Marketing, Vente et Communication
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Qu’est-ce que la réputation ?
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Qu’est-ce que la réputation ?

La réputation est un jugement social. C’est une catégorie de pensée, elle n’existe que dans notre esprit. Elle n’en a pas moins des effets puissants. Il s’agit d’une évaluation de la qualité, d’un produit, d’une entreprise ou même d’un individu comme un artiste ou un sportif. Elle vise à réduire l’incertitude du consommateur, du partenaire, de tous ceux qui peuvent vouloir travailler avec telle organisation ou tel individu.

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Le rapport FNEGE analyse l’impact des IA génératives dans l’enseignement supérieur en management. L’essor rapide d’outils comme ChatGPT et GPT-4 transforme l’apprentissage et le travail des étudiants, qui les adoptent en masse. Cette évolution pose des défis aux enseignants et institutions pour une intégration optimale. Il faut former à un usage responsable, tout en préservant esprit critique et rigueur scientifique. Le rapport propose un état des lieux et des pistes d’action face à ces enjeux.
GOUDEY Alain - NEOMA Business School |
Professionals tend to strongly resist breaking from their professions’ core cultural tenets and it is unclear how some may voluntarily break from deeply ingrained views. Through our study of French anesthesiologists who practice hypnosis, we aim to better understand this little-explored phenomenon. Adopting hypnosis, a technique that many anesthesiologists consider subjective, contradicted a core tenet of their profession: the need to only use techniques validated by rigorous scientific-based research. Drawing on interviews and observations, we analyze how these anesthesiologists were able to change their views and reinvent their work. We find that turning inward to oneself (focusing on their own direct experiences of clients) and turning outward to clients (relying on relations with clients) played critical roles in anesthesiologists’ ability to shift their views and adopt hypnosis. Through this process, these anesthesiologists embarked on a voluntary internal transformation, or reboot, whereby they profoundly reassessed their work, onboarded people in adjacent professions to accept their own reinvention, and countered isolation from their peers.
BOURMAULT Nishani - NEOMA Business School |
La neutralité carbone désigne un équilibre parfait entre les émissions de CO2 et leur retrait de l'atmosphère, souvent appelé « zéro émissions nettes » (ZEN). Bien que le concept semble simple, il est important de noter qu'il concerne principalement le CO2 mais peut s'étendre à tous les gaz à effet de serre dans une définition plus large, connue sous le nom de « neutralité climatique ». La neutralité carbone peut être mesurée sur différents périmètres, comme une ville, un pays ou une organisation, et peut inclure des émissions directes et indirectes. Il est crucial de différencier la neutralité carbone de la compensation carbone, qui implique de financer des projets pour compenser les émissions. Cependant, la compensation peut détourner l’attention des réductions réelles et est parfois critiquée pour des pratiques de greenwashing. Pour être efficace, la neutralité carbone nécessite des actions substantielles et des transformations structurelles plutôt que de simples compensations financières.
LE Patrick - NEOMA Business School |
Our study explores historical paradoxes in the coffee industry, focusing on the persistent tension between pragmatism and idealism. Paradoxes are defined as persistent conflicts between opposing yet complementary forces. For example, organizations must balance stability with the need for change. We analyzed the coffee industry in the United States over a century, from the 1910s to the 2020s, using archives from Harvard Business School's Baker Library and other specialized sources. Our research highlights the paradox between pragmatic concerns (such as coffee supply during wartime) and ideological values (like sustainability concerns in the early 2000s). This tension, influenced by historical contexts, is ever-present. For managers, it is crucial to adapt strategies to cultural trends while balancing practical and idealistic goals. Understanding this dynamic helps navigate the complex landscape of the coffee industry, and this lesson is applicable to other sectors as well.
LE Patrick - NEOMA Business School |

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La confusion du consommateur désigne un état d’incertitude cognitive qui perturbe la prise de décision d’achat. Elle peut être causée par une surcharge d’informations, un manque de clarté ou des messages ambigus. Ce phénomène entraîne des réactions cognitives, affectives et comportementales, telles que le stress, la frustration, le report ou l’abandon d’achat. Il a aussi des effets négatifs sur la satisfaction, la fidélité et la performance marketing. Pour y remédier, les entreprises doivent clarifier leurs offres et simplifier leur communication.
BENHISSI Maali - EDC Business School |
Cette étude explore les facteurs influençant les décisions d'achat des consommateurs de slow fashion, en se concentrant sur la relation entre les attributs des produits, la valeur perçue, le manque d'information, la confusion et le comportement des consommateurs (intention, report et abandon d'achat). Une enquête quantitative a été menée auprès de 323 consommateurs, et les données ont été analysées à l'aide de la méthode PLS-SEM. Les résultats montrent que la valeur perçue influence positivement l'intention d'achat. Cependant, seuls trois attributs de la slow fashion — localisme, équité et fonctionnalité — ont un impact significatif sur la valeur perçue. Le manque d'information a un effet négatif sur la valeur perçue et entraîne une confusion chez les consommateurs, ce qui peut conduire au report ou à l'abandon de l'achat. L'étude suggère que entreprises des produits slow fashion doivent mettre l'accent sur ces attributs clés et améliorer la communication pour réduire la confusion des consommateurs. Cette recherche contribue à la compréhension de l'influence des barrières externes, telles que le manque d'information, sur la consommation durable.
BENHISSI Maali - EDC Business School |
Le marketing social, défini par Kotler et Zaltman (1971), vise à influencer les comportements pour le bien de la société, notamment en matière de santé publique et d’environnement. Une approche critique, appelée marketing social critique, a émergé pour analyser l’impact du marketing sur la société et influencer les politiques publiques. Gordon (2011) en a précisé les contours et domaines d’application. Ce champ s’est développé en France grâce à l’Institut de Marketing Social, partenaire d’organisations internationales. Des études ont montré l’influence du marketing sur l’alimentation des enfants, le tabac et l’alcool. Malgré la loi Evin, l’industrie de l’alcool recourt à des stratégies hors-médias, comme le placement de produits dans les films. Cela soulève la question de l’impact de ces pratiques sur les populations vulnérables, renforçant le besoin de recherches en marketing social critique pour appuyer de nouvelles régulations.
BREHONNET Rémi - Excelia Business School |
Antonio Damasio a démontré que les émotions sont essentielles à la prise de décision, remettant en cause l'idée d'un consommateur purement rationnel. Sa théorie des « marqueurs somatiques » explique comment nos émotions, par le biais de signaux physiologiques, guident nos choix. Ses recherches montrent que sans émotions, la prise de décision devient difficile. Cette perspective influence le neuromarketing, qui exploite les émotions pour renforcer l'attachement aux marques. En créant des expériences mémorables, les entreprises favorisent la fidélité. Damasio souligne que la compréhension de la consommation passe par la prise en compte du rôle fondamental joué par les émotions.
BREHONNET Rémi - Excelia Business School |

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