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Cette étude examine si l'inclusion des vétérans de guerre et des personnes handicapées dans les programmes de diversité des fournisseurs confère aux entreprises des gains de réputation. À partir des preuves préliminaires recueillies dans l'analyse du contenu des programmes de diversité des fournisseurs et des groupes diversifiés considérés par les 100 premières entreprises du S&P500, nous avons mené une expérience basée sur un scénario dual-factoriel avec une approche multipartite, explorant les réactions du grand public, des clients, des investisseurs et des fournisseurs potentiels à ces initiatives. En particulier, nous analysons si leurs opinions sur la bienveillance et la compétence (confiance) des entreprises sont affectées. Nous étudions également les impacts potentiels sur l'attitude globale de ces parties prenantes envers les entreprises, car le construit représente un proxy de la réputation de l'entreprise. Les résultats empiriques montrent que l'inclusion de ces groupes n'a pas d'impact sur la façon dont les entreprises sont perçues, ce qui suggère que la communication des programmes de diversité des fournisseurs n'est pas toujours efficace pour créer des images positives (par exemple, l'écoblanchiment, le social washing). Nous discutons de ces résultats dans le contexte de la théorie des parties prenantes et dans le débat contrastant les incitations stratégiques et morales à l'adoption de programmes de diversité des fournisseurs.
FRACAROLLI NUNES Mauro - EDC Business School |
05:19
Cette étude examine si l'inclusion des vétérans de guerre et des personnes handicapées dans les programmes de diversité des fournisseurs confère aux entreprises des gains de réputation. À partir des preuves préliminaires recueillies dans l'analyse du contenu des programmes de diversité des fournisseurs et des groupes diversifiés considérés par les 100 premières entreprises du S&P500, nous avons mené une expérience basée sur un scénario dual-factoriel avec une approche multipartite, explorant les réactions du grand public, des clients, des investisseurs et des fournisseurs potentiels à ces initiatives. En particulier, nous analysons si leurs opinions sur la bienveillance et la compétence (confiance) des entreprises sont affectées. Nous étudions également les impacts potentiels sur l'attitude globale de ces parties prenantes envers les entreprises, car le construit représente un proxy de la réputation de l'entreprise. Les résultats empiriques montrent que l'inclusion de ces groupes n'a pas d'impact sur la façon dont les entreprises sont perçues, ce qui suggère que la communication des programmes de diversité des fournisseurs n'est pas toujours efficace pour créer des images positives (par exemple, l'écoblanchiment, le social washing). Nous discutons de ces résultats dans le contexte de la théorie des parties prenantes et dans le débat contrastant les incitations stratégiques et morales à l'adoption de programmes de diversité des fournisseurs.
FRACAROLLI NUNES Mauro - EDC Business School |
Présenter les 4 C du marketing nous amène à revenir un peu à l’origine du mix marketing et donc à aborder rapidement les 4 P. En effet, dans les années 60 Jérôme Mc Carthy présente les 4 P comme les 4 éléments clefs à considérer pour élaborer la stratégie marketing d’une entreprise. Le mix Marketing, les 4 P, pourrait se résumer à ces 4 questions : Quel Produit ? à quel Prix ? avec quelle Politique de Distribution (Place en anglais) ? et quelle Promotion mettre en œuvre pour vendre le produit ?
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
02:48
Présenter les 4 C du marketing nous amène à revenir un peu à l’origine du mix marketing et donc à aborder rapidement les 4 P. En effet, dans les années 60 Jérôme Mc Carthy présente les 4 P comme les 4 éléments clefs à considérer pour élaborer la stratégie marketing d’une entreprise. Le mix Marketing, les 4 P, pourrait se résumer à ces 4 questions : Quel Produit ? à quel Prix ? avec quelle Politique de Distribution (Place en anglais) ? et quelle Promotion mettre en œuvre pour vendre le produit ?
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
Vous avez surement déjà vécu une expérience similaire à celle de millions de consommateurs sur un site internet ou un magasin traditionnel : le Cross selling. Souvenez vous du vendeur de chaussures qui vous propose en plus de cette nouvelle paire de chaussures, le cirage, des lacets supplémentaires de couleurs ou la bombe imperméabilisante. Sur internet, le site qui vous propose en plus de votre livre, les tomes suivants en vous faisant une offre commerciale intéressante financièrement. Ces deux exemples relèvent de stratégies Cross selling.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
03:16
Vous avez surement déjà vécu une expérience similaire à celle de millions de consommateurs sur un site internet ou un magasin traditionnel : le Cross selling. Souvenez vous du vendeur de chaussures qui vous propose en plus de cette nouvelle paire de chaussures, le cirage, des lacets supplémentaires de couleurs ou la bombe imperméabilisante. Sur internet, le site qui vous propose en plus de votre livre, les tomes suivants en vous faisant une offre commerciale intéressante financièrement. Ces deux exemples relèvent de stratégies Cross selling.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
Vous souhaitez souscrire à l’abonnement d’un service de streaming vidéo, mais celui-ci vous propose plusieurs tarifs pour une qualité de services différents : Une offre d’accès très bas prix mais incluant de la publicité, une offre à un prix supérieur qui propose des services supplémentaires et enfin une offre premium tout inclus. Bienvenue dans la stratégie Up selling.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
03:14
Vous souhaitez souscrire à l’abonnement d’un service de streaming vidéo, mais celui-ci vous propose plusieurs tarifs pour une qualité de services différents : Une offre d’accès très bas prix mais incluant de la publicité, une offre à un prix supérieur qui propose des services supplémentaires et enfin une offre premium tout inclus. Bienvenue dans la stratégie Up selling.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
03:17
La théorie des contrats incomplets étudie les relations contractuelles où les termes ne peuvent pas être entièrement spécifiés. Elle examine les lacunes et les imperfections des contrats dans le monde réel, où il est difficile de prévoir toutes les éventualités. Cette théorie met l'accent sur les incitations et les mécanismes qui permettent aux parties de s'engager malgré le caractère incomplet de l'accord. Elle propose également des mécanismes incitatifs concrets pour encourager la performance et garantir la qualité. Ces mécanismes incluent des pénalités financières pour les retards, des bonus pour la livraison anticipée, des clauses de qualité et d'inspection, des réductions de paiement pour les produits défectueux...
BESANGER Serge - OMNES Education |
03:34
Selon Baines et Lightfoot, la servicisation peut être considérée comme la transformation de la simple vente de produits à la vente d'une combinaison intégrée de produits et de services qui apporte de la valeur aux clients. Ces services associés aux produits peuvent être des services classiques et basiques (comme le service après-vente, la maintenance ou le financement) et des offres avancées plus complexes (comme la disponibilité de composants, la personnalisation de produits, la visibilité sur des niveaux de stocks). La servicisation doit s’envisager comme un continuum, entre un produit pur et un service pur. La servicisation devient essentielles pour les entreprises industrielles françaises.
AGERON Blandine - IAE Grenoble |
LAVASTRE Olivier - IAE Grenoble |
03:03
Le SCM (Supply Chain Management ou Management de la Chaîne Logistique) couvre l’ensemble des activités liées au macro-processus industriel de l’entreprise. Il englobe ainsi toutes les activités qui participent à la création et à la fabrication des produits commercialisés par l’entreprise (achats, approvisionnement, production, ADV, distribution, logistique). En utilisant des systèmes d’informations adéquats, il prend en charge des flux physiques (matières, composants, produits finis, etc.) mais également des flux d’information (commandes, prévisions, niveaux de stock, délais, etc.). Intra et interorganisationnel, le Supply Chain Management nécessite de la coordination entre tous les partenaires internes (marketing, R&D, achats, commercial, etc.) et externes à l’entreprise.
AGERON Blandine - IAE Grenoble |
LAVASTRE Olivier - IAE Grenoble |
Le SCM (Supply Chain Management ou Management de la Chaîne Logistique) couvre l’ensemble des activités liées au macro-processus industriel de l’entreprise. Il englobe ainsi toutes les activités qui participent à la création et à la fabrication des produits commercialisés par l’entreprise (achats, approvisionnement, production, ADV, distribution, logistique).
AGERON Blandine - IAE Grenoble |
LAVASTRE Olivier - IAE Grenoble |