internationales comme l’Organisation des Nations Unies (ONU), l’Union européenne (UE) ou encore l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Au fil du temps, le modèle économique de ces agences a gagné en maturité.  Malgré le grand essor qu’a connu l’industrie de la notation extra-financière durant les deux dernières décennies, la notation fondée sur les critères ESG n’a pas encore atteint la phase de maturité. En effet, aucun référentiel ESG standardisé n’a pu émerger de la pratique de notation extra-financière. Pour devenir un acteur majeur de la finance durable, les agences de notation extra-financière doivent relever deux défis : renforcer leur légitimité institutionnelle et améliorer la viabilité de leur modèle économique.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
04:41
Les premières agences de notation extra-financière ont vu le jour dans les années 1990. Ces agences se sont appuyées sur les critères environnementaux, sociaux et de bonne gouvernance (ESG) élaborés par les institutions internationales comme l'Organisation des Nations Unies (ONU), l'Union européenne (UE) ou encore l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Au fil du temps, le modèle économique de ces agences a gagné en maturité. Malgré le grand essor qu’a connu l'industrie de la notation extra-financière durant les deux dernières décennies, la notation fondée sur les critères ESG n'a pas encore atteint la phase de maturité. En effet, aucun référentiel ESG standardisé n’a pu émerger de la pratique de notation extra-financière. Pour devenir un acteur majeur de la finance durable, les agences de notation extra-financière doivent relever deux défis : renforcer leur légitimité institutionnelle et améliorer la viabilité de leur modèle économique.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
Les ODD forment la clé de voûte de l’Agenda 2030 adopté par les Nations Unies en 2015 pour un développement plus durable de notre société. Aujourd’hui, si des progrès ont été réalisés dans de nombreux domaines, la rapidité et l’ampleur des mesures prises pour atteindre les ODD demeurent, dans l’ensemble, insuffisants. Selon la CNUCED (Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement), les besoins d’investissement sont estimés entre 5 000 et 7 000 milliards de dollars US par an, et seuls 15% des ODD sont aujourd’hui en bonne voie. L’Organisation de Coopération et de développement économiques (OCDE) estime par ailleurs qu’un déficit annuel de financement de 3 700 milliards de dollars US existe pour atteindre les ODD d’ici 2030. La pandémie de la COVID-19 ayant créé des besoins de capitaux supplémentaires et la réduction des possibilités de financement existantes. De plus, le contexte géopolitique, particulièrement la guerre en Ukraine a considérablement bouleverser la donne. Ces défis de financement se révèlent alors même qu’il reste à peine moins de six ans avant l’échéance de 2030. Aussi, étant donné l’importance des investissements nécessaires, même si les financements provenant de toutes les sources publiques sont maximisés, ces derniers ne peuvent à eux seuls suffire. Le secteur privé devrait donc jouer un rôle sans précédent dans le financement des ODD.
MOUSSAVOU Jean - Excelia Business School |
06:14
Les ODD forment la clé de voûte de l’Agenda 2030 adopté par les Nations Unies en 2015 pour un développement plus durable de notre société. Aujourd’hui, si des progrès ont été réalisés dans de nombreux domaines, la rapidité et l’ampleur des mesures prises pour atteindre les ODD demeurent, dans l’ensemble, insuffisants. Selon la CNUCED (Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement), les besoins d’investissement sont estimés entre 5 000 et 7 000 milliards de dollars US par an, et seuls 15% des ODD sont aujourd’hui en bonne voie. L’Organisation de Coopération et de développement économiques (OCDE) estime par ailleurs qu’un déficit annuel de financement de 3 700 milliards de dollars US existe pour atteindre les ODD d’ici 2030. La pandémie de la COVID-19 ayant créé des besoins de capitaux supplémentaires et la réduction des possibilités de financement existantes. De plus, le contexte géopolitique, particulièrement la guerre en Ukraine a considérablement bouleverser la donne. Ces défis de financement se révèlent alors même qu’il reste à peine moins de six ans avant l’échéance de 2030. Aussi, étant donné l’importance des investissements nécessaires, même si les financements provenant de toutes les sources publiques sont maximisés, ces derniers ne peuvent à eux seuls suffire. Le secteur privé devrait donc jouer un rôle sans précédent dans le financement des ODD.
MOUSSAVOU Jean - Excelia Business School |