Green innovation: A good for all

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Companies face the challenge of combining economic and environmental objectives. An obvious, recurring question is whether, and under what circumstances, an improvement in a company’s environmental performance leads to higher profits. By examining innovation data, this study addresses the question of whether environmental innovation (EI) is synergistic with other types of innovation. To this end, we consider separately efficiency-related gains in competitiveness and cost savings due to different types of environmental innovation (EI) affecting the supply and demand sides of a company’s business. We identify synergistic interactions between EI and certain types of innovation.

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05:10
A game to foster class cohesion? That's exactly what Nick Ware, director of the Master's in Arts and Culture Management and lecturer at BSB, implemented. Indeed, communication among international students is not always easy, especially at the beginning of a program. Lego Serious Play is a method that, through the use of Lego bricks, encourages non-verbal and metaphorical expression while creating a shared language. It ensures the involvement of every participant, including the more introverted ones. This approach has proven effective in facilitating interaction among students from different linguistic and cultural backgrounds and in strengthening class cohesion.
WARE Nick - Burgundy School of Business |
02:51
Although consumers rely on their activities to help construct their identity, antecedents and outcomes of consumer-activity identification (CAI) have not been elucidated. This research addresses this gap through the development of a conceptual model that is tested through two studies. Study 1 finds that CAI leads to consumer-brand identification (CBI). Further, CBI mediates the relationship between CAI and brand loyalty. Study 2 expands these findings by understanding the role of brand and activity social benefits as antecedents for CAI and CBI and including a second brand outcome: brand relationship continuance. Taken together, the results indicate that consumers indeed rely on the activities a brand is used within to construct their identity in addition to the brand.
HAWKINS Matthew - Burgundy School of Business |
03:12
Le modèle de distance CAGE vise à aider les entreprises dans leur expansion internationale en prenant en compte quatre dimensions clés : la distance culturelle (C), la distance administrative (A), la distance géographique (G) et la distance économique (E). Ces dimensions permettent de comprendre et mesurer les similitudes et différences entre deux marchés ou pays, influençant ainsi les décisions stratégiques des organisations. Plus les distances sont importantes, plus la démarche d'internationalisation est complexe et risquée. Chaque secteur d'activité réagit différemment aux distances, avec des impacts spécifiques, par exemple l'industrie agro-alimentaire à la distance culturelle et l'industrie pharmaceutique à la distance administrative. Les entreprises doivent donc tenir compte de ces distances pour réussir dans leurs marchés internationaux.
DITTER Jean-Guillaume - Burgundy School of Business |
03:18
We investigate whether bondholder representation on boards can be an effective market discipline mechanism for reducing bank risk, using a unique dataset combining information on bondholders and boards of listed European banks. Our results show that the influence of bondholder representatives on bank boards significantly reduces bank risk without impacting profitability.
TRAN Phan Huy Hieu - Burgundy School of Business |

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L’ouvrage "Contrôle de Gestion et Créativité" explore l'équilibre essentiel entre contrôle de gestion et créativité, nécessaire pour l’innovation. Dans un contexte où 90 % des managers affirment l'importance de l'innovation mais où 75 % se disent insatisfaits des processus actuels, l'ouvrage questionne comment le contrôle peut soit structurer soit limiter la créativité des collaborateurs. L'étude examine divers types d’organisations, des entreprises classiques aux structures de l’économie sociale et solidaire, en montrant comment elles adaptent leurs pratiques de gestion pour favoriser un environnement propice à l'innovation. Les conclusions principales soulignent le rôle des organisations, l’acceptation d’un déséquilibre entre contrôle et créativité, ainsi que le rôle de médiateur des dirigeants, crucial pour transformer le contrôle en soutien à la créativité.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
Les Objectifs de Développement Durable (ODD) sont 17 objectifs adoptés en 2015 par les Nations Unies afin de répondre simultanément aux défis économiques, sociaux et environnementaux mondiaux à l’horizon 2030. Ils couvrent un large éventail d'enjeux tels que l’élimination de la pauvreté, l’accès universel à une éducation de qualité, la préservation des écosystèmes, la gestion durable des ressources ou encore la lutte contre le changement climatique. Pour les entreprises, adopter les ODD représente une opportunité stratégique majeure : cela permet de renforcer leur responsabilité sociale et environnementale, d'améliorer leur image de marque, d'attirer des investisseurs soucieux d’éthique, tout en assurant leur performance économique sur le long terme. Toutefois, réussir cette intégration implique un engagement fort et une réelle mobilisation de tous les acteurs internes et externes à l'entreprise.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
Cette vidéo définit l’évaluation de l’impact social et insiste sur son actualité. Elle met ensuite en avant les difficultés de sa mise en place dans les organisations et plus globalement, les enjeux plus macro qu’elle recouvre.
BERNIER-KHEDACHE Salomon - IAE Paris-Est |
BOUDEN Inès - IAE Paris-Est |
Dans un contexte économique sans précédent marqué par une pandémie mondiale, l’entrelacement complexe du discours sur le greenwashing à l’ère des fake news s'est intégré au tissu de la durabilité d’entreprise, remodelant les perceptions des managers et mettant à l’épreuve leur attitude face aux décisions durables. À travers une étude qualitative en deux phases, cette recherche examine l’impact du discours sur le greenwashing sur les perceptions et attitudes des managers vis-à-vis de la durabilité en France après la pandémie. Les résultats révèlent une déconnexion entre le discours externe sur le greenwashing et l’état d’esprit des managers, ces derniers associant souvent les accusations de greenwashing aux « fake news ». De plus, l’étude montre que la pandémie a déplacé l’attention vers les préoccupations financières, reléguant la durabilité au second plan dans la prise de décision stratégique et modifiant ainsi le paysage de la responsabilité d’entreprise. En allant au-delà du cadre habituel centré sur les consommateurs et les clients, cette étude vise à combler un vide critique dans la recherche sur le greenwashing en examinant son impact sur différents acteurs. À travers cette analyse, nous cherchons à contribuer aux recherches sur le discours du greenwashing en offrant une compréhension plus approfondie des complexités et des nuances entourant les perceptions managériales de ce discours et des initiatives de durabilité dans une époque marquée par des défis sans précédent.
KADDOURI Ouiam - EMLV |

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