Management de l'Innovation
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Baby, you can drive my car : les antécédents qui poussent les consommateurs à adopter un véhicule autonome doté d’une IA
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Baby, you can drive my car : les antécédents qui poussent les consommateurs à adopter un véhicule autonome doté d’une IA

Les véhicules autonomes (VA) basés sur l’intelligence artificielle (IA) constituent l’une des avancées technologiques les plus attendues de notre époque, avec des implications sociales très importantes en termes de sécurité des conducteurs/passagers et d’aspects environnementaux. Cependant, la plupart des consommateurs sont réticents à l’adoption de ces VA. Nous analysons, à l’aide d’une enquête menée en France, l’adoption de VA basés sur l’IA, afin de comprendre les facteurs psychologiques, sociaux et cognitifs. Nous montrons qu’il existe une relation positive entre l’adoption de VA et les attentes en matière de performance, facilité d’usage, la reconnaissance sociale, le bien-être, l’hédonisme, la confiance dans la technologie, ainsi que la sécurité.

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oulouse School of management, l’IAE toulousain rattaché à l’université Toulouse-I Capitole, n’est que le 4e établissement public français - et le 2e IAE - à obtenir l’accréditation Equis, délivrée par l’EFMD, marque de qualité et de reconnaissance : Hervé Penan, son directeur, invité du podcast "Le Grand Oral AEF info/Fnege", explique sa stratégie et ce que cela va changer pour l’institution.
CABY Jérôme - IAE Paris-Sorbonne Business School |
PENAN Hervé - Toulouse School of Management |
PIOVEZAN Sarah - AEF Info |
« Splendeurs et Misères de la RSE » présente l’histoire de lé réception de la Responsabilité sociétale des entreprises et explique pourquoi ce concept d’origine américaine a été aussi favorablement accueilli et mis en pratique en France. La reddition de comptes par les entreprises et le devoir de vigilance constituent des progrès importants mais la RSE échoue à résoudre les graves problèmes sociaux et environnementaux qui se posent aujourd’hui en lien avec les impacts de l’entreprise.
IGALENS Jacques - Toulouse School of Management |
Splendeurs et Misères de la RSE » présente l’histoire de lé réception de la Responsabilité sociétale des entreprises et explique pourquoi ce concept d’origine américaine a été aussi favorablement accueilli et mis en pratique en France. La reddition de comptes par les entreprises et le devoir de vigilance constituent des progrès importants mais la RSE échoue à résoudre les graves problèmes sociaux et environnementaux qui se posent aujourd’hui en lien avec les impacts de l’entreprise.
IGALENS Jacques - Toulouse School of Management |
Les parties prenantes font une entrée fracassante en gestion à partir de l’ouvrage qu’un philosophe (Ed. Freeman) publie en 1984 : « Strategic Management: A Stakeholder Approach ». Depuis ce concept est devenu un pilier de toute stratégie RSE. Une entreprise désirant se lancer en RSE doit identifier ses parties prenantes, s’informer de leurs attentes et en tenir compte dans sa stratégie RSE.
IGALENS Jacques - Toulouse School of Management |

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Cette étude analyse 2 986 entreprises d’Amérique latine (2009–2017, base LAIS) pour comprendre comment les collaborations universités–entreprises influencent le lien entre dépenses d’innovation et résultats d’innovation. Les résultats montrent (1) une relation positive entre dépenses et résultats, et (2) un effet modérateur significatif de la collaboration universitaire : à budget équivalent, les entreprises partenaires des universités obtiennent davantage d’innovations. La qualité des partenariats compte autant que leur existence. Implications : structurer la coopération (objectifs, IP), investir dans le capital humain, et mobiliser les ressources académiques comme amplificateurs de capacité.
PLATA Carlos - EM Normandie |
Les entreprises investissent massivement en R&D, mais l’impact reste parfois inégal. Travailler avec les universités aide à passer des idées aux solutions utiles—non seulement via les brevets ou les équipements, mais grâce à la dimension humaine des connaissances. Un langage partagé, des routines simples et un apprentissage conjoint alignent les équipes et évitent les retours en arrière. En co-concevant le cahier des charges, en libérant un peu de temps aux chercheurs et en s’appuyant sur un soutien juridique et de gestion de projet solide, la collaboration avance mieux. Le prestige peut ouvrir la première porte, mais la valeur naît du travail quotidien ensemble : adoption plus rapide, processus améliorés, compétences qui restent dans l’entreprise. Quand les universités reconnaissent et valorisent ces résultats, les partenariats se renforcent. En bref : investir dans la relation qui porte le savoir-faire sécurise et améliore le rendement de la R&D.
PLATA Carlos - EM Normandie |
Lorsqu’un entrepreneur innove, il peut protéger ses créations grâce aux droits de propriété intellectuelle (PI) qui accordent un droit exclusif d’utilisation et de valorisation. La PI se divise en deux branches : la propriété littéraire et artistique (droit d’auteur et droits voisins), qui protège les œuvres originales, et la propriété industrielle (brevets, modèles, marques, etc.), qui protège inventions et créations. Ces protections présentent toutefois des limites : procédures longues, coûteuses et valables dans le temps et l’espace. À côté de ces outils juridiques, les entrepreneurs peuvent recourir à des protections informelles comme le secret, la rapidité d’accès au marché, l’avance technologique ou la réputation. Ces stratégies sont peu coûteuses et rapides à mettre en place, mais plus risquées. En pratique, les entrepreneurs peuvent combiner protections formelles et informelles afin d’adapter leur stratégie à leurs besoins et aux exigences du marché.
BRUNNER Pauline - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion Strasbourg |
La curiosité, souvent perçue comme un défaut, devient en marketing un levier stratégique. Certaines marques l’utilisent pour capter l’attention par la surprise ou l’incongru. Une étude bibliométrique et bibliographique sur plus de 3400 publications a permis de clarifier ce concept encore flou. La curiosité spécifique est définie comme un état attitudinal temporaire, mêlant cognition, émotion et motivation. Elle peut être activée par des facteurs extrinsèques (nouveauté, complexité…) ou intrinsèques (curiosité trait, expertise…). Ses effets positifs sont nombreux : mémorisation, plaisir, intention d’achat. L’agenda de recherche propose 4 axes : affiner les antécédents, explorer les effets, intégrer des modérateurs et améliorer la mesure. Dans un monde saturé, susciter la curiosité devient un moyen de réengager le consommateur.
BECK Marie - IAE Lille |

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