Do asset managers understand codes of conduct and their ethical dilemmas?

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codes of conduct, and how do they deal with ethical dilemmas? To answer these questions, we conducted a non-prompting online survey of wealth management employees at the Swiss legal entity of a large multinational bank. We used situational judgment questions to estimate the understanding and expected level of adherence to the CoC principles. We show that framing questions under the label « financial security » increases the accuracy of responses, and that employees’ honesty helps guide their decisions towards integrity in ethical dilemmas.

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03:52
Perceived product value describes consumers' overall assessment of a product. It takes into account the extent to which a product meets a consumer's needs and expectations. It takes into account the extent to which a product meets a consumer's needs and expectations. The perceived value of a product can be seen as a trade-off between quality and price. However, more nuanced definitions take into account the complex nature of perceived product value, and refer to its dimensions: emotional (feelings generated), social (improved social self-image), quality/performance (quality and performance expectations) and price/value for money (product utility and cost).
OSBURG Victoria-Sophie - MONTPELLIER Business School |
03:09
L’expérience personnelle et subjective de la thèse reste un pan négligé des études existantes sur le sujet. La thèse reste encore une « boîte noire » difficile à ouvrir et à déchiffrer pour les néophytes. Dès lors, comment une thèse se construit en pratique ? Comment les doctorants articulent-t-ils des demandes souvent contradictoires ? Pour y répondre, nous avons fait appel à des récits de collègues docteurs depuis moins de cinq ans, permettant de laisser la place à leur expérience, à interroger des évolutions institutionnelles récentes, dans les attentes liées à la thèse et au marché du travail. En somme, en tant qu’éditeurs, nous avons pensé cet ouvrage comme donnant à voir la thèse telle qu’elle se fait, plutôt que telle qu’elle devrait se faire.
GRANDAZZI Albane - FNEGE |
SENN Juliette - MONTPELLIER Business School |
02:54
Si la période du doctorat est largement documentée, l’après-thèse l’est beaucoup moins, et en particulier les mois - ou années - entre la soutenance de thèse et l’obtention d’un premier poste d’enseignant-chercheur. Ce chapitre vise donc à ouvrir la boîte noire de l’après-thèse en sciences de gestion, en discutant l’expérience des deux auteurs. Ni plaidoyer, ni critique, ce chapitre veut avant tout donner à voir les possibilités offertes par le postdoctorat, mais aussi les risques parfois peu visibles pour les docteurs s’engageant dans cette voie. Ce chapitre offre également des conseils pratiques dans la recherche d’un postdoctorat en sciences de gestion, ainsi que certains points de vigilance.
GRANDAZZI Albane - FNEGE |
SENN Juliette - MONTPELLIER Business School |
03:54
Les institutions financières sociales ont pour objectif de financer des projets sociaux. Des exemples de telles institutions sont les fondations, les institutions de microfinance, les plateformes de financement participatif, les coopératives de crédit, ou encore les banques sociales ou éthiques. Leurs modes opératoires sont très variées : les fondations réalisent des dons, alors que les banques sociales octroient des crédits. Les institutions financières sociales prennent leurs décisions d’investissement et de financement en s’appuyant sur des critères sociaux, environnementaux et économiques.
COZARENCO Anastasia - MONTPELLIER Business School |

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La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) est désormais incontournable pour les organisations, mais les crises économiques récentes fragilisent leur engagement. Le cadre normatif seul ne suffit pas à mobiliser les entreprises autour des piliers de la gouvernance, de la justice sociale et de l’environnement. Trois typologies émergent : les entreprises dont la RSE est au cœur du projet (ex : Biscornu, intégrant l’insertion professionnelle des personnes handicapées), celles qui alignent leur stratégie RSE avec leurs objectifs économiques (ex : Patagonia, Hermès) et enfin, celles pour qui la RSE reste opportuniste, exposées aux accusations de green washing. Pour être un levier de performance durable, la RSE doit s’inscrire structurellement dans la stratégie d’entreprise, créant ainsi une valeur partagée entre performance économique et impact sociétal.
JOURDAN Philippe - IAE Paris-Est |
L’intelligence artificielle est omniprésente en entreprise, mais son usage reste souvent mal structuré. Notre recherche propose une méthodologie en quatre étapes pour cartographier les usages de l’IA et en évaluer les risques. Nous avons identifié trois catégories de risques : managériaux, organisationnels et juridiques. Nos résultats montrent que l’IA est souvent déployée sans vision globale, que les risques sont sous-évalués et qu’une gouvernance adaptée est essentielle. Nous recommandons aux entreprises de cartographier leurs usages, de réaliser des audits réguliers, de mettre en place un cadre de gouvernance clair et de former leurs équipes. L’objectif est de faire de l’IA un levier de transformation maîtrisé plutôt qu’une source de risques mal anticipés.
SCHOCH Patrice - EDC Business School |
La gouvernance multi-acteurs et multi-niveaux désigne un mode de gestion des politiques publiques et des projets complexes qui repose sur l’articulation entre différents échelons de décision (local, régional, national, voire international) et la coopération entre une diversité d’acteurs publics, privés et citoyens. Contrairement aux modèles de gouvernance centralisés ou cloisonnés, cette approche reconnaît que les défis contemporains – comme la transition écologique ou la gestion des crises sociales – nécessitent une coordination entre plusieurs niveaux d’autorité et une implication active des parties prenantes. Inspirée de Duit et Galaz (2008), elle permet d’articuler des ressources et compétences variées pour répondre à des enjeux complexes. Selon Emerson, Nabatchi et Balogh (2011), elle s’appuie sur des processus et structures collaboratives impliquant divers acteurs au-delà des frontières institutionnelles et sectorielles. Cette gouvernance combine une coopération horizontale, entre organisations d’un même niveau, et verticale, entre différents échelons. Son objectif est de dépasser les logiques cloisonnées, favoriser l’innovation et mieux répondre aux besoins des citoyens.
BERTHINIER-PONCET Anne - LIRSA-CNAM |
MICHELIN Émilie - LIRSA-CNAM |
RIVAL Madina - LIRSA-CNAM |
L’innovation publique collaborative désigne une approche de l’innovation dans le secteur public qui repose sur la coopération entre une diversité d’acteurs : administrations, citoyens, entreprises, associations et collectivités. L’innovation publique collaborative repose sur deux approches complémentaires : une dynamique top-down, où l’innovation est structurée et encadrée par des institutions et une dynamique bottom-up, où l’innovation émerge du terrain grâce aux agents publics et citoyens. Elle s’appuie sur quatre fondamentaux : des objectifs communs, une vision partagée, la création de connaissances sociales et une gouvernance multi-acteurs et multi-niveaux. L’innovation publique collaborative crée de la valeur publique, reposant sur le leadership de certains acteurs, le dépassement des frontières organisationnelles et l’adaptation des services publics aux besoins réels des usagers.
BERTHINIER-PONCET Anne - LIRSA-CNAM |
MICHELIN Émilie - LIRSA-CNAM |
RIVAL Madina - LIRSA-CNAM |

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