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Changer le modèle économique de l’eau potable
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Changer le modèle économique de l’eau potable

L’eau, cette ressource si précieuse et indispensable à la vie, se trouve aujourd’hui au cœur de nombreux enjeux économiques, sociaux et environnementaux. Pourtant, il a fallu attendre longtemps avant que la communauté internationale ne prenne véritablement conscience de la gravité des risques liés à l’eau. Aujourd’hui, nous faisons face à une question cruciale : comment organiser la gestion de l’eau dans un contexte de raréfaction croissante ? Cela nécessite de repenser en profondeur notre modèle économique de l’eau, qui, à ce jour, repose principalement sur les volumes consommés. Ce changement nécessite des réformes profondes mais nécessaires pour garantir que l’eau, en tant que bien commun global, reste accessible à tous, aujourd’hui et pour les générations futures.

 

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La CEFDG est un acteur incontournable de l’évaluation des formations délivrées par les écoles de management privées. Créée en 2001, elle a en effet pour mission de s’assurer de la qualité pédagogique et la place accordée à la recherche dans ses formations. Elle contribue ainsi à la délivrance du visa et du grade
GOLLETY Mathilde - Université Paris-Panthéon-Assas |
Les labels censés garantir la qualité d’une formation sont très nombreux. Néanmoins, ils n’ont pas tous les mêmes finalités et ne sont pas délivrés par les mêmes institutions. Il est donc nécessaire d’avoir une connaissance assez précise de ces différents labels pour choisir une formation susceptible de répondre au mieux à vos attentes.
GOLLETY Mathilde - Université Paris-Panthéon-Assas |
Grandes tendances à l’œuvre dans l’univers des écoles de management depuis trois ans, explosion de l’offre de bachelors, déficit de voie professionnalisante, dualité entre la reconnaissance des formations supérieures par le ministère du Travail et par le MESR, développement du secteur privé lucratif, dangers de "marchandisation" du supérieur, rapports entre la CEFDG et le HCERES…
CABY Jérôme - IAE Paris-Sorbonne Business School |
GOLLETY Mathilde - Université Paris-Panthéon-Assas |
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L’industrie française consomme un quart de l’énergie du pays, et les entreprises doivent produire plus durablement sans perdre en compétitivité. Chaque achat industriel influence directement la consommation d’énergie, d’où le rôle stratégique de la fonction Achats. Mon étude, menée auprès d’experts et de professionnels, montre des freins persistants : travail en silos, faible culture énergétique et priorité donnée au prix plutôt qu’à la performance. Cinq leviers clés émergent : former les acheteurs, créer une gouvernance commune, intégrer un critère énergétique dans les achats, co-innover avec les fournisseurs et aligner les objectifs internes. Les Achats deviennent ainsi un acteur central de la transition énergétique et de la performance industrielle de demain.
RONDEAU Justin - IAE Lille |
Une marque blanche est un produit ou service conçu par une entreprise puis vendu par d’autres sous leur propre nom. Cette stratégie permet de proposer des produits similaires à des prix différents, visant des segments de clients variés. Elle facilite aussi l’extension de gamme en permettant de lancer rapidement de nouveaux produits sans lourds investissements en R&D. Les entreprises réduisent ainsi leurs coûts de production et leurs risques commerciaux, tout en profitant des économies d’échelle des fabricants. En revanche, elles ont moins de contrôle sur la qualité, dépendent fortement de leurs fournisseurs et doivent redoubler d’efforts pour se différencier. Des risques réglementaires existent également, car les lois varient selon les marchés.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
Prix EFMD FNEGE 2025 du Meilleur Ouvrage de Management – Catégorie puvrage de recherche collectif Prix Syntec Conseil du Meilleur Ouvrage de Management L’ouvrage examine les interactions entre la science et l’industrie à travers la notion de double impact, c’est-à-dire la capacité à produire à la fois des avancées scientifiques majeures et des innovations technologiques disruptives. Il met en lumière les leviers permettant de favoriser ces synergies, notamment par le transfert de connaissances, la coopération entre chercheurs et industriels, et des politiques d’innovation adaptées. L’objectif est de construire un écosystème où la recherche fondamentale et l’innovation industrielle se renforcent mutuellement au service du progrès économique et sociétal.
PLANTEC Quentin - TBS Education |
Lorsqu’un entrepreneur innove, il peut protéger ses créations grâce aux droits de propriété intellectuelle (PI) qui accordent un droit exclusif d’utilisation et de valorisation. La PI se divise en deux branches : la propriété littéraire et artistique (droit d’auteur et droits voisins), qui protège les œuvres originales, et la propriété industrielle (brevets, modèles, marques, etc.), qui protège inventions et créations. Ces protections présentent toutefois des limites : procédures longues, coûteuses et valables dans le temps et l’espace. À côté de ces outils juridiques, les entrepreneurs peuvent recourir à des protections informelles comme le secret, la rapidité d’accès au marché, l’avance technologique ou la réputation. Ces stratégies sont peu coûteuses et rapides à mettre en place, mais plus risquées. En pratique, les entrepreneurs peuvent combiner protections formelles et informelles afin d’adapter leur stratégie à leurs besoins et aux exigences du marché.
BRUNNER Pauline - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion Strasbourg |

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