Qu’est-ce que le déterminisme technologique ?

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Le déterminisme technologique en Management des Systèmes d’Information est une perspective née dans les années 1970 qui considère qu’à une technologie correspond une structure organisationnelle, c’est-à-dire que la technologie influence directement et de façon déterminée la structure. Cette perspective est aujourd’hui nuancée : la technologie n’est pas neutre et a des effets sur l’organisation mais elle ne peut pas à elle seule conduire à une organisation donnée.

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Daniel Lang, maître de conférences à IMT-BS, présente le MOOC « Intelligence des Données au service des Organisations », visant à enseigner l'impact des données sur différents secteurs. Le programme combine théorie, cas pratiques et évaluation formative, permettant aux apprenants de progresser à leur rythme. Construit en collaboration avec des experts et une équipe audiovisuelle, il a attiré près de 1000 participants depuis janvier 2023, recevant des retours positifs. Le MOOC a obtenu le label FNEGE, valorisant son contenu, sa méthode pédagogique et son approche accessible.
LANG Daniel - IMT Business School |
02:56
Appliqué au management des organisations, le management symbiotique, pris dans une acception large, peut-être définit comme une association, qui tend à être durable et mutuellement bénéfique, entre et, au sein, d’un groupe d’individu avec leurs différents environnements.
BAUDOIN Emmanuel - IMT Business School |
AKAMBI Boladé - FNEGE |
02:45
Les transformations qui traversent le monde du travail sont multiples : numériques, écologiques, économiques, sanitaires ou encore géopolitique. Quel rapport entretiennent en 2023 les salariés français à leur travail et à ces transformations ? C’est à cette question que se sont intéressés le «HRM Transformations Lab» et la chaire « Inventivités Digitales » d’Institut Mines-Télécom Business School. Ils ont conduit une étude composée de 74 questions sur un échantillon d’un peu plus de 1 000 salariés français. Cette étude montre : 1. Des salariés positifs, quand ils ne sont pas très positifs, quand ils s’expriment sur leur travail, 2. Des salariés inquiets, pour ne pas dire très inquiets, quant aux transformations en cours, à l’exception de la transformation digitale prise dans son ensemble. Auteurs : Emmanuel Baudoin, Flavien Bazenet, Olivier Ségard.
BAUDOIN Emmanuel - IMT Business School |
BAZENET Flavien - IMT Business School |
SEGARD Olivier - IMT Business School |
03:04
Un peu plus de 9 salariés sur 10, 91,5% précisément, indiquent avoir recours au numérique pour réaliser la totalité ou une partie de leurs tâches au travail. S’il fallait encore s’en convaincre, le numérique est incontournable dans le quotidien des salariés. Mais quel rapport ont ces derniers à cette transformation numérique, comprise dans sa globalité ? Le HRM Transformations Lab d’Institut Mines-Télécom Business School, avec le soutien de la chaire « Inventivités digitales », du CFA EVE, du groupe OpenSourcing et de l’ANDRH Essonne a conduit trois études sur un échantillon représentatif d’un peu plus de 1 000 salariés français, en 2016, 2018 et 2023. Ces études montrent : 1. Un rapport global des salariés au numérique positif, 2. Le développement de pratiques numériques autonomes par l’existence de figure comme le salarié Self-RH et le salarié agile.
BAUDOIN Emmanuel - IMT Business School |

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Our research investigates how management interventions can facilitate user adaptation to new information technology across implementation stages and usage contexts. Drawing on the Coping Model of User Adaptation, we propose a 2×2 coping framework, showing that tailored interventions—such as training, user participation, feedback handling, and change fairness—differently shape users’ beliefs (perceived usefulness and ease of use) and coping mechanisms. Empirical studies in both mandatory (police officers) and voluntary (university students) settings confirm that communal coping dominates in mandatory contexts while individual coping prevails in voluntary ones. Pre-implementation beliefs strongly influence post-implementation perceptions, and deep usage significantly enhances user performance and satisfaction. The study offers theoretical insights into adaptive processes and practical guidance for managers aiming to improve IT implementation success.
YU Nadia-Yin - NEOMA Business School |
Cette recherche analyse la transformation digitale des entreprises industrielles sur le temps long, en s’appuyant sur le cas de l’industrie automobile. Elle montre que la digitalisation, amorcée depuis plusieurs décennies, s’inscrit dans une dynamique historique complexe. L’étude adopte une approche systémique et prospective, révélant six grandes périodes de co-évolution technologique. Elle souligne que la transformation digitale est à la fois continue et marquée par des ruptures, influencée par l’articulation produit-service-processus. L’ouvrage invite à repenser les stratégies digitales avec une approche intégrative, multidimensionnelle et interdisciplinaire, en valorisant l’expérience passée pour mieux accompagner les mutations futures.
FABBE-COSTES Nathalie - IAE Aix-Marseille Graduate School of Management |
En 2025, l’actualité des entreprises européennes a été marquée par la publication des premiers rapports sur la durabilité. En effet, la directive européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), relative à la publication de l’information extra-financière par les entreprises est entrée en vigueur en janvier 2024. La directive devrait concerner à terme près de 50 000 entreprises européennes. L’intégration des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la gestion des risques en entreprise a le potentiel de transformer les systèmes d’information de gestion des risques (SIGR) d’un outil de gestion réactif en une approche holistique proactive qui favorise une meilleure appréhension des risques. De l’efficacité des SIGR dépendra la pérennité des entreprises et leur résilience face aux chocs et aux ruptures.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
L’intelligence artificielle est omniprésente en entreprise, mais son usage reste souvent mal structuré. Notre recherche propose une méthodologie en quatre étapes pour cartographier les usages de l’IA et en évaluer les risques. Nous avons identifié trois catégories de risques : managériaux, organisationnels et juridiques. Nos résultats montrent que l’IA est souvent déployée sans vision globale, que les risques sont sous-évalués et qu’une gouvernance adaptée est essentielle. Nous recommandons aux entreprises de cartographier leurs usages, de réaliser des audits réguliers, de mettre en place un cadre de gouvernance clair et de former leurs équipes. L’objectif est de faire de l’IA un levier de transformation maîtrisé plutôt qu’une source de risques mal anticipés.
SCHOCH Patrice - EDC Business School |

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