Recherche par mots clés

Recherche par mots clés

Établissements

Établissements

Auteurs

Auteurs

Thématiques

Thématiques

Formats

Formats

Types de média

Types de média

Dico du management

Dico du management

Trier par

Trier par
Cette vidéo présente les résultats d'une étude sur l'intégration de l'intelligence artificielle (IA) dans l'industrie automobile, axée sur les grands acteurs historiques du secteur. L'étude révèle que l'IA est principalement utilisée pour des améliorations incrémentales, telles que l'automatisation de tâches, plutôt que pour des innovations de rupture. Cette "exploitation" optimise les processus existants sans transformation radicale. L'approche organisationnelle est également surprenante : au lieu d'une stratégie "top-down" dirigée par des data scientists, l'IA est intégrée de manière "bottom-up", par les ingénieurs qui l'appliquent dans leurs expertises en fin de processus de développement. Cela montre que l'IA peut être un levier d'optimisation et de créativité lorsqu'elle est utilisée de façon progressive et distribuée. Cette méthode pourrait aussi s'appliquer à d'autres technologies émergentes dans différents secteurs.
PLANTEC Quentin - TBS Education |
DEVAL Marie-Alix - ISTEC Business School |
03:06
Cette vidéo présente les résultats d'une étude sur l'intégration de l'intelligence artificielle (IA) dans l'industrie automobile, axée sur les grands acteurs historiques du secteur. L'étude révèle que l'IA est principalement utilisée pour des améliorations incrémentales, telles que l'automatisation de tâches, plutôt que pour des innovations de rupture. Cette "exploitation" optimise les processus existants sans transformation radicale. L'approche organisationnelle est également surprenante : au lieu d'une stratégie "top-down" dirigée par des data scientists, l'IA est intégrée de manière "bottom-up", par les ingénieurs qui l'appliquent dans leurs expertises en fin de processus de développement. Cela montre que l'IA peut être un levier d'optimisation et de créativité lorsqu'elle est utilisée de façon progressive et distribuée. Cette méthode pourrait aussi s'appliquer à d'autres technologies émergentes dans différents secteurs.
DEVAL Marie-Alix - ISTEC Business School |
PLANTEC Quentin - TBS Education |
Malgré les performances avérées des méthodes modernes d’intelligence artificielles, peu de travaux s’intéressent aux impacts environnementaux liés à la quantité de ressources nécessaires à l’entrainement et à l’usage de ces modèles. Ceci est très alarmant, lorsqu’on sait que le réchauffement climatique est une menace majeure qui met en péril notre planète et nos sociétés. Ainsi, nous abordons globalement dans ce travail la question de la mesure de l’empreinte carbone des modèles d’intelligence artificielle. Plus précisément nous considérons le cas des modèles visant à réduire les émissions de CO2. Pour de tels modèles, nous proposons de mesurer leurs impacts négatifs (quantité CO2 émise par l’entrainement et l’usage des modèles), et leurs impacts positifs (quantité de CO2 non émise du fait de l’usage des modèles). Les évaluations réalisées démontrent que l’empreinte carbone générée par l’entrainement et l’usage des modèles d’intelligence artificielle est globalement non-négligeable. Ainsi, les nouvelles métriques que nous proposons peuvent permettre d’évaluer et de comparer l’impact environnemental de ces modèles, au-delà des métriques usuelles d’évaluation des performances prédictives.
TCHUENTE Dieudonné - TBS Education |
04:02
Malgré les performances avérées des méthodes modernes d’intelligence artificielles, peu de travaux s’intéressent aux impacts environnementaux liés à la quantité de ressources nécessaires à l’entrainement et à l’usage de ces modèles. Ceci est très alarmant, lorsqu’on sait que le réchauffement climatique est une menace majeure qui met en péril notre planète et nos sociétés. Ainsi, nous abordons globalement dans ce travail la question de la mesure de l’empreinte carbone des modèles d’intelligence artificielle. Plus précisément nous considérons le cas des modèles visant à réduire les émissions de CO2. Pour de tels modèles, nous proposons de mesurer leurs impacts négatifs (quantité CO2 émise par l’entrainement et l’usage des modèles), et leurs impacts positifs (quantité de CO2 non émise du fait de l’usage des modèles). Les évaluations réalisées démontrent que l’empreinte carbone générée par l’entrainement et l’usage des modèles d’intelligence artificielle est globalement non-négligeable. Ainsi, les nouvelles métriques que nous proposons peuvent permettre d’évaluer et de comparer l’impact environnemental de ces modèles, au-delà des métriques usuelles d’évaluation des performances prédictives.
TCHUENTE Dieudonné - TBS Education |
La publicité programmatique optimise l’achat et la vente d’espaces publicitaires en ligne via des logiciels et des algorithmes. Au cœur de ce système se trouve l’enchère en temps réel (RTB), où les impressions publicitaires sont mises aux enchères en quelques millisecondes en fonction du profil de l’utilisateur sur des Ad Exchanges. Les annonceurs utilisent des plateformes côté demande (DSP) pour enchérir sur ces impressions, ciblant des audiences spécifiques, tandis que les éditeurs emploient des plateformes côté offre (SSP) pour maximiser leurs revenus publicitaires. Le processus implique des agences spécialisées ou des Trading Desks, et de plus en plus, les annonceurs préfèrent les accords privés pour de meilleurs tarifs et des environnements sécurisés. Les défis de la programmatique incluent la complexité, la qualité de l’inventaire, la fraude et les problèmes de respect de la vie privée.
MERCANTI-GUERIN Maria - IAE Paris-Sorbonne Business School |
03:06
La publicité programmatique optimise l'achat et la vente d'espaces publicitaires en ligne via des logiciels et des algorithmes. Au cœur de ce système se trouve l'enchère en temps réel (RTB), où les impressions publicitaires sont mises aux enchères en quelques millisecondes en fonction du profil de l'utilisateur sur des Ad Exchanges. Les annonceurs utilisent des plateformes côté demande (DSP) pour enchérir sur ces impressions, ciblant des audiences spécifiques, tandis que les éditeurs emploient des plateformes côté offre (SSP) pour maximiser leurs revenus publicitaires. Le processus implique des agences spécialisées ou des Trading Desks, et de plus en plus, les annonceurs préfèrent les accords privés pour de meilleurs tarifs et des environnements sécurisés. Les défis de la programmatique incluent la complexité, la qualité de l'inventaire, la fraude et les problèmes de respect de la vie privée.
MERCANTI-GUERIN Maria - IAE Paris-Sorbonne Business School |
Définir une identité visuelle, c’est parvenir à concrétiser en éléments graphiques (signes, couleurs, formes, polices, etc.) l’identité d’une marque, pour la distinguer de ses concurrents. Elle repose avant tout sur la création d’un logotype mais aussi sur l’élaboration d’une charte graphique qui donnent sens au projet de l’identité de la marque. Tout l’enjeu de la démarche consiste à donner naissance à un univers visuel en parfaite cohérence avec l’essence de la marque et à ses produits ou services.
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |
02:36
Définir une identité visuelle, c’est parvenir à concrétiser en éléments graphiques (signes, couleurs, formes, polices, etc.) l’identité d’une marque, pour la distinguer de ses concurrents. Elle repose avant tout sur la création d’un logotype mais aussi sur l’élaboration d’une charte graphique qui donnent sens au projet de l’identité de la marque. Tout l’enjeu de la démarche consiste à donner naissance à un univers visuel en parfaite cohérence avec l’essence de la marque et à ses produits ou services.
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |
Le terme « GAFAM » représente aujourd’hui les 5 plus grandes entreprises nord-américaines qui dominent et contrôlent en partie le marché du numérique dont l’intelligence artificielle. Au début on citait les GAFA : G pour Google, A pour Apple, F pour Facebook, A pour Amazon puis le M pour Microsoft s’est rajouté. Les GAFAM ont souvent été nommées « les big 5 » car elles sont comparées pour leur force et leur intelligence aux 5 espèces animales et sauvages les plus emblématiques. Les GAFAM qui sont originaires de la Silicon Valley en Californie sont en concurrences avec les NATU. Un autre acronyme pour désigner Netflix, Airbnb, Tesla, Uber.
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
02:43
Le terme « GAFAM » représente aujourd’hui les 5 plus grandes entreprises nord-américaines qui dominent et contrôlent en partie le marché du numérique dont l’intelligence artificielle. Au début on citait les GAFA : G pour Google, A pour Apple, F pour Facebook, A pour Amazon puis le M pour Microsoft s’est rajouté. Les GAFAM ont souvent été nommées « les big 5 » car elles sont comparées pour leur force et leur intelligence aux 5 espèces animales et sauvages les plus emblématiques. Les GAFAM qui sont originaires de la Silicon Valley en Californie sont en concurrences avec les NATU. Un autre acronyme pour désigner Netflix, Airbnb, Tesla, Uber.
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |
03:35
L’Intelligence Artificielle (IA) constitue un enjeu stratégique au sein des entreprises, permettant d’innover et de proposer de nouveaux usages et services vers les clients. Elle redistribue les tâches, transforme les métiers et amène à repenser les apprentissages des collaborateurs. Compte tenu de ce double enjeu à la fois stratégique et humain, il est pertinent d’observer quelle est la position des managers et des partenaires sociaux dans cette nouvelle réalité. Cet article se focalise sur leur perception en matière de risques et d’opportunités liés à l’IA dans la transformation des métiers au sein de la branche Métallurgie.
DEJOUX Cécile - LIRSA-CNAM |
GRESELLE-ZAÏBET Olfa - LIRSA-CNAM |
L’Intelligence Artificielle (IA) constitue un enjeu stratégique au sein des entreprises, permettant d’innover et de proposer de nouveaux usages et services vers les clients. Elle redistribue les tâches, transforme les métiers et amène à repenser les apprentissages des collaborateurs. Compte tenu de ce double enjeu à la fois stratégique et humain, il est pertinent d’observer quelle est la position des managers et des partenaires sociaux dans cette nouvelle réalité.
DEJOUX Cécile - LIRSA-CNAM |
GRESELLE-ZAÏBET Olfa - LIRSA-CNAM |