Gestion des Ressources Humaines
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Qu’est-ce que la frustration ?
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Qu’est-ce que la frustration ?

La frustration est une expérience émotionnelle négative très courante au travail dans un environnement client qui peut survenir dans diverses circonstances, généralement présentes lorsque nos objectifs sont bloqués, que l’on a un certain degré d’incertitude sur les causes du problème, que l’on pense que cette situation est injuste, et que l’on ne peut pas contrôler les choses. Ce qui se passe une fois que l’on se sent frustré, c’est que l’on peut soit « laisser tomber », soit persévérer, et ce que l’on fait en termes d’actions à entreprendre peut dépendre de facteurs personnels et environnementaux.

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Professionals tend to strongly resist breaking from their professions’ core cultural tenets and it is unclear how some may voluntarily break from deeply ingrained views. Through our study of French anesthesiologists who practice hypnosis, we aim to better understand this little-explored phenomenon. Adopting hypnosis, a technique that many anesthesiologists consider subjective, contradicted a core tenet of their profession: the need to only use techniques validated by rigorous scientific-based research. Drawing on interviews and observations, we analyze how these anesthesiologists were able to change their views and reinvent their work. We find that turning inward to oneself (focusing on their own direct experiences of clients) and turning outward to clients (relying on relations with clients) played critical roles in anesthesiologists’ ability to shift their views and adopt hypnosis. Through this process, these anesthesiologists embarked on a voluntary internal transformation, or reboot, whereby they profoundly reassessed their work, onboarded people in adjacent professions to accept their own reinvention, and countered isolation from their peers.
BOURMAULT Nishani - NEOMA Business School |
La neutralité carbone désigne un équilibre parfait entre les émissions de CO2 et leur retrait de l'atmosphère, souvent appelé « zéro émissions nettes » (ZEN). Bien que le concept semble simple, il est important de noter qu'il concerne principalement le CO2 mais peut s'étendre à tous les gaz à effet de serre dans une définition plus large, connue sous le nom de « neutralité climatique ». La neutralité carbone peut être mesurée sur différents périmètres, comme une ville, un pays ou une organisation, et peut inclure des émissions directes et indirectes. Il est crucial de différencier la neutralité carbone de la compensation carbone, qui implique de financer des projets pour compenser les émissions. Cependant, la compensation peut détourner l’attention des réductions réelles et est parfois critiquée pour des pratiques de greenwashing. Pour être efficace, la neutralité carbone nécessite des actions substantielles et des transformations structurelles plutôt que de simples compensations financières.
LE Patrick - NEOMA Business School |
Our study explores historical paradoxes in the coffee industry, focusing on the persistent tension between pragmatism and idealism. Paradoxes are defined as persistent conflicts between opposing yet complementary forces. For example, organizations must balance stability with the need for change. We analyzed the coffee industry in the United States over a century, from the 1910s to the 2020s, using archives from Harvard Business School's Baker Library and other specialized sources. Our research highlights the paradox between pragmatic concerns (such as coffee supply during wartime) and ideological values (like sustainability concerns in the early 2000s). This tension, influenced by historical contexts, is ever-present. For managers, it is crucial to adapt strategies to cultural trends while balancing practical and idealistic goals. Understanding this dynamic helps navigate the complex landscape of the coffee industry, and this lesson is applicable to other sectors as well.
LE Patrick - NEOMA Business School |
Nous construisons tous des identités en fonction des situations. Notre étude examine la construction d’identité en contexte liminal, en prenant le cas des journalistes de la presse quotidienne sur Twitter. Elle montre que les journalistes jouent avec leurs identités, en créant une personnalité à l’intersection de leur identités professionnelle et personnelle. Ainsi, la construction d’identité en contexte liminal peut-être plaisante dès lors qu’elle est volontaire et conduite de façon autonome.
LE Patrick - NEOMA Business School |

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TEAMS, Excel, PowerPoint, Whatsapp, Outlook, ChatGPT sont quelques exemples d'outils numériques constituant le quotidien de travail de nombre de salariés et agents, particulièrement du tertiaire. La sur-numérisation correspond à ce phénomène d'expansion du nombre d'outils numériques dans le travail quotidien des salariés et agents. Cette expansion se retrouve à la fois dans le nombre d'outils numériques utilisés de manière formelle mais également informelle dans les organisations. Cette expansion à la fois verticale et horizontale en termes de groupes de tâches effectués par les salariés et agents. Cette notion est aussi affaire de perception comme le montre le travail doctoral en cours de Séverine Halopeau.
BAUDOIN Emmanuel - IMT Business School |
Drawing from women's testimonials in The Guardian and from contributions of feminist writers, Virginia Woolf, Julia Kristeva, and Margaret Mead, we start a conversation on the positive and energizing aspects of menopause in the workplace. We propose a social interpretation of menopause that challenges a pervasive perspective of medical decline: A theorization of “the dialectic of zest,” as inspired by the writings of Margaret Mead. By problematizing the experiences of women going through this transition in the workplace, we reveal how well-intentioned awareness campaigns can lead to further stigmatization. We thus encourage organizations to not only favor an approach of “education for all” but also extend their social imaginaries beyond medicalized perspectives and coping views.
QUENTAL Camilla - EM Normandie |
Référence à l'ouvrage "Souveraineté et RSE : enjeux et perspectives" La souveraineté économique est une nouvelle dimension clé de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), abordée dans L'impact de la souveraineté économique sur la RSE : enjeux et perspectives. Dans un contexte de crises multiples, elle vise à réduire la dépendance économique tout en renforçant l'autonomie stratégique des entreprises. Relocaliser une partie des activités industrielles permettrait de diminuer les émissions de COz, créer des emplois et revitaliser les territoires. Cette approche combine performance économique, justice sociale et protection de l'environnement, offrant un avantage compétitif et une meilleure fidélisation des parties prenantes. Intégrer la souveraineté économique dans la RSE, c'est faire de la durabilité une priorité concrète et répondre aux attentes des citoyens, des salariés et des clients, tout en contribuant à un avenir plus résilient et équitable.
JOURDAN Philippe - IAE Paris-Est |
Nous développons et testons un modèle multiniveau qui intègre les principes du leadership serviteur à la théorie de l'échange social afin d'explorer comment le leadership serviteur influence positivement la performance collective des tâches, renforce l'adaptabilité au niveau individuel et réduit l'épuisement émotionnel. Notre étude, menée en quatre vagues et auprès de trois sources, s'appuie sur un échantillon de 303 pompiers répartis dans 45 casernes. Les résultats des analyses par modèles d'équations structurelles multiniveaux (MSEM) montrent qu'au niveau individuel, le leadership serviteur prédit significativement une adaptabilité élevée et un faible épuisement émotionnel grâce à l'influence médiatrice de la confiance perçue par les pompiers et du climat de confiance.
PERRIER Anthony - TBS Education |

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