Qu’est-ce que la vision organisante ?

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La théorie de la vision organisante est une théorie développée par Swanson et Ramiller en 1997 dans un article paru dans Organization Science et intitulé « The organizing vision in information systems innovation ». Elle explique pourquoi il est rationnel que les entreprises adoptent des technologies de l’information émergentes qui ne sont pas toujours efficaces.

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La dette technique est une problématique de management et de gouvernance du système d’information. Elle se manifeste lorsque l’infrastructure logicielle et/ou matérielle du SI cumule des retards en termes de mise à jour et de mise en conformité. C’est une métaphore empruntée à la terminologie financière pour désigner ces tâches différées de maintenance dont l’accumulation au fil du temps peuvent handicaper fortement son évolution.
ASSAR Saïd - IMT Business School |
03:03
Jusqu’à l’émergence du réseau internet à la fin des années 90, l’impact spécifiques des technologies de l’information sur les institutions publiques avait été peu étudié dans le domaine des systèmes d’information de management. Le concept d’e-gouvernement émerge en même temps que l’e-commerce et correspond à l’exploitation des technologies numériques pour améliorer le fonctionnement de l’état dans une logique de réforme et d’optimisation, ainsi que l’ouverture d’un nouveau champ démocratique d’échange et de participation citoyenne. Il soulève des questionnements et de problématiques spécifiques dans une perspective multidisciplinaire où les technologies du numériques, le management, le droit et les sciences politiques se croisent.
ASSAR Saïd - IMT Business School |
04:38
Le Management des Connaissances est une pratique managériale qui s’est structurée à partir de la fin des années 1990. Il vise à protéger l’entreprise contre les risques de pertes de connaissances préjudiciables à la durabilité de son activité mais aussi à encourager le développement de nouvelles connaissances pour soutenir l’innovation.
DUDEZERT Aurélie - IMT Business School |
04:10
Le déterminisme technologique en Management des Systèmes d’Information est une perspective née dans les années 1970 qui considère qu’à une technologie correspond une structure organisationnelle, c’est-à-dire que la technologie influence directement et de façon déterminée la structure. Cette perspective est aujourd’hui nuancée : la technologie n’est pas neutre et a des effets sur l’organisation mais elle ne peut pas à elle seule conduire à une organisation donnée.
DUDEZERT Aurélie - IMT Business School |

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Les organisations hybrides doivent durablement répondre à des objectifs multiples ancrés dans des sphères institutionnelles différentes. Des recherches antérieures ont mis en évidence l'intérêt pour les organisations hybrides de recruter des membres de conseil d'administration représentant différentes logiques afin d'éviter les dérives attentionnelles ; cependant, les conseils d'administration diversifiés ont également été sujets à des conflits mettant en péril la poursuite d'objectifs multiples par ces organisations. Nous nous appuyons sur une étude de cas longitudinale et comparative de cinq entreprises d'insertion dotées de conseils d'administration institutionnellement diversifiés pour découvrir un modèle de gouvernance hybride composé d'une structure de conseil stable et de processus de leadership relationnel qui, ensemble, empêchent les conflits cognitifs et émotionnels distrayants et favorisent la prise en compte d'objectifs multiples par les membres du conseil d’administration et de la direction. Ces résultats contribuent à la recherche sur les organisations hybrides, la gouvernance des conseils d'administration et l'attention organisationnelle.
PACHE Anne-Claire - FNEGE |
Professionals tend to strongly resist breaking from their professions’ core cultural tenets and it is unclear how some may voluntarily break from deeply ingrained views. Through our study of French anesthesiologists who practice hypnosis, we aim to better understand this little-explored phenomenon. Adopting hypnosis, a technique that many anesthesiologists consider subjective, contradicted a core tenet of their profession: the need to only use techniques validated by rigorous scientific-based research. Drawing on interviews and observations, we analyze how these anesthesiologists were able to change their views and reinvent their work. We find that turning inward to oneself (focusing on their own direct experiences of clients) and turning outward to clients (relying on relations with clients) played critical roles in anesthesiologists’ ability to shift their views and adopt hypnosis. Through this process, these anesthesiologists embarked on a voluntary internal transformation, or reboot, whereby they profoundly reassessed their work, onboarded people in adjacent professions to accept their own reinvention, and countered isolation from their peers.
BOURMAULT Nishani - NEOMA Business School |
The sociomaterial lens within IS research holds that agency should not be considered as a property solely of humans, or of technology, but instead arises from an emergent interaction between the two. This, emergent, account of agency deepens our understanding of unfolding IS practice, but its largely cognitive orientation remains naïve towards affectively-sensed motivations that also form part of this interaction. By implication, a sociomaterial perspective lacking an affective dimension offers an incomplete conceptualisation of information systems. In response, an affectively-informed negative ontology encourages IS researchers to extend their focus beyond the visible, to encompass how actors’ receptiveness towards material objects (discourses, technologies) is shaped by deep, affectively-derived motivations of which they are not focally aware, but which nonetheless acquire agency in contributing to a sociomaterial outcome. A central argument, and illustrative empirical vignette, demonstrate how the concepts of sociomateriality, affect, and negative ontology combine to offer researchers an enhanced understanding of relational agency. A discussion follows, exploring some initial ontological, epistemological and methodological implications of an affectively-informed negative ontology for IS research.
PIGNOT Edouard - EMLV |
What are digital data wallets? What type of data do they handle, and what are their advantages? Digital data wallets are secure digital platforms or applications that allow users to store, manage, and share personal information and data. These wallets can hold a variety of digital credentials, including payment information, identification documents (like driver’s licenses or ID cards), and health records. Their flexibility and security make digital data wallets an attractive solution for a range of activities, from financial transactions to identity verification and online authentication.
TRABANDT Mélanie - AUDENCIA |

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