Effets de la réponse de la marque aux avis clients négatifs sur Internet : Impact de la temporalité et de la personnalisation

1573 vues

Partager

Les avis clients représentent un enjeu central pour les marques et leur e-réputation. 88% des consommateurs les consultent et 67% leur font confiance. Mais seulement 20% des marques y répondent régulièrement. On sait pourtant que sur 68% de consommateurs ayant reçu une réponse à un avis client négatif, 33% en ont publié un positif et 18% sont devenus fidèles. Répondre semble donc avantageux pour la marque.

Mots clés

Vidéos de la même institution

03:13
L’industrie française consomme un quart de l’énergie du pays, et les entreprises doivent produire plus durablement sans perdre en compétitivité. Chaque achat industriel influence directement la consommation d’énergie, d’où le rôle stratégique de la fonction Achats. Mon étude, menée auprès d’experts et de professionnels, montre des freins persistants : travail en silos, faible culture énergétique et priorité donnée au prix plutôt qu’à la performance. Cinq leviers clés émergent : former les acheteurs, créer une gouvernance commune, intégrer un critère énergétique dans les achats, co-innover avec les fournisseurs et aligner les objectifs internes. Les Achats deviennent ainsi un acteur central de la transition énergétique et de la performance industrielle de demain.
RONDEAU Justin - IAE Lille |
03:18
L’intelligence artificielle conversationnelle s’impose dans le e-commerce, utilisée par plus de 30 % des consommateurs français, avec une forte croissance depuis 2024. Des marques comme Zalando ou Carrefour exploitent ces technologies pour recommander des produits et assister les clients. Ce mémoire analyse l’impact de ces chatbots sur la confiance et l’adoption des recommandations à travers une enquête quantitative auprès de 235 consommateurs. Les résultats montrent que l’utilité perçue est le principal facteur d’adhésion : plus le chatbot est jugé utile (gain de temps, simplification du choix), plus ses conseils sont suivis. Cette utilité dépend néanmoins de la qualité de l’interaction et de la confiance accordée. Pour les entreprises, la réussite repose sur une personnalisation progressive, une évaluation de l’efficacité réelle et une transparence totale sur le fonctionnement du chatbot. Bien conçu, celui-ci peut devenir un véritable conseiller virtuel, aussi fiable et attentif qu’un vendeur humain, mais disponible en permanence.
OUACHKRADI Nahla - IAE Lille |
03:00
La curiosité, souvent perçue comme un défaut, devient en marketing un levier stratégique. Certaines marques l’utilisent pour capter l’attention par la surprise ou l’incongru. Une étude bibliométrique et bibliographique sur plus de 3400 publications a permis de clarifier ce concept encore flou. La curiosité spécifique est définie comme un état attitudinal temporaire, mêlant cognition, émotion et motivation. Elle peut être activée par des facteurs extrinsèques (nouveauté, complexité…) ou intrinsèques (curiosité trait, expertise…). Ses effets positifs sont nombreux : mémorisation, plaisir, intention d’achat. L’agenda de recherche propose 4 axes : affiner les antécédents, explorer les effets, intégrer des modérateurs et améliorer la mesure. Dans un monde saturé, susciter la curiosité devient un moyen de réengager le consommateur.
BECK Marie - IAE Lille |
03:28
Gérer les hommes et les femmes comme des ressources n’est ni acceptable, ni efficace. Pourtant, dans la plupart des organisations, le management des personnes et du travail demeure ancré dans des modèles de GRH et de comportement organisationnel développés au siècle dernier qui ne permettent guère de prendre en compte la transition sociale majeure que nous vivons. Le Management Humain constitue une alternative au modèle instrumental et financiarisé qui domine la gestion des organisations aujourd’hui.
TASKIN Laurent - IAE Lille |
DIETRICH Anne - IAE Lille |

Vidéos de la même thématique

L’industrie française consomme un quart de l’énergie du pays, et les entreprises doivent produire plus durablement sans perdre en compétitivité. Chaque achat industriel influence directement la consommation d’énergie, d’où le rôle stratégique de la fonction Achats. Mon étude, menée auprès d’experts et de professionnels, montre des freins persistants : travail en silos, faible culture énergétique et priorité donnée au prix plutôt qu’à la performance. Cinq leviers clés émergent : former les acheteurs, créer une gouvernance commune, intégrer un critère énergétique dans les achats, co-innover avec les fournisseurs et aligner les objectifs internes. Les Achats deviennent ainsi un acteur central de la transition énergétique et de la performance industrielle de demain.
RONDEAU Justin - IAE Lille |
Une marque blanche est un produit ou service conçu par une entreprise puis vendu par d’autres sous leur propre nom. Cette stratégie permet de proposer des produits similaires à des prix différents, visant des segments de clients variés. Elle facilite aussi l’extension de gamme en permettant de lancer rapidement de nouveaux produits sans lourds investissements en R&D. Les entreprises réduisent ainsi leurs coûts de production et leurs risques commerciaux, tout en profitant des économies d’échelle des fabricants. En revanche, elles ont moins de contrôle sur la qualité, dépendent fortement de leurs fournisseurs et doivent redoubler d’efforts pour se différencier. Des risques réglementaires existent également, car les lois varient selon les marchés.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
Tools and metrics for brand equity are proving inadequate in the rapidly evolving digital era. The study proposes a novel approach to Digital Brand Equity metrics. These metrics should not be based solely on social media and current digital indicators. New metrics should incorporate the share of search, digital brand awareness, and digital brand sentiment constructs. The study develops a Digital Brand Equity research agenda and underscores the critical research and policy questions
DAVCIK Nebojsa - EM Normandie |
Les plateformes d’avis employeur permettent aux (ex-)employés de publier un avis en ligne et ainsi de témoigner de la valeur de l’expérience de travail. Cette recherche vise à comprendre les motivations des auteurs d’avis employeur. Une étude qualitative a été menée (22 entretiens) et a donné lieu à une double analyse. Quatre classes émergent de l’analyse lexicographique : (1) Aider les candidats et les employeurs, (2) Partager des sentiments positifs ou négatifs sur un employeur, (3) Témoigner du respect du contrat psychologique, (4) Attester du contenu de l’expérience du travail. L’analyse de contenu fait ressortir onze motivations regroupées selon l’orientation vers soi, les autres ou l’entreprise.
GUILLOT-SOULEZ Chloé - iaelyon School of Management |

S'abonner aux vidéos FNEGE MEDIAS