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Qu’est-ce qu’un sociétaire ?
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Qu’est-ce qu’un sociétaire ?

Un sociétaire est une personne physique ou morale qui détient des parts sociales du capital d’une société coopérative ; il est membre et associé de la coopérative. Selon le statut de la coopérative, il peut s’agir de salariés, de clients, de consommateurs, de producteurs ou de collectivités locales. Les sociétaires gèrent, décident et contrôlent leur coopérative collectivement selon le principe « une personne, une voix ». Le sociétaire est une partie prenante ubiquiste. Dans les banques coopératives par exemple, il est à la fois client par les services bancaires qu’il utilise et copropriétaire par la détention de parts sociales.

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Pour commencer, sachez que la raison d’être de cette approche est de proposer des pratiques d’expérimentation rapide permettant d’accroître la portée transformative des projets et de créer de la valeur pour un maximum de parties prenantes, en particulier les utilisateurs finaux.
BEJEAN Mathias - IAE Paris-Est |
Le programme du CEFAG, formation reconnue et complémentaire à celles des écoles doctorales, est une aventure particulière qui change l’expérience de réalisation d’une thèse en sciences de gestion. À l’aide de témoignages de participants, notre objectif est de rendre compte aux futurs doctorants du vécu « de l’intérieur ». Ces témoignages nous permettent aussi d’identifier quatre caractéristiques du CEFAG : motivation, évaluation par les pairs, compagnonnage cognitif et perfectionnement.
AUBERT-HASSOUNI Christelle - ESCP Business School |
PEREZ Fabienne - Toulouse School of Management |
RENOU Sandra - FNEGE |
VALES Margaux - FNEGE |
Le display est la première forme de publicité apparue sur l’internet. Et aujourd’hui c’est encore le segment de publicité qui génère le plus de ventes. Le display regroupe l’ensemble des publicités graphiques ou visuelles dont l’emplacement est l’objet d’une transaction financière entre l’annonceur (celui qui fait sa promotion) et l’éditeur de l’annonce (le support).
PERRAUD Laure - Université Paris Est IUTSF Sénart |
La notion de dialogue social rencontre une situation assez paradoxale : elle est régulièrement convoquée dans le débat public ou dans le discours managérial comme une bonne pratique pour conduire le changement ou pour prendre des décisions éclairées. Pourtant, et malgré le consensus apparent dont il fait l’objet, le dialogue social est pris entre deux critiques dont on peine souvent à voir la compatibilité.
BOURGUIGNON Rémi - IAE Paris-Est |

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L’actionnariat salarié désigne la détention d’actions d’une entreprise par ses salariés. Très répandu en France, il concerne plus de 3 millions de salariés, qui détiennent en moyenne 3,9 % du capital des entreprises du CAC40, mais reste rare dans les PME (1 sur 100). Accessible à tous les salariés, il bénéficie d’avantages fiscaux depuis les années 60 et d’un consensus politique. Toutefois, il englobe des réalités variées selon la taille de l’entreprise, le pourcentage du capital détenu, et la répartition des actions entre salariés. Aux États-Unis, la recherche a majoritairement étudié des PME où les salariés possèdent 30 % du capital, montrant des bénéfices comme une meilleure performance, une implication accrue des salariés, et une attractivité renforcée. L’actionnariat salarié a été pensé dès ses origines comme un moyen d’harmoniser les relations entre capital et travail, son impact réel dépendant de sa mise en œuvre équitable.
AUBERT Nicolas - IAE Aix-Marseille Graduate School of Management |
Le diagnostic stratégique constitue un préalable fondamental à la conception de sa stratégie, son « bâton de pèlerin », au travers notamment d’outils comme la matrice SWOT ou le modèle des cinq forces de Porter. Néanmoins, ils poursuivent avant tout un objectif de compétitivité économique et éludent les questions sociales, sociétales et environnementales, alors que les premiers effets de la crise écologique ont commencé à se faire ressentir. Se pose donc la question de la pertinence des outils de diagnostic stratégique ou, au moins, s’il ne conviendrait pas de les enrichir afin d’incorporer des parties prenantes étendues à la société civile et à l’environnement. Nous nous sommes ainsi intéressés à trois voies d’incorporation de ces parties prenantes externes. Nous avons ainsi discuté la pertinence de généraliser la mise en œuvre de stratégies de RSE, d’encourager l’inscription des entreprises comme sociétés à mission, voire l’adoption de statuts relevant de l’Économie Sociale et Solidaire. Chacune ayant ses avantages mais aussi ses limites, nous concluons à l’intérêt de les mobiliser de manière complémentaire.
MULLER Paul - FNEGE |
Notre étude examine si les entreprises familiales émettent moins de carbone que les entreprises non familiales et comment l'hétérogénéité au sein des entreprises familiales affecte leurs émissions de carbone. En utilisant un échantillon de 308 sociétés françaises cotées dans l'indice CAC-All Shares de 2002 à 2020, nous constatons que les entreprises familiales sont plus susceptibles de réduire leur empreinte carbone que les entreprises non familiales. Cependant, le comportement carbone des entreprises familiales n'est pas homogène. L'éponymie familiale influence négativement les émissions de carbone. Étonnamment, l'effet du stade générationnel familial est positif, suggérant que les entreprises familiales des premières générations sont plus vertueuses que celles des générations suivantes. Des tests supplémentaires démontrent que la présence des fondateurs en tant que PDG ou président de conseil d'administration est associée à la réduction des émissions carbone. Nous montrons également que l'innovation verte, la présence de l'entreprise dans un secteur polluant, 1'Accord de Paris et la loi sur la transition énergétique en 2015 ont renforcé les réductions d'émissions des entreprises familiales. Enfin, nous soutenons que l'engagement à réduire les émissions de carbone est un facteur d'augmentation de la valeur des entreprises familiales.
DEPOERS Florence - EMLV |
LAKHAL Faten - EMLV |
Drawing from women's testimonials in The Guardian and from contributions of feminist writers, Virginia Woolf, Julia Kristeva, and Margaret Mead, we start a conversation on the positive and energizing aspects of menopause in the workplace. We propose a social interpretation of menopause that challenges a pervasive perspective of medical decline: A theorization of “the dialectic of zest,” as inspired by the writings of Margaret Mead. By problematizing the experiences of women going through this transition in the workplace, we reveal how well-intentioned awareness campaigns can lead to further stigmatization. We thus encourage organizations to not only favor an approach of “education for all” but also extend their social imaginaries beyond medicalized perspectives and coping views.
QUENTAL Camilla - EM Normandie |

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