Cette étude examine l’impact de la décentralisation et des transformations post-Covid sur la qualité de vie en métropole, focalisant sur la diminution de l’usage des bureaux et la proximité durable. Utilisant des méthodes mixtes, elle montre que ces tendances améliorent l’adaptation urbaine aux besoins locaux, diminuent la congestion et facilitent l’accès aux services. Les résultats indiquent l’importance de ces évolutions pour une urbanisme flexible et durable. Elle apporte une contribution scientifique à un sujet d’actualité et suggère des stratégies pour intégrer ces dynamiques dans le développement urbain du XXIème siècle. Pour les villes, ce travail propose des recommandations managériales pour intégrer la décentralisation et la transformation du travail dans le développement des villes, visant à construire des environnements urbains plus résilients et propices au bien-être.

02:19
Les politiques publiques sont souvent conçues selon une logique « top-down », où l’État décide et le terrain applique. Mais pour l’entrepreneuriat innovant, cela ne suffit plus. Il faut aussi une dynamique « bottom-up », qui vient des entrepreneurs eux-mêmes. L’enjeu est donc d’articuler ces deux logiques. La French Tech, lancée en 2013, en est un exemple. Pensée par l’État, elle est portée localement par les entrepreneurs qui y participent activement. En dix ans, le nombre de start-up a fortement augmenté, malgré des limites. Ce modèle montre que l’efficacité d’une politique dépend autant de sa conception que de l’engagement du terrain. C’est cette coopération entre État et entrepreneurs qui rend une politique réellement vivante, utile et durable.
GOMOT Timothée - IAE Paris-Est |
CHABAUD Didier - IAE Paris-Sorbonne Business School |
- Tendances
- Entrepreneuriat, Management de l'Innovation, Management public