Management des Achats
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Qu’est-ce que le Cross selling ?
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Qu’est-ce que le Cross selling ?

Vous avez surement déjà vécu une expérience similaire à celle de millions de consommateurs sur un site internet ou un magasin traditionnel : le Cross selling. Souvenez vous du vendeur de chaussures qui vous propose en plus de cette nouvelle paire de chaussures, le cirage, des lacets supplémentaires de couleurs ou la bombe imperméabilisante. Sur internet, le site qui vous propose en plus de votre livre, les tomes suivants en vous faisant une offre commerciale intéressante financièrement. Ces deux exemples relèvent de stratégies Cross selling.

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Une marque blanche est un produit ou service conçu par une entreprise puis vendu par d’autres sous leur propre nom. Cette stratégie permet de proposer des produits similaires à des prix différents, visant des segments de clients variés. Elle facilite aussi l’extension de gamme en permettant de lancer rapidement de nouveaux produits sans lourds investissements en R&D. Les entreprises réduisent ainsi leurs coûts de production et leurs risques commerciaux, tout en profitant des économies d’échelle des fabricants. En revanche, elles ont moins de contrôle sur la qualité, dépendent fortement de leurs fournisseurs et doivent redoubler d’efforts pour se différencier. Des risques réglementaires existent également, car les lois varient selon les marchés.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
Le Phishing ou en français « hameçonnage » est une technique de fraude informatique mise en place par les cybercriminels qui consiste à se faire passer pour une entité de confiance comme un site de commerce, une banque ou un réseau social afin de récupérer des informations sensibles comme des mots de passe, des données personnelles ou des identifiants bancaires. C'est une menace majeure dans le domaine de la cybersécurité.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
L'obsolescence programmée est une stratégie commerciale mise en œuvre par certaines marques afin de réduire intentionnellement la durée de vie des produits et ainsi encourager la fréquence de leur remplacement.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
Le content shock ou en français le « choc de contenus » est un concept « pessimiste » théorisé par le spécialiste en marketing Mark Schaefer en 2014. Le content shock se définit comme le moment où la quantité de contenu produit dépasse la capacité des individus à le consommer et surtout à l'assimiler. Dans le cadre d'une stratégie de Content Marketing, la sur-présence d'une marque auprès du consommateur par une surabondance de contenus peut engendrer une « fatigue publicitaire » et dégrader l'image de la marque auprès de sa cible.
BOUCHER PELLEGRIN Estelle - Montpellier Management |

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L’industrie française consomme un quart de l’énergie du pays, et les entreprises doivent produire plus durablement sans perdre en compétitivité. Chaque achat industriel influence directement la consommation d’énergie, d’où le rôle stratégique de la fonction Achats. Mon étude, menée auprès d’experts et de professionnels, montre des freins persistants : travail en silos, faible culture énergétique et priorité donnée au prix plutôt qu’à la performance. Cinq leviers clés émergent : former les acheteurs, créer une gouvernance commune, intégrer un critère énergétique dans les achats, co-innover avec les fournisseurs et aligner les objectifs internes. Les Achats deviennent ainsi un acteur central de la transition énergétique et de la performance industrielle de demain.
RONDEAU Justin - IAE Lille |
Les achats inclusifs consistent à intégrer dans le réseau de fournisseurs des organisations employant des populations, des minorités, sous-représentées ou marginalisées. Cette démarche va au-delà des critères classiques comme le coût ou la qualité, en prenant en compte l’impact social des décisions d’achat. Les acheteurs jouent un rôle clé en favorisant la diversité, l’équité et l’inclusion, contribuant ainsi à une économie plus juste, mais aussi plus innovante. De plus, les achats inclusifs renforcent la résilience des supply chains, car un réseau de fournisseurs sélectionnés sur critères sociaux est mieux préparé pour affronter les crises. Des exemples comme celui de L’Oréal montrent que les organisations engagées dans cette voie ont su mieux surmonter des défis tels que la pandémie de COVID-19. En somme, les achats inclusifs apportent des bénéfices sociaux et renforcent la résilience des supply chains, faisant des acheteurs des acteurs majeurs de cette transformation.
RUEL Salomée - Excelia Business School |
Cette étude examine si l'inclusion des vétérans de guerre et des personnes handicapées dans les programmes de diversité des fournisseurs confère aux entreprises des gains de réputation. À partir des preuves préliminaires recueillies dans l'analyse du contenu des programmes de diversité des fournisseurs et des groupes diversifiés considérés par les 100 premières entreprises du S&P500, nous avons mené une expérience basée sur un scénario dual-factoriel avec une approche multipartite, explorant les réactions du grand public, des clients, des investisseurs et des fournisseurs potentiels à ces initiatives. En particulier, nous analysons si leurs opinions sur la bienveillance et la compétence (confiance) des entreprises sont affectées. Nous étudions également les impacts potentiels sur l'attitude globale de ces parties prenantes envers les entreprises, car le construit représente un proxy de la réputation de l'entreprise. Les résultats empiriques montrent que l'inclusion de ces groupes n'a pas d'impact sur la façon dont les entreprises sont perçues, ce qui suggère que la communication des programmes de diversité des fournisseurs n'est pas toujours efficace pour créer des images positives (par exemple, l'écoblanchiment, le social washing). Nous discutons de ces résultats dans le contexte de la théorie des parties prenantes et dans le débat contrastant les incitations stratégiques et morales à l'adoption de programmes de diversité des fournisseurs.
FRACAROLLI NUNES Mauro - EDC Business School |
Présenter les 4 C du marketing nous amène à revenir un peu à l’origine du mix marketing et donc à aborder rapidement les 4 P. En effet, dans les années 60 Jérôme Mc Carthy présente les 4 P comme les 4 éléments clefs à considérer pour élaborer la stratégie marketing d’une entreprise. Le mix Marketing, les 4 P, pourrait se résumer à ces 4 questions : Quel Produit ? à quel Prix ? avec quelle Politique de Distribution (Place en anglais) ? et quelle Promotion mettre en œuvre pour vendre le produit ?
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |

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