Qu’est-ce qu’un balanced scorecard ?

2170 vues

Partager

Le Balanced Scorecard (BSC), créé par Kaplan et Norton dans les années 90, évalue la performance d’une entreprise via quatre axes : financier, client, processus internes et apprentissage/innovation. Il relie des objectifs stratégiques à des indicateurs précis pour aligner les actions avec la stratégie globale.

Mots clés

Vidéos de la même institution

02:21
Résumé en français (une dizaine de lignes maximum) Le coût du capital est le coût moyen des ressources financières utilisées par une entreprise pour financer ses actifs. Il se calcule comme suit : CMPC= 𝐶𝑃 x𝑅 + 𝐷 x𝑅 x(1-t) CP : Capitaux propres D : Dette 𝑅𝐶𝑃 : Cout des capitaux propres 𝑅𝐷 : Cout de la dette t : Taux d’imposition Il représente le taux de rendement minimal qu'une entreprise doit générer pour pouvoir rémunérer ses apporteurs de capital.
CHIKH Sabrina - SKEMA Business School |
02:37
La finance comportementale se différencie de la finance classique en faisant l'hypothèse que les agents financiers ont une rationalité cognitive, plus proche de la réalité des comportements observés, plutôt qu'une rationalité axiomatique.
CHIKH Sabrina - SKEMA Business School |
02:12
L'affacturage est une solution financière permettant aux entreprises de céder leurs créances clients à une société spécialisée, appelée factor. En échange, le factor avance la quasi-totalité du montant des créances, améliorant ainsi la trésorerie de l'entreprise. Une fois le paiement reçu, le factor reverse le solde restant, déduction faite de ses frais et commissions. Cette pratique offre aux entreprises une gestion externalisée de leurs créances, réduisant les risques d'impayés et optimisant le besoin en fonds de roulement.
CHIKH Sabrina - SKEMA Business School |
02:37
Le capital humain regroupe l’éducation, les expériences, compétences, connaissances et la santé mentales d’une personne.
BACHA Eliane - SKEMA Business School |

Vidéos de la même thématique

Les conséquences économiques et financières du changement climatique sont de plus en plus importantes. Les variations de l’indice environnemental, social et de gouvernance (ESG) ont-elles un impact sur les marchés financiers, et lequel ? En quoi l’IA peut-elle améliorer la lecture et l’anticipation de ces impacts ?
PILLOT Julien - OMNES Education |
AWIJEN Haithem - OMNES Education |
BEN JABEUR Sami - FNEGE |
Cette recherche explore l’efficacité des dispositifs de soutien à l’entrepreneuriat étudiant durable, dans un contexte marqué par une multiplication des initiatives. À travers une étude de cas unique, il met en lumière les avantages de ces soutiens, tels que l’accès à des ressources variées et l’accompagnement multidimensionnel, tout en soulignant leurs limites, notamment un manque de coordination et de personnalisation. L’analyse révèle que, malgré des années d’accompagnement, certains projets peinent à atteindre la viabilité économique. Notre recherche propose des recommandations pratiques afin d’optimiser les synergies entre l’écosystème éducatif, d’accompagnement, et professionnel local. Il offre des perspectives intéressantes pour mieux accompagner l’entrepreneuriat étudiant durable et maximiser son impact.
BRUNNER Pauline - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
Face aux inégalités territoriales, aux fractures sociales et à l’urgence écologique, des initiatives locales émergent partout. Portées par des citoyens et des acteurs de l’ESS, elles placent la solidarité au cœur de l’action. Ce mouvement redéfinit la manière de penser et construire les territoires, sans dépendre uniquement de l’État ou du marché. Avec onze chercheurs, cet ouvrage explore neuf expériences concrètes. Trois grandes tensions structurent ces dynamiques : articuler action publique et initiatives solidaires, reconnaître le territoire comme ressource solidaire, et co-construire des territoires inclusifs par des outils partagés. Ces tensions, loin d’être des freins, ouvrent la voie à une transformation profonde. La solidarité devient alors un levier essentiel pour réinventer les territoires.
CHABAUD Didier - IAE Paris-Sorbonne Business School |
EYNAUD Philippe - IAE Paris-Sorbonne Business School |
RAULET-CROSET Nathalie - IAE Paris-Sorbonne Business School |
Cette thèse analyse les dispositifs d’évaluation mis en œuvre à l’occasion d’un appel d’offres pour sélectionner des consultants dans le secteur public, en révélant leurs dimensions éthiques. Nous adoptons une approche interprétative et une méthodologie qualitative, fondée sur une observation participante dans un ministère et des entretiens, pour étudier comment l’évaluation produit ce qui compte et comment cela doit compter dans un appel d’offres. Nous concilions deux conceptions de l’éthique, comme transcendance et immanence, et la conceptualisons comme expérience. Le premier essai montre comment la conception d’une grille par le ministère pour évaluer les offres matérialise et stabilise provisoirement ce qui compte pour les évaluateurs dans l’appel d’offres et dans la future mission de conseil. Le deuxième essai analyse comment l’évaluation des offres et les classements qui en résultent produisent progressivement une sélection acceptable pour les évaluateurs. Le troisième essai montre que l’évaluation du prix des offres des consultants concrétise une rencontre sans face à face entre les personnes publiques et les consultants. En conclusion, cette thèse montre qu’une évaluation fondée sur la quantification et qui vise à prendre une décision a des dimensions éthiques particulières au regard d’autres méthodes évaluatives. Elle propose aussi une réflexion sur la modernisation de l’État à l’œuvre dans la passation de marchés publics de conseil.
BROUARD Eléonore - FNEGE |

S'abonner aux vidéos FNEGE MEDIAS