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Dico du management

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03:33
On « a trouvé un terrain », « on est sur le terrain », « on revient du terrain » ! Le terrain, tous les chercheurs qualitatifs en parlent. Et c’est aussi le cas en sciences de gestion et du management. Il reste malgré tout entouré d’une aura de mystère. Qu’est-ce qu’un terrain ? Qu’est-ce qu’une enquête de terrain ? Comment conduire une enquête de terrain en management ? Voilà les trois questions auxquelles notre livre s’efforce de répondre.
RAULET-CROSET Nathalie - IAE Paris-Sorbonne Business School |
GILBERT Patrick - IAE Paris-Sorbonne Business School |
L’injonction à innover toujours plus et toujours plus vite est paradoxale : les innovations passées ont souvent contribué à aggraver les crises écologiques, géopolitiques, sociales et financières que nous connaissons aujourd’hui. Pour comprendre ce paradoxe, ce livre raconte comment s’est formée une culture de l’innovation, fondée sur la croyance que l’innovation est la condition de progrès économiques, environnementaux ou sociaux, et qu’elle est associée à des valeurs positives telles que la créativité et la liberté d’entreprendre. Ce livre montre que cette vision enchantée est en réalité dangereuse : elle mésestime les face sombres des innovations qui sont d’autant plus difficiles à repérer qu’elles se manifestent avec retard, au moment où elles sont diffusées à grande échelle. Comment innover autrement pour éviter ces effets indésirables et contribuer à une société plus soutenable ? Le livre explore deux pistes de réflexion complémentaires : la responsabilisation des innovateurs sur les conséquences à long terme de leurs projets ; les potentiels d’innovation plus sobres fondées sur la transformation des modes de vie, de consommation et de production, compatibles avec les limites planétaires et les besoins des générations futures.
AGGERI Franck - FNEGE |
04:23
L’injonction à innover toujours plus et toujours plus vite est paradoxale : les innovations passées ont souvent contribué à aggraver les crises écologiques, géopolitiques, sociales et financières que nous connaissons aujourd’hui. Pour comprendre ce paradoxe, ce livre raconte comment s’est formée une culture de l’innovation, fondée sur la croyance que l’innovation est la condition de progrès économiques, environnementaux ou sociaux, et qu’elle est associée à des valeurs positives telles que la créativité et la liberté d’entreprendre. Ce livre montre que cette vision enchantée est en réalité dangereuse : elle mésestime les face sombres des innovations qui sont d’autant plus difficiles à repérer qu’elles se manifestent avec retard, au moment où elles sont diffusées à grande échelle. Comment innover autrement pour éviter ces effets indésirables et contribuer à une société plus soutenable ? Le livre explore deux pistes de réflexion complémentaires : la responsabilisation des innovateurs sur les conséquences à long terme de leurs projets ; les potentiels d’innovation plus sobres fondées sur la transformation des modes de vie, de consommation et de production, compatibles avec les limites planétaires et les besoins des générations futures.
AGGERI Franck - FNEGE |
L’autorité, définie comme le pouvoir légitime et accepté, a trois sources distinctes, selon Max Weber. Tout d’abord, l’autorité charismatique émane de leaders exceptionnels inspirants, comme un fondateur charismatique dirigeant une start-up. Ensuite, l’autorité traditionnelle repose sur des normes transmises de génération en génération, illustrée par une entreprise manufacturière avec une culture façonnée par des pratiques anciennes. Enfin, l’autorité rationnelle-légale, fondement des organisations modernes, s’appuie sur des règles formelles, avec un exemple concret d’un employé obéissant à son supérieur hiérarchique en vertu de la position de ce dernier. Ces sources d’autorité peuvent se chevaucher et un manager aura tout intérêt à faire appel à ces différentes sources pour assoir son autorité.
LE Patrick - NEOMA Business School |
03:23
L'autorité, définie comme le pouvoir légitime et accepté, a trois sources distinctes, selon Max Weber. Tout d'abord, l'autorité charismatique émane de leaders exceptionnels inspirants, comme un fondateur charismatique dirigeant une start-up. Ensuite, l'autorité traditionnelle repose sur des normes transmises de génération en génération, illustrée par une entreprise manufacturière avec une culture façonnée par des pratiques anciennes. Enfin, l'autorité rationnelle-légale, fondement des organisations modernes, s'appuie sur des règles formelles, avec un exemple concret d'un employé obéissant à son supérieur hiérarchique en vertu de la position de ce dernier. Ces sources d'autorité peuvent se chevaucher et un manager aura tout intérêt à faire appel à ces différentes sources pour assoir son autorité.
LE Patrick - NEOMA Business School |
Chaque entreprise développe sa stratégie marketing en s’appuyant sur 4 valeurs internationales et minimum : le Produit, le Prix, la Promotion et la Place. Ce cadre de référence se nomme le marketing mix ou les 4P du marketing. Cette notion de 4P a évolué et se trouve aujourd’hui représentée par les 7P car se rajoutent : les Personnes, le Packaging et le Processus. Suivre chacune de ces étapes, permet à toutes les sociétés, qui offrent un produit ou un service, de créer la base de leur stratégie marketing afin de bien toucher leur cœur de cible.
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |
04:21
Chaque entreprise développe sa stratégie marketing en s’appuyant sur 4 valeurs internationales et minimum : le Produit, le Prix, la Promotion et la Place. Ce cadre de référence se nomme le marketing mix ou les 4P du marketing. Cette notion de 4P a évolué et se trouve aujourd’hui représentée par les 7P car se rajoutent : les Personnes, le Packaging et le Processus. Suivre chacune de ces étapes, permet à toutes les sociétés, qui offrent un produit ou un service, de créer la base de leur stratégie marketing afin de bien toucher leur cœur de cible.
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |
Selon l’histoire orthodoxe du management, les employés sont des acteurs passifs, prévisibles et peu sophistiqués. Avec mes collègues, je défends une présentation alternative et soutiens que la pensée managériale n’est pas née de perspectives purement théoriques mais est plutôt le produit d’une confrontation entre la théorie et ce que les employés, agissant en égaux intellectuels, ont révélé à leurs employeurs.
JOULLIÉ Jean-Étienne - EMLV |
02:49
Selon l’histoire orthodoxe du management, les employés sont des acteurs passifs, prévisibles et peu sophistiqués. Avec mes collègues, je défends une présentation alternative et soutiens que la pensée managériale n’est pas née de perspectives purement théoriques mais est plutôt le produit d’une confrontation entre la théorie et ce que les employés, agissant en égaux intellectuels, ont révélé à leurs employeurs.
JOULLIÉ Jean-Étienne - EMLV |
07:05
« Splendeurs et Misères de la RSE » présente l’histoire de lé réception de la Responsabilité sociétale des entreprises et explique pourquoi ce concept d’origine américaine a été aussi favorablement accueilli et mis en pratique en France. La reddition de comptes par les entreprises et le devoir de vigilance constituent des progrès importants mais la RSE échoue à résoudre les graves problèmes sociaux et environnementaux qui se posent aujourd’hui en lien avec les impacts de l’entreprise. L’ouvrage analyse les théories économiques sous-jacentes qui expliquent cet échec et plaide pour un renforcement du droit de la RSE.
IGALENS Jacques - Toulouse School of Management |
03:09
La théorie des parties prenantes affirme qu’une entreprise possède une responsabilité vis-à-vis de l’ensemble de ses parties prenantes, c’est-à-dire de l’ensemble de ceux qui sont impactés par ses activités. L’entreprise possède donc une responsabilité sociale qu’elle doit exercer en prenant en compte les intérêts et les préoccupations de ses parties prenantes et le bien commun de la société en général.
GUYOTTOT Olivier - OMNES Education |
La théorie des parties prenantes affirme qu’une entreprise possède une responsabilité vis-à-vis de l’ensemble de ses parties prenantes, c’est-à-dire de l’ensemble de ceux qui sont impactés par ses activités. L’entreprise possède donc une responsabilité sociale qu’elle doit exercer en prenant en compte les intérêts et les préoccupations de ses parties prenantes et le bien commun de la société en général.
GUYOTTOT Olivier - OMNES Education |