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La confusion du consommateur désigne un état d’incertitude cognitive qui perturbe la prise de décision d’achat. Elle peut être causée par une surcharge d’informations, un manque de clarté ou des messages ambigus. Ce phénomène entraîne des réactions cognitives, affectives et comportementales, telles que le stress, la frustration, le report ou l’abandon d’achat. Il a aussi des effets négatifs sur la satisfaction, la fidélité et la performance marketing. Pour y remédier, les entreprises doivent clarifier leurs offres et simplifier leur communication.
BENHISSI Maali - EDC Business School |
03:44
La confusion du consommateur désigne un état d’incertitude cognitive qui perturbe la prise de décision d’achat. Elle peut être causée par une surcharge d’informations, un manque de clarté ou des messages ambigus. Ce phénomène entraîne des réactions cognitives, affectives et comportementales, telles que le stress, la frustration, le report ou l’abandon d’achat. Il a aussi des effets négatifs sur la satisfaction, la fidélité et la performance marketing. Pour y remédier, les entreprises doivent clarifier leurs offres et simplifier leur communication.
BENHISSI Maali - EDC Business School |
Cette étude explore les facteurs influençant les décisions d'achat des consommateurs de slow fashion, en se concentrant sur la relation entre les attributs des produits, la valeur perçue, le manque d'information, la confusion et le comportement des consommateurs (intention, report et abandon d'achat). Une enquête quantitative a été menée auprès de 323 consommateurs, et les données ont été analysées à l'aide de la méthode PLS-SEM. Les résultats montrent que la valeur perçue influence positivement l'intention d'achat. Cependant, seuls trois attributs de la slow fashion — localisme, équité et fonctionnalité — ont un impact significatif sur la valeur perçue. Le manque d'information a un effet négatif sur la valeur perçue et entraîne une confusion chez les consommateurs, ce qui peut conduire au report ou à l'abandon de l'achat. L'étude suggère que entreprises des produits slow fashion doivent mettre l'accent sur ces attributs clés et améliorer la communication pour réduire la confusion des consommateurs. Cette recherche contribue à la compréhension de l'influence des barrières externes, telles que le manque d'information, sur la consommation durable.
BENHISSI Maali - EDC Business School |
03:34
Cette étude explore les facteurs influençant les décisions d'achat des consommateurs de slow fashion, en se concentrant sur la relation entre les attributs des produits, la valeur perçue, le manque d'information, la confusion et le comportement des consommateurs (intention, report et abandon d'achat). Une enquête quantitative a été menée auprès de 323 consommateurs, et les données ont été analysées à l'aide de la méthode PLS-SEM. Les résultats montrent que la valeur perçue influence positivement l'intention d'achat. Cependant, seuls trois attributs de la slow fashion — localisme, équité et fonctionnalité — ont un impact significatif sur la valeur perçue. Le manque d'information a un effet négatif sur la valeur perçue et entraîne une confusion chez les consommateurs, ce qui peut conduire au report ou à l'abandon de l'achat. L'étude suggère que entreprises des produits slow fashion doivent mettre l'accent sur ces attributs clés et améliorer la communication pour réduire la confusion des consommateurs. Cette recherche contribue à la compréhension de l'influence des barrières externes, telles que le manque d'information, sur la consommation durable.
BENHISSI Maali - EDC Business School |
Alors que l’émotion suscitée dans le milieu de l’enseignement supérieur et de la recherche par la sortie du livre "Le Cube", de Claire Marchal, est retombée, et que deux propositions de loi continuent de porter le sujet de la régulation du privé lucratif dans le débat, "Le Grand Oral AEF info x Fnege" reçoit José Milano, PDG du groupe Omnes Education. À ses yeux, le secteur a besoin d’une "plus forte régulation", c’est-à-dire "des règles claires qui sont contrôlées", et doit aussi "mieux regarder les taux d’insertion professionnelle", comme le fait InserSup via la Déclaration sociale nominative, mais "jusqu’au bout" et "pour tout le monde".
CABY Jérôme - IAE Paris-Sorbonne Business School |
MILANO José - OMNES Education |
PIOVEZAN Sarah - FNEGE |
Le Contrat psychologique (PCO, Psychological Contract in Organizations) est une théorie et une méthode qui permet de mieux comprendre pourquoi, face à un même événement, certains percevront une violation contractuelle et d’autres, un simple ajustement. Fondé fin 1990 aux Etats-Unis, ces travaux en comportement organisationnel se développent dans les pays francophones à partir de leur traduction/adaptation en 2015. Le PCO décrit la complexité et la varité des engagements organisationnels : il est idiosyncrasique (personnel et biographique) mais aussi normatif, c’est-à-dire partagé par plusieurs individus dans une profession ; il est relationnel lorsque l’enjeu vise absolument à maintenir l’engagement ou à l’inverse purement transactionnel. Face aux problématiques de RSE (responsabilité sociétale des entreprises), respecter et gérer ces formes d’engagement contractuel améliorent la vie organisationnelle.
DE ROZARIO Pascale - LIRSA-CNAM |
03:49
Le Contrat psychologique (PCO, Psychological Contract in Organizations) est une théorie et une méthode qui permet de mieux comprendre pourquoi, face à un même événement, certains percevront une violation contractuelle et d’autres, un simple ajustement. Fondé fin 1990 aux Etats-Unis, ces travaux en comportement organisationnel se développent dans les pays francophones à partir de leur traduction/adaptation en 2015. Le PCO décrit la complexité et la varité des engagements organisationnels : il est idiosyncrasique (personnel et biographique) mais aussi normatif, c’est-à-dire partagé par plusieurs individus dans une profession ; il est relationnel lorsque l’enjeu vise absolument à maintenir l’engagement ou à l’inverse purement transactionnel. Face aux problématiques de RSE (responsabilité sociétale des entreprises), respecter et gérer ces formes d’engagement contractuel améliorent la vie organisationnelle.
DE ROZARIO Pascale - LIRSA-CNAM |
L’ouvrage "Contrôle de Gestion et Créativité" explore l'équilibre essentiel entre contrôle de gestion et créativité, nécessaire pour l’innovation. Dans un contexte où 90 % des managers affirment l'importance de l'innovation mais où 75 % se disent insatisfaits des processus actuels, l'ouvrage questionne comment le contrôle peut soit structurer soit limiter la créativité des collaborateurs. L'étude examine divers types d’organisations, des entreprises classiques aux structures de l’économie sociale et solidaire, en montrant comment elles adaptent leurs pratiques de gestion pour favoriser un environnement propice à l'innovation. Les conclusions principales soulignent le rôle des organisations, l’acceptation d’un déséquilibre entre contrôle et créativité, ainsi que le rôle de médiateur des dirigeants, crucial pour transformer le contrôle en soutien à la créativité.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
03:18
L’ouvrage "Contrôle de Gestion et Créativité" explore l'équilibre essentiel entre contrôle de gestion et créativité, nécessaire pour l’innovation. Dans un contexte où 90 % des managers affirment l'importance de l'innovation mais où 75 % se disent insatisfaits des processus actuels, l'ouvrage questionne comment le contrôle peut soit structurer soit limiter la créativité des collaborateurs. L'étude examine divers types d’organisations, des entreprises classiques aux structures de l’économie sociale et solidaire, en montrant comment elles adaptent leurs pratiques de gestion pour favoriser un environnement propice à l'innovation. Les conclusions principales soulignent le rôle des organisations, l’acceptation d’un déséquilibre entre contrôle et créativité, ainsi que le rôle de médiateur des dirigeants, crucial pour transformer le contrôle en soutien à la créativité.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
Les Objectifs de Développement Durable (ODD) sont 17 objectifs adoptés en 2015 par les Nations Unies afin de répondre simultanément aux défis économiques, sociaux et environnementaux mondiaux à l’horizon 2030. Ils couvrent un large éventail d'enjeux tels que l’élimination de la pauvreté, l’accès universel à une éducation de qualité, la préservation des écosystèmes, la gestion durable des ressources ou encore la lutte contre le changement climatique. Pour les entreprises, adopter les ODD représente une opportunité stratégique majeure : cela permet de renforcer leur responsabilité sociale et environnementale, d'améliorer leur image de marque, d'attirer des investisseurs soucieux d’éthique, tout en assurant leur performance économique sur le long terme. Toutefois, réussir cette intégration implique un engagement fort et une réelle mobilisation de tous les acteurs internes et externes à l'entreprise.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
03:19
Les Objectifs de Développement Durable (ODD) sont 17 objectifs adoptés en 2015 par les Nations Unies afin de répondre simultanément aux défis économiques, sociaux et environnementaux mondiaux à l’horizon 2030. Ils couvrent un large éventail d'enjeux tels que l’élimination de la pauvreté, l’accès universel à une éducation de qualité, la préservation des écosystèmes, la gestion durable des ressources ou encore la lutte contre le changement climatique. Pour les entreprises, adopter les ODD représente une opportunité stratégique majeure : cela permet de renforcer leur responsabilité sociale et environnementale, d'améliorer leur image de marque, d'attirer des investisseurs soucieux d’éthique, tout en assurant leur performance économique sur le long terme. Toutefois, réussir cette intégration implique un engagement fort et une réelle mobilisation de tous les acteurs internes et externes à l'entreprise.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
Le coût de revient correspond à la somme de tous les coûts engagés pour produire un bien ou fournir un service. Il inclut les coûts directs (matières premières, main-d'œuvre spécifique) et indirects (frais généraux comme loyer, administration, amortissements). C’est un indicateur essentiel pour déterminer le prix de vente et analyser la rentabilité. Calculer précisément ce coût présente des défis, notamment la répartition des charges indirectes, la fluctuation régulière des prix des ressources, et les coûts cachés. Une maîtrise du coût de revient permet une meilleure gestion des ressources, favorisant la compétitivité et la pérennité de l’entreprise.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |