Les Soft Skills au coeur de la Pédagogie

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Les soft skills que nous pouvons définir comme des compétences comportementales et/ou émotionnelles sont aujourd’hui un élément d’employabilité mis en avant par les entreprises. On les oppose généralement aux Hard Skills qui sont plutôt du domaine du savoir-faire ou des compétences techniques. Par exemple, l’adaptabilité, l’esprit d’équipe ou encore la rigueur/l’organisation mais aussi l’empathie et l’ouverture d’esprit sont apparentés à des Soft Skills. A Kedge, nous travaillons sur ces compétences depuis 2004 avec un dispositif innovant : BeU. Be-U est un dispositif d’accompagnement personnel et professionnel développé́ par KEDGE pour ses étudiants en formation initiale.

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03:09
Pitch pour le Prix FNEGE de la Meilleure Thèse en Management 2023 (thèse en 180 secondes) - Prix de thèse AIRL-SCM L'action humanitaire est confrontée à de nombreuses crises à travers le monde. Des situations telles que les conflits armés, les catastrophes naturelles et les crises sanitaires ont un impact dévastateur sur les populations vulnérables. L’analyse de ces crises montre qu'elles sont de plus en plus persistantes, chroniques et interconnectées. Cependant, ce constat soulève un premier questionnement : peut-on encore parler de "crise" lorsque ces situations deviennent la norme plutôt que des événements ponctuels ?
TOSI Laetitia - FNEGE |
04:13
Cette vidéo présente un retour d'expérience de trois anciens doctorants qui parlent de leur apprentissage des méthodes quantitatives et qualitatives pendant la thèse. Lucie Cortambert, Kathleen Desveaud et Guillaume Do Vale mettent en avant trois idées clés dans cette vidéo. Tout d’abord, la nécessité de se faire plaisir en choisissant un sujet passionnant, en s’ouvrant à la diversité des méthodes et en étant créatif dans la conduite des études. Ensuite, la nécessité de bien se former en amont pour se permettre cette liberté en maîtrisant au mieux des outils et les concepts statistiques, et pour cela en n’hésitant pas à poser des questions autour de soi, explorer diverses ressources pour apprendre et en toujours gardant confiance en soi dans ces aptitudes à apprendre et progresser.
CORTAMBERT Lucie - FNEGE |
DESVEAUD Kathleen - KEDGE Business School |
DO VALE Guilaume - FNEGE |
02:45
En trois mots les Achats sont les gestionnaires des ressources externes de leur organisation. Les achats sont d’abord les plus gros postes de dépenses dans la plupart des entreprises. Ils représentent entre 30 et 90% du compte de résultats. En moyenne au-delà de 50% des charges sont affectées à l’acquisition de biens et/ou de services auprès d’entreprises externes, les fournisseurs, afin d’être transformées et combinées avec les ressources propres à l’entreprise acheteuse pour pouvoir délivrer les produits et services qu’elle propose à ses clients.
SERVAJEAN-HILST Romaric - KEDGE Business School |
03:04
La notion de confiance est au cœur des travaux académiques sur les relations inter-entreprises. Elle est considérée comme un composant essentiel de la réussite de tout projet impliquant plus d’une organisation – que ce soit pour une relation marchande classique ou pour innover. La confiance entre deux organisations existe quand au moins l’une des deux est certaine de la fiabilité et de l’intégrité de l’autre.
SERVAJEAN-HILST Romaric - KEDGE Business School |

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Les Intelligences Artificielles Génératives (IAG) sont omniprésentes depuis 2023, influençant divers secteurs, y compris l'enseignement en management. L’étude de la Fnege (juillet 2024) révèle leur intégration dans le quotidien des enseignants et des étudiants, qui demande une réflexion urgente sur les pratiques dans l’enseignement supérieur de gestion. Quatre jalons clés sont proposés : informer et sensibiliser les parties prenantes aux avantages et dangers des IAG, établir une charte éthique d'utilisation, repenser les objectifs pédagogiques, et enfin, expérimenter avec soin en évaluant tous les impacts de ces outils pour nos établissements.
QUINIO Bernard - FNEGE |
L'IA frugale est une approche visant à développer des solutions d'intelligence artificielle tout en minimisant l'utilisation des ressources. Selon une étude de l'Agence Internationale de l'Énergie (IEA), la consommation électrique des centres de données pourrait dépasser 1 000 térawattheures d'ici 2026, doublant ainsi leur consommation actuelle. Les modèles d'IA, comme ChatGPT, consomment beaucoup d'énergie, avec une requête pouvant utiliser jusqu'à dix fois plus d'électricité qu'une recherche Google classique. Pour contrer cela, l'IA frugale propose des solutions telles que l'edge computing, qui décentralise le traitement des données, et le transfer learning, qui réutilise des modèles existants pour réduire la consommation énergétique. De plus, l'A frugale intègre une réflexion éthique, en évaluant la nécessité et l'impact des usages de l'A, afin de favoriser des technologies durables et responsables. Adopter une IA frugale est essentiel pour rendre l'intelligence artificielle plus écologique, accessible et éthique, tout en répondant aux défis énergétiques posés par l'expansion des centres de données.
GLAVAS Dejan - ESSCA |
Le baromètre de l'A analyse l'intégration de l'intelligence artificielle dans les entreprises françaises et britanniques et son impact sur la durabilité. Basé sur les réponses de plus de 400 responsables informatiques, il révèle que, malgré les avantages perçus en termes de productivité et de réduction des coûts, des obstacles persistent tels que des contraintes financières et un manque de personnel qualifié. Les entreprises sous-estiment souvent les défis liés aux biais des systèmes d'lA et à la nécessité d'un contrôle humain. Les entreprises britanniques, adoptant une approche "test and learn", semblent plus avancées. Un besoin accru de compétences en lA, en gouvernance des données et en gestion des risques éthiques est identifié. Les entreprises reconnaissent l'importance de l'IA pour l'avenir, mais doivent intégrer pleinement les considérations éthiques et durables dans leurs stratégies.
GLAVAS Dejan - ESSCA |
The sociomaterial lens within IS research holds that agency should not be considered as a property solely of humans, or of technology, but instead arises from an emergent interaction between the two. This, emergent, account of agency deepens our understanding of unfolding IS practice, but its largely cognitive orientation remains naïve towards affectively-sensed motivations that also form part of this interaction. By implication, a sociomaterial perspective lacking an affective dimension offers an incomplete conceptualisation of information systems. In response, an affectively-informed negative ontology encourages IS researchers to extend their focus beyond the visible, to encompass how actors’ receptiveness towards material objects (discourses, technologies) is shaped by deep, affectively-derived motivations of which they are not focally aware, but which nonetheless acquire agency in contributing to a sociomaterial outcome. A central argument, and illustrative empirical vignette, demonstrate how the concepts of sociomateriality, affect, and negative ontology combine to offer researchers an enhanced understanding of relational agency. A discussion follows, exploring some initial ontological, epistemological and methodological implications of an affectively-informed negative ontology for IS research.
PIGNOT Edouard - EMLV |

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