Comptabilité et Audit
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Les effets politiques de la normalisation comptable sur le fonctionnement des organisations syndicales
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Les effets politiques de la normalisation comptable sur le fonctionnement des organisations syndicales

La loi du 20 août 2008 réformant la représentativité des syndicats français impose une “transparence financière”. Cette recherche exploratoire aborde la question des effets organisationnels et politiques de cette nouvelle règlementation, ce qui conduit à revenir sur le traditionnel débat en matière de démocratie syndicale : comment les rationalités administratives et représentatives s’articulent-elles au sein des organisations syndicales ? Sur la base d’entretiens menés avec les dirigeants et trésoriers aux différents niveaux des trois principaux syndicats français (CGT, CFDT et CGT-FO), la recherche montre les différentes manières dont les responsables syndicaux se sont appropriés ces nouvelles exigences comptables et les ont traduites en pratiques organisationnelles.

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Le projet de ce Livre Blanc vise à mieux faire connaître les DBA et à obtenir leur reconnaissance par les autorités. Face à la croissance rapide du marché des DBA, souvent marqué par un manque de régulation, le Livre Blanc recommande une communication accrue pour valoriser la rigueur et l'impact du DBA, notamment via des événements ou des prix. Il préconise aussi une certification par des instances légitimes comme le ministère du Travail ou le MESR, afin d'assurer la reconnaissance officielle de la qualité des programmes DBA.
HELFER Jean-Pierre - IAE Paris-Sorbonne Business School |
La publication de ce Livre Blanc a été rendue possible grâce à une communauté de collègues engagés et malgré la contrainte du temps. Douze établissements ont partagé leur expertise sur les programmes de DBA, mettant en avant leur qualité et leur impact. Ce travail, soutenu par la FNEGE et ses partenaires, donne la parole aux docteurs pour illustrer la valeur de leur parcours.
HELFER Jean-Pierre - IAE Paris-Sorbonne Business School |
La conversion, essentielle en marketing digital, correspond à l'action d'un visiteur accomplissant un objectif clé, comme un achat ou une inscription. Trois éléments sont fondamentaux pour maximiser les conversions : une expérience utilisateur optimisée, avec un site rapide et intuitif comme Amazon; des messages pertinents et personnalisés, soutenus par des pages claires et des appels à l'action efficaces; et enfin, la confiance, renforcée par des avis clients ou des garanties. Des exemples comme Spotify, Booking.com ou Netflix montrent comment simplifier le parcours client ou créer un sentiment d'urgence peut transformer des visiteurs en clients fidèles. Les outils digitaux, tels que les tests A/B ou les heatmans, facilitent ces optimisations. Avec l'intelligence artificielle, des entreprises comme Google et IBM Watson personnalisent encore davantage les expériences, augmentant les taux de conversion. La conversion, bien plus qu'un indicateur, est désormais une méthode clé pour transformer une intention en action concrète.
MERCANTI-GUERIN Maria - IAE Paris-Sorbonne Business School |
Le Growth Hacking est une méthode centrée sur la croissance rapide des entreprises combinant marketing, innovation et expérimentation agile. Popularisé par Sean Ellis en 2010, il repose sur cinq étapes clés du parcours client : Acquisition, Activation, Rétention, Revenus et Recommandations. Des entreprises comme Airbnb, Revolut ou Spotify utilisent cette approche pour attirer, fidéliser et transformer leurs utilisateurs en ambassadeurs. Avec l'intelligence artificielle, le Growth. Hacking évolue, s'appuyant sur des outils innovants pour optimiser le ciblage, automatiser les tâches et maximiser le retour sur investissement. Cette méthodologie, créative et data-driven, est devenue essentielle pour les entreprises cherchant à accélérer leur croissance.
MERCANTI-GUERIN Maria - IAE Paris-Sorbonne Business School |

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Offsetting means offsetting assets and liabilities and only reporting the net values in the financial statements. Whether offsetting should be allowed remains the largest difference between US and international accounting standards. Banning offsetting will have a significant impact on the financial statements, especially the banks. Hence, US banks stay firmly opposed to restricting offsetting in accounting due to great negative impact on the banks capital ratios.
ZHANG John - AUDENCIA |
Drawing from women's testimonials in The Guardian and from contributions of feminist writers, Virginia Woolf, Julia Kristeva, and Margaret Mead, we start a conversation on the positive and energizing aspects of menopause in the workplace. We propose a social interpretation of menopause that challenges a pervasive perspective of medical decline: A theorization of “the dialectic of zest,” as inspired by the writings of Margaret Mead. By problematizing the experiences of women going through this transition in the workplace, we reveal how well-intentioned awareness campaigns can lead to further stigmatization. We thus encourage organizations to not only favor an approach of “education for all” but also extend their social imaginaries beyond medicalized perspectives and coping views.
QUENTAL Camilla - EM Normandie |
La mise en équivalence est habituellement présentée comme l’une des trois méthodes de consolidation avec l’intégration globale et l’intégration proportionnelle. Néanmoins, à proprement parler, c’est davantage une méthode de réévaluation des titres des sociétés concernées, qu’une une méthode de consolidation. Cette méthode hybride, dont l’usage a pu évoluer dans le temps, peut être utilisée tant dans les comptes sociaux que dans les comptes consolidés. Très différente des méthodes d’intégration, elle correspond à la présentation, sur une seule ligne, d’une valeur nette comptable des sociétés concernées. L’endettement du groupe ne comprend alors pas celui des entités mises en équivalence, ce qui entraîne un risque d’opportunisme autour de son usage, dont Enron a été un exemple extrême.
DARMENDRAIL Véronique - IAE Bordeaux |
La consolidation correspond au fait de réaliser des comptes pour un groupe de sociétés. Un groupe est un ensemble de sociétés juridiquement et/ou économiquement liées. La représentation des groupes comme entité comptable, c’est-à-dire comme un tout fini, distinct des propriétaires date du début du XXe siècle. La proposition d’une théorie de l’entité n’est venue qu’a posteriori, dans les années 1940. Le groupe comme entité est un postulat peu discuté, malgré les difficultés, de plus en plus grandes avec le temps, d’en déterminer des frontières finies, et malgré son caractère mouvant et dynamique. Au sein du périmètre de consolidation, il y a trois modes de comptabilisation différents, en fonction du degré de contrôle ou d’influence de la société-mère : l’intégration globale, l’intégration proportionnelle, et la mise en équivalence.
DARMENDRAIL Véronique - IAE Bordeaux |

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