Management Stratégique
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Qu’est-ce que la résilience ?
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Qu’est-ce que la résilience ?

La résilience a été propulsée au premier plan par les contextes extrêmes de ces dernières années. Pour les organisations, la résilience serait une capacité de rebond, synonyme de retour à l’équilibre après une perturbation. Pourtant, les facettes de la résilience sont multiples : d’après Ovans, est résiliente une organisation capable de se remettre des échecs, de s’adapter au changement et de continuer à faire face à l’adversité. Les recherches récentes envisagent en effet la résilience comme un processus complexe et progressif. Est aussi résiliente une organisation qui est aussi capable avant, pendant et après la crise de gérer les dépendances à ses parties prenantes.

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Face à la crise du Covid-19, la vaccination fut l'outil sanitaire tandis que les associations ont tenté de réduire son impact social. Néanmoins, elles sont majoritairement constituées de bénévoles âgés, qui ont choisi de suspendre leur engagement. En France, dans le cadre d’une recherche engageant la communauté, une proposition des praticiens a été d'adapter la stratégie sanitaire en incluant les volontaires dans la stratégie vaccinale.
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |
La crise de Covid-19 a placé les organisations à but non lucratif dans une situation opérationnelle, humaine, financière et économique nouvelle. En France, les associations ont connu trois confinements et de nombreuses mesures restrictives. L'étude de leur résilience est donc nécessaire et contribue à la connaissance du concept. Une vaste enquête menée auprès de 10 926 dirigeants d'associations a montré que les associations françaises souffrent encore un an après le début de la crise.
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |
La pertinence des théories des parties prenantes et de la dépendance aux ressources est étudiée par l’analyse du fonctionnement des associations françaises face à la crise de la Covid-19. Grâce à une large enquête et une opérationnalisation des théories au filtre de l’orientation sociétale, sont mis en avant les effets positifs du maintien des dispositifs de gouvernance sur la performance de court terme...
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |
Gouverner convenablement une organisation est à la fois un défi et une nécessité vitale. Formelle, elle est souvent assimilée à des organes, comme le conseil d’administration, ou à des fonctions, comme l’audit. Informelle, la gouvernance repose sur des mécanismes spontanés et spécifiques de gouvernance. Le premier d’entre eux est la surveillance mutuelle des dirigeants. Tout aussi informelle, la culture d’organisation permet de diffuser les valeurs, les rites et les habitudes du collectif.
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |

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Based on institutional theory and the dynamic capability view, this study delves into the relationship between a firm’s climate change adaptation (CCA) capability and its performance, with a focus on the mediating influence of business-to-business (B2B) marketing capability. The study poses two main research questions: RQ1: What role do institutional pressures play in fostering CCA capability among B2B firms in both developed and developing countries? RQ2: How does the CCA capability of B2B firms impact their performance? To validate the theoretical model developed, data is collected through surveys conducted in a developed country (Australia) and a developing country (South Africa). The study holds significance on two fronts: (a) being among the first to examine the influence of institutional pressures on CCA capability development, and (b) uncovering the mediating role of marketing capability in enhancing B2B firm performance through CCA capability. The study’s novel contribution lies in identifying pivotal elements for driving exceptional B2B firm performance amidst climate change, while employing institutional theory and the dynamic capability view to elucidate underlying mechanisms.
BAG Surajit - EMLV |
Cette vidéo explique que la féminisation dans le domaine du Supply Chain Management est essentielle pour favoriser la diversité et l’inclusion. Bien que souvent négligée, elle enrichit les équipes en apportant une variété de perspectives et d’idées, favorisant ainsi l’innovation et la compétitivité dans un monde en évolution constante. Malgré des progrès, les femmes demeurent sous-représentées dans des postes clés, confrontées à divers obstacles tels que l’homophilie, les stéréotypes de genre et les défis d’équilibre travail-vie personnelle. Les entreprises et les établissements d’enseignement doivent s’engager fermement pour sensibiliser et promouvoir l’avancement des femmes dans ce domaine. La diversité de genre a également démontré des avantages économiques et sociaux, comme une meilleure performance financière et une amélioration des normes de sécurité. Ainsi, la féminisation n’est pas seulement une question d’égalité, mais aussi un impératif pour le succès et la durabilité du Supply Chain Management. Les professionnels et les chercheurs sont appelés à travailler ensemble pour créer un avenir plus juste, prospère et innovant pour tous.
RUEL Salomée - Excelia Business School |
Conceptualized by John Dewey in the 1930s, valuation can be defined as a social practice whereby actors reflexively reframe the inherited unsatisfactory values. Values are not considered as abstract properties, predetermined benefits, private preferences or undebatable statements, but as observable facts, practices and judgements, that everyone can see in our attitudes, relations and gestures. Valuation is thus a process where ends and means always interact, and where “ends-in-themselves”, transform into provisional “ends-in-view”. Finally, valuation implies an ethical and political dimension as the pragmatists only embrace values that enable emancipation, and help democratic processes flourish.
PANJETA Alvin - IAE Paris-Est |
The paper explores how sanctions affect international business (IB) and how firms respond to sanctions. We propose that firms’ reactions to sanctions can be analyzed through the lenses of leading IB theories, including institutions-based view and resource-based view. We argue that IB scholars can go beyond existing approaches to explain how firms act when facing sanctions. Moreover, we suggest that studies of firms facing sanctions help to reassess some of the assumptions underlying the prevailing theoretical explanations. We contribute with systematic view on strategy options that international and domestic firms may implement when faced with sanctions.
PANIBRATOV Andrei - EMLV |

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