Qu’est-ce que la Communication de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) ?

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La communication RSE est l’ensemble des pratiques qui permettent de communiquer le message autour de la stratégie RSE de l’entreprise à ses parties prenantes internes et externes. Elle a pour objectif de diffuser le message aux parties prenantes ainsi que de les engager et de les convaincre de la pertinence de ses actions RSE dans le cadre de sa stratégie. La communication RSE se doit de refléter les actions concrètes autour de l’environnement, de la société et les territoires au sein desquels l’entreprise opère. Tout découplage entre son discours RSE et ses actions RSE peut avoir un impact par la suite sur son image et sa réputation.

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05:21
The Triple Bottom Line (TBL) concept emphasizes that business success should not be measured solely by financial performance. It includes social and environmental impacts alongside profit. Additionally, dynamic capabilities help firms adapt to rapid environmental changes and enhance sustainability performance. Previous studies have shown that TBL initiatives can also improve sustainability performance. However, no research has investigated how dynamic abilities and TBL initiatives jointly impact B2B firms’ sustainability performance in the post-COVID-19 period. This study aims to examine the implications of dynamic capabilities on TBL performance, particularly from a B2B marketing perspective. By developing and validating a conceptual research model, it contributes to the literature related to dynamic capability view, TBL, and sustainability.
CHAUDHURI Ranjan - EMLV |
04:24
Based on institutional theory and the dynamic capability view, this study delves into the relationship between a firm's climate change adaptation (CCA) capability and its performance, with a focus on the mediating influence of business-to-business (B2B) marketing capability. The study poses two main research questions: RQ1: What role do institutional pressures play in fostering CCA capability among B2B firms in both developed and developing countries? RQ2: How does the CCA capability of B2B firms impact their performance? To validate the theoretical model developed, data is collected through surveys conducted in a developed country (Australia) and a developing country (South Africa). The study holds significance on two fronts: (a) being among the first to examine the influence of institutional pressures on CCA capability development, and (b) uncovering the mediating role of marketing capability in enhancing B2B firm performance through CCA capability. The study's novel contribution lies in identifying pivotal elements for driving exceptional B2B firm performance amidst climate change, while employing institutional theory and the dynamic capability view to elucidate underlying mechanisms.
BAG Surajit - EMLV |
06:06
The paper explores how sanctions affect international business (IB) and how firms respond to sanctions. We propose that firms’ reactions to sanctions can be analyzed through the lenses of leading IB theories, including institutions-based view and resource-based view. We argue that IB scholars can go beyond existing approaches to explain how firms act when facing sanctions. Moreover, we suggest that studies of firms facing sanctions help to reassess some of the assumptions underlying the prevailing theoretical explanations. We contribute with systematic view on strategy options that international and domestic firms may implement when faced with sanctions.
PANIBRATOV Andrei - EMLV |
03:09
Bien que la pratique du coaching ait fait l’objet d’une attention soutenue dans la littérature, aucun cadre théorique n’existe pour guider le langage des conversations visant à améliorer la performance des dirigeants. Cet article répond à cette omission. À la suite de Richard Weaver, il ressuscite une ancienne distinction entre langage noble et ignoble et combine cette distinction avec une hiérarchie linguistique. Le langage noble culmine et donne voix à une performance exécutive optimale ; en tant que tel, c’est le langage idéal du coaching.
JOULLIÉ Jean-Étienne - EMLV |

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The Triple Bottom Line (TBL) concept emphasizes that business success should not be measured solely by financial performance. It includes social and environmental impacts alongside profit. Additionally, dynamic capabilities help firms adapt to rapid environmental changes and enhance sustainability performance. Previous studies have shown that TBL initiatives can also improve sustainability performance. However, no research has investigated how dynamic abilities and TBL initiatives jointly impact B2B firms’ sustainability performance in the post-COVID-19 period. This study aims to examine the implications of dynamic capabilities on TBL performance, particularly from a B2B marketing perspective. By developing and validating a conceptual research model, it contributes to the literature related to dynamic capability view, TBL, and sustainability.
CHAUDHURI Ranjan - EMLV |
Cette vidéo explique que la féminisation dans le domaine du Supply Chain Management est essentielle pour favoriser la diversité et l’inclusion. Bien que souvent négligée, elle enrichit les équipes en apportant une variété de perspectives et d’idées, favorisant ainsi l’innovation et la compétitivité dans un monde en évolution constante. Malgré des progrès, les femmes demeurent sous-représentées dans des postes clés, confrontées à divers obstacles tels que l’homophilie, les stéréotypes de genre et les défis d’équilibre travail-vie personnelle. Les entreprises et les établissements d’enseignement doivent s’engager fermement pour sensibiliser et promouvoir l’avancement des femmes dans ce domaine. La diversité de genre a également démontré des avantages économiques et sociaux, comme une meilleure performance financière et une amélioration des normes de sécurité. Ainsi, la féminisation n’est pas seulement une question d’égalité, mais aussi un impératif pour le succès et la durabilité du Supply Chain Management. Les professionnels et les chercheurs sont appelés à travailler ensemble pour créer un avenir plus juste, prospère et innovant pour tous.
RUEL Salomée - Excelia Business School |
Conceptualized by John Dewey in the 1930s, valuation can be defined as a social practice whereby actors reflexively reframe the inherited unsatisfactory values. Values are not considered as abstract properties, predetermined benefits, private preferences or undebatable statements, but as observable facts, practices and judgements, that everyone can see in our attitudes, relations and gestures. Valuation is thus a process where ends and means always interact, and where “ends-in-themselves”, transform into provisional “ends-in-view”. Finally, valuation implies an ethical and political dimension as the pragmatists only embrace values that enable emancipation, and help democratic processes flourish.
PANJETA Alvin - IAE Paris-Est |
L’EBITDA, ou excédent brut d’exploitation (EBE), est un indicateur financier évaluant la performance opérationnelle d’une entreprise en excluant certains éléments comme l’amortissement, la dépréciation, les intérêts et les impôts. Il permet des comparaisons de rentabilité entre entreprises, produits ou business units, et est utilisé dans les fusions et acquisitions pour évaluer la rentabilité opérationnelle. Les multiples d’EBITDA, des ratios financiers, comparent la valeur d’une entreprise à son EBITDA, facilitant l’évaluation des entreprises dans un même secteur ou lors de transactions. Bien qu’utile, l’EBITDA présente des limites, ne tenant pas compte des investissements en capital et pouvant être manipulé pour donner une fausse impression de rentabilité.
BESANGER Serge - OMNES Education |

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