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La résilience a été propulsée au premier plan par les contextes extrêmes de ces dernières années. Pour les organisations, la résilience serait une capacité de rebond, synonyme de retour à l’équilibre après une perturbation. Pourtant, les facettes de la résilience sont multiples : d’après Ovans, est résiliente une organisation capable de se remettre des échecs, de s’adapter au changement et de continuer à faire face à l’adversité.
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |
02:51
La résilience a été propulsée au premier plan par les contextes extrêmes de ces dernières années. Pour les organisations, la résilience serait une capacité de rebond, synonyme de retour à l’équilibre après une perturbation. Pourtant, les facettes de la résilience sont multiples : d’après Ovans, est résiliente une organisation capable de se remettre des échecs, de s'adapter au changement et de continuer à faire face à l'adversité. Les recherches récentes envisagent en effet la résilience comme un processus complexe et progressif. Est aussi résiliente une organisation qui est aussi capable avant, pendant et après la crise de gérer les dépendances à ses parties prenantes.
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |
03:05
Gouverner convenablement une organisation est à la fois un défi et une nécessité vitale. Formelle, elle est souvent assimilée à des organes, comme le conseil d’administration, ou à des fonctions, comme l’audit. Informelle, la gouvernance repose sur des mécanismes spontanés et spécifiques de gouvernance. Le premier d’entre eux est la surveillance mutuelle des dirigeants. Tout aussi informelle, la culture d’organisation permet de diffuser les valeurs, les rites et les habitudes du collectif. Caby, J., Hirigoyen, G., & Prat dit Hauret, C. (2013). Création de valeur et gouvernance de l’entreprise. Economica.
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |
Le Free Cash Flow, ou flux de trésorerie disponible, pilier de la « culture cash », est un des indicateurs les plus suivis par les dirigeants d’entreprise, investisseurs, et autres parties prenantes.
BESANGER Serge - OMNES Education |
Lorsqu’une entreprise est en croissance, l’augmentation de son chiffre d’affaires va mener à un accroissement de son excédent brut d’exploitation, et, parallèlement, à l’accroissement de son Besoin en Fonds de Roulement. Si l’augmentation du BFR est plus rapide que l’augmentation de l’EBE, l’effet ciseau va conduire à un épuisement des réserves. Paradoxalement, plus une entreprise est en croissance, et plus elle s’expose à l’effet-ciseaux. Pour autant, cet effet ciseau est prévisible, et parfait
BESANGER Serge - OMNES Education |
03:43
Le reporting durabilité, ou sociétal, recouvre les informations environnementales et sociales liées à l’activité d’une entité, utilisées pour le pilotage interne et pouvant être communiquées à des tiers. Dans un contexte de divulgation essentiellement volontaire, ce reporting a fait l’objet de critiques quant à sa qualité. Des stratégies de greenwashing, ou encore de sélection d’informations favorables à l’entité à des fins de légitimation, ont été documentées dans la littérature. C’est aujourd’hui une ère de standardisation de ce reporting qui s’ouvre. Plusieurs projets de normalisation sont en cours, portés par des instances qui ne convergent pas totalement sur les dimensions à traduire.
SPRING Sophie - Montpellier MANAGEMENT |
02:43
Lorsqu’une entreprise est en croissance, l’augmentation de son chiffre d’affaires va mener à un accroissement de son excédent brut d’exploitation, et, parallèlement, à l’accroissement de son Besoin en Fonds de Roulement. Si l’augmentation du BFR est plus rapide que l’augmentation de l’EBE, l’effet ciseau va conduire à un épuisement des réserves. Paradoxalement, plus une entreprise est en croissance, et plus elle s’expose à l’effet-ciseaux. Pour autant, cet effet ciseau est prévisible, et parfaitement mesurable, grâce à des outils tels le plan de trésorerie.
BESANGER Serge - OMNES Education |
03:18
Le Free Cash Flow, ou flux de trésorerie disponible, pilier de la « culture cash », est un des indicateurs les plus suivis par les dirigeants d’entreprise, investisseurs, et autres parties prenantes. Il correspond aux flux de trésorerie générés par l’entreprise grâce à son exploitation courante, et veritablement disponibles après avoir payé les investissements nécessaires au maintien ou au développement de son activité, tels : le CAPEX, investissement en capital, et le BFR, besoin en fonds de roulement. Le Free Cash Flow est donc une somme d’argent qui pourra être réinvesti dans l’entreprise, ou bien servir à rémunérer les investisseurs. Le Free Cash Flow permet de déterminer si l’entreprise dégage un flux financier positif, ou non.
BESANGER Serge - OMNES Education |
02:58
Etabli en fin d’exercice, pour la période suivante, un budget est un outil de contrôle prévisionnel qui sert à organiser l’activité d’une organisation et d’en mesurer l’impact financier, sur un an maximum. Il s’agit de l’expression quantitative et financière du programme d’actions à court terme de la direction. En fin de période, l’atterrissage budgétaire permet de mettre à jour les prévisions en fonction des résultats de l’année écoulée et des objectifs à venir. Certaines entreprises choisissent de réaliser des budgets « glissants » ou « rolling forecast ». Les budgets font l’objet de nombreuses critiques. Face à cela, de nouvelles approches émergent.
TAHAR Caroline - iaelyon School of Management |
03:22
Comment réduire les coûts sans dégrader la valeur du produit pour le client ? Cette question est à l’origine de l’approche dite des coûts cibles ou target costing. Il ne s’agit pas d’une technique de calcul de coûts, mais d’un mode de gestion des coûts. Il a pour objectif d’obtenir un produit dont la valeur perçue satisfait les attentes des consommateurs tout en ne dépassant un coût plafond, le coût cible, qui permet de répondre aux exigences des actionnaires en matière de marge. Cette méthode repose sur deux principes : un principe d’additivité et un principe de symétrie. Cette démarche cherche à maîtriser les coûts tout en préservant la valeur pour le client. Toutefois, elle peut s’avérer très complexe.
TAHAR Caroline - iaelyon School of Management |
02:55
L’analyse des écarts va permettre d’identifier précisément l’origine des différences entre ce qui a été budgété et ce qui a été réalisé et de mesurer l’impact financier de chacune de ces causes. Ainsi, on peut calculer des écarts sur charges, des écarts sur chiffre d’affaires et des écarts sur marge. Pour chaque élément, on va calculer des sous-écarts. Elle va permettre d’identifier les principales sources de baisse du résultat, notamment les « dérapages » des coûts, la baisse d’un chiffre d’affaires et d’en mesurer les conséquences financières, ce qui va faciliter les actions correctives en donnant la priorité aux éléments les plus significatifs. Par ailleurs, cette approche peut être adaptée pour analyser l’évolution des données entre deux périodes.
TAHAR Caroline - iaelyon School of Management |
03:10
Un tableau de bord rassemble des indicateurs, grandeurs chiffrées qui mesurent le degré d’atteinte des objectifs. Certains indicateurs ont une importance stratégique. Il s’agit des indicateurs clés de performance ou KPI. Les tableaux de bord sont créés et exploités soit au niveau d’un service, dans le cadre d’un reporting, soit au niveau de l’entreprise dans son ensemble, dans le cadre du pilotage stratégique. Dans ce dernier cas, on parle de tableaux de bord stratégiques. Ils permettent de remédier à deux limites de la comptabilité : la désynchronisation entre temps de l’information et temps de l’action ; la réduction du champ de vision aux données financières. Ils sont très flexibles car ils ne font l’objet d’aucune obligation légale. Toutefois cette liberté peut être problématique.
TAHAR Caroline - iaelyon School of Management |