Marketing, Vente et Communication
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Qu'est-ce que le taux de rebonds ou Bounce Rate ?
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Qu’est-ce que le taux de rebonds ou Bounce Rate ?

Le taux de rebonds aussi appelé Bounce Rate correspond au nombre d’internautes qui sont sortis d’un site internet dès la première page du site. Pour cela, il est important de comprendre ce que l’on entend par première page d’un site web. La première page d’un site n’est pas forcément la page d’accueil ou home page comme on pourrait le penser, elle peut aussi être ce que l’on nomme une « page d’atterrissage » ou « Landing page ». La Landing page est une des pages du site sur lequel l’internaute aura atterri après avoir cliqué par exemple sur un site link dans un moteur de recherche. Le site link est un lien qui permet d’aller directement sur une page précise d’un site internet.

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Les définitions académiques des fintechs sont basées sur des recherches antérieures ou sur des rapports d’organismes de régulation et de cabinets de conseil. En interrogeant directement 10 acteurs de la fintech et de la banque, cette étude compare la perception des fintechs par les chercheurs avec la réalité vécue par les professionnels interrogés. Notre définition est fortement inspirée de la perception des fondateurs de fintechs. Elle met davantage l’accent sur la notion d’innovation d’usage centrée sur le client (vs innovation technologique) et sur une vision entrepreneuriale des fintechs, plus indépendants des acteurs en place.
ELABIDI Houda - ISTEC Business School |
Présenter les 4 C du marketing nous amène à revenir un peu à l’origine du mix marketing et donc à aborder rapidement les 4 P. En effet, dans les années 60 Jérôme Mc Carthy présente les 4 P comme les 4 éléments clefs à considérer pour élaborer la stratégie marketing d’une entreprise. Le mix Marketing, les 4 P, pourrait se résumer à ces 4 questions : Quel Produit ? à quel Prix ? avec quelle Politique de Distribution (Place en anglais) ? et quelle Promotion mettre en œuvre pour vendre le produit ?
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
Vous avez surement déjà vécu une expérience similaire à celle de millions de consommateurs sur un site internet ou un magasin traditionnel : le Cross selling. Souvenez vous du vendeur de chaussures qui vous propose en plus de cette nouvelle paire de chaussures, le cirage, des lacets supplémentaires de couleurs ou la bombe imperméabilisante. Sur internet, le site qui vous propose en plus de votre livre, les tomes suivants en vous faisant une offre commerciale intéressante financièrement. Ces deux exemples relèvent de stratégies Cross selling.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
Vous souhaitez souscrire à l’abonnement d’un service de streaming vidéo, mais celui-ci vous propose plusieurs tarifs pour une qualité de services différents : Une offre d’accès très bas prix mais incluant de la publicité, une offre à un prix supérieur qui propose des services supplémentaires et enfin une offre premium tout inclus. Bienvenue dans la stratégie Up selling.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |

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The Triple Bottom Line (TBL) concept emphasizes that business success should not be measured solely by financial performance. It includes social and environmental impacts alongside profit. Additionally, dynamic capabilities help firms adapt to rapid environmental changes and enhance sustainability performance. Previous studies have shown that TBL initiatives can also improve sustainability performance. However, no research has investigated how dynamic abilities and TBL initiatives jointly impact B2B firms’ sustainability performance in the post-COVID-19 period. This study aims to examine the implications of dynamic capabilities on TBL performance, particularly from a B2B marketing perspective. By developing and validating a conceptual research model, it contributes to the literature related to dynamic capability view, TBL, and sustainability.
CHAUDHURI Ranjan - EMLV |
Based on institutional theory and the dynamic capability view, this study delves into the relationship between a firm’s climate change adaptation (CCA) capability and its performance, with a focus on the mediating influence of business-to-business (B2B) marketing capability. The study poses two main research questions: RQ1: What role do institutional pressures play in fostering CCA capability among B2B firms in both developed and developing countries? RQ2: How does the CCA capability of B2B firms impact their performance? To validate the theoretical model developed, data is collected through surveys conducted in a developed country (Australia) and a developing country (South Africa). The study holds significance on two fronts: (a) being among the first to examine the influence of institutional pressures on CCA capability development, and (b) uncovering the mediating role of marketing capability in enhancing B2B firm performance through CCA capability. The study’s novel contribution lies in identifying pivotal elements for driving exceptional B2B firm performance amidst climate change, while employing institutional theory and the dynamic capability view to elucidate underlying mechanisms.
BAG Surajit - EMLV |
“Deep” Electronic Word of Mouth involves in-depth online consumer discussions about products and services. It goes beyond surface-level comments, offering thoroughness, authenticity, and influence. Examples include detailed reviews on platforms like Amazon, TripAdvisor and discussions in specialized forums impacting businesses and consumers.
ZAMAN Mustafeed - EM Normandie |
Le Buyer Persona est une représentation fictive et détaillée des acheteurs cible d’un produit ou d’un service. Il est défini et piloté par les équipes marketing, et, est utilisé à la fois par les équipes marketing, commerciales et service client afin de mieux connaître leurs interlocuteurs. La création du Buyer Persona repose sur la collecte de nombreuses données issues d’études de marché, d’analyses des fichiers clients, de sondages en ligne et d’entretiens menés généralement auprès de clients. Il est composé principalement de critères socio-démographiques, comportementaux et psychographiques applicables à chacun. Enfin, il n’existe pas une représentation unique de Buyer Persona mais différents modèles disponibles par exemple sur Internet.
GIFFARD Pierre-Olivier - OMNES Education |

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