Qu’est-ce que le leadership bienveillant ?

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Le leadership bienveillant a émergé dans l’objectif de rétablir les relations entre salariés et dirigeants. D’après Farhi Karakas et Emine Sarigollu, il repose sur quatre paradigmes du bien commun dans la recherche organisationnelle, à savoir, la moralité, la spiritualité, la vitalité et la communauté. Décrit comme un processus de création d’un cycle vertueux d’encouragement et d’initiation de changements positifs, il s’incarne par la prise de décisions éthiques, la création d’un sens, l’inspiration de l’espoir ainsi que la promotion du courage pour une action positive, et l’impact positif sur la communauté au sens large. Les leaders bienveillants sont ceux qui crées des avantages, des changements positifs et des résultats observables pour le bien commun de l’organisation.

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04:09
Notre contribution traite de la gestion des risques dans le cadre du développement d'une politique de RSE et de développement durable sur le territoire de la Nouvelle Aquitaine. Notre approche par étude de cas menée dans deux associations du secteur de la santé montre que les territoires mettent en œuvre des démarches de RST, à savoir de Responsabilité Sociale des Territoires de Développement Durable. L'engagement pour préserver l'environnement, respecter le cadre légal et préserver les valeurs du « care » ne peut s'opérer sans une bonne gouvernance, de la performance sociale et la mise en œuvre de logiques de développement durable. La recherche propose un modèle de pilotage de RST qui intègre l'ensemble des parties prenantes, les 3 enjeux (économiques, légaux et moraux) en s'appuyant sur 3 piliers (gouvernance, performance sociale et environnementale). Ces démarches permettent de limiter les risques liés à la consommation d'énergie, la qualité de vie au travail ou encore la gestion des déchets.
GOUJON BELGHIT Anne - IAE Bordeaux |
03:09
La mise en équivalence est habituellement présentée comme l’une des trois méthodes de consolidation avec l’intégration globale et l’intégration proportionnelle. Néanmoins, à proprement parler, c’est davantage une méthode de réévaluation des titres des sociétés concernées, qu’une une méthode de consolidation. Cette méthode hybride, dont l’usage a pu évoluer dans le temps, peut être utilisée tant dans les comptes sociaux que dans les comptes consolidés. Très différente des méthodes d’intégration, elle correspond à la présentation, sur une seule ligne, d’une valeur nette comptable des sociétés concernées. L’endettement du groupe ne comprend alors pas celui des entités mises en équivalence, ce qui entraîne un risque d’opportunisme autour de son usage, dont Enron a été un exemple extrême.
DARMENDRAIL Véronique - IAE Bordeaux |
02:52
La consolidation correspond au fait de réaliser des comptes pour un groupe de sociétés. Un groupe est un ensemble de sociétés juridiquement et/ou économiquement liées. La représentation des groupes comme entité comptable, c’est-à-dire comme un tout fini, distinct des propriétaires date du début du XXe siècle. La proposition d’une théorie de l’entité n’est venue qu’a posteriori, dans les années 1940. Le groupe comme entité est un postulat peu discuté, malgré les difficultés, de plus en plus grandes avec le temps, d’en déterminer des frontières finies, et malgré son caractère mouvant et dynamique. Au sein du périmètre de consolidation, il y a trois modes de comptabilisation différents, en fonction du degré de contrôle ou d’influence de la société-mère : l’intégration globale, l’intégration proportionnelle, et la mise en équivalence.
DARMENDRAIL Véronique - IAE Bordeaux |
03:00
En français, la soutenabilité renvoie bien souvent à des enjeux essentiellement financiers, la soutenabilité de la dette étant par exemple une préoccupation à la fois politique et managériale. Pourtant, notre langue offre aussi une vision différente de la soutenabilité, au sens de ce qui peut être supporté. La soutenabilité est l’idée que les biens et services devraient être produits de telle manière qu’ils n’utilisent pas de ressources qui ne pourraient être remplacées et qui n’endommagent pas l’environnement. Il s’agit d’un développement qui peut être supporté par les limites sociétales et environnementales. L’organisation internationale de normalisation (ISO) a le même discours, faisant de la soutenabilité un état de l’ensemble des systèmes (environnementaux, sociaux, économiques) qui parviennent alors à satisfaire les besoins du présent sans que les générations futures ne soient empêchées de répondre aux leurs. La soutenabilité d’un pays ou d’une organisation est donc le but du développement durable.
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |

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Ces innovations ont radicalement modifié la façon d’aborder la question des ajustements des effectifs. Le Plan de sauvegarde de l’emploi redevient la marque des entreprises en difficulté économiques incapable d’anticiper et de mener un dialogue social permanent sur leurs transformations.
NOEL Florent - IAE Paris-Sorbonne Business School |
Il demeure que l’intéressement constitue une façon intéressante de pacifier les relations sociales et d’établir un dialogue su sujet des priorités de l’entreprise et de faire de la rémunération un sujet de négociation gagnant-gagnant
NOEL Florent - IAE Paris-Sorbonne Business School |
Pour ces raisons le risque est que l’entretien annuel deviennent une pratique un peu surannée et jouée de façon rituelle, pour faire plaisir aux RH. Mais beaucoup d’entreprises le font d’ailleurs évoluer en multipliant les exercices : donner du feedback chaque fois que c’est nécessaire et y impliquer des acteurs variés, discuter rémunération une fois par an, parler formation au démarrage d’un projet…
NOEL Florent - IAE Paris-Sorbonne Business School |
Si on combine ces différentes dimensions on voit derrière l’autonomie apparaitre une façon de penser le travail un peu différent du travail subordonné ou du travail « facteur de production ». Entre travail prescrit et travail réel, entre autonomie conquise et autonomie requise, entre liberté et contraintes sociales, on voit émerger une nouvelle façon de penser le management : sortir de la contrainte pour laisser les salarier proposer des actions tant que leurs propositions sont créatrices de valeur pour l’organisation. Il s’agit finalement de développer et de capter leur expertise pour l’intérêt de l’organisation tout en accompagnant leur émancipation qui pourrait apparaitre comme la finalité ultime du travail ?
NOEL Florent - IAE Paris-Sorbonne Business School |

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