Histoire du Management
Histoire du Management
Ouvriers et employés, acteurs de l’histoire du management.
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Ouvriers et employés, acteurs de l’histoire du management.

Selon l’histoire orthodoxe du management, les employés sont des acteurs passifs, prévisibles et peu sophistiqués. Avec mes collègues, je défends une présentation alternative et soutiens que la pensée managériale n’est pas née de perspectives purement théoriques mais est plutôt le produit d’une confrontation entre la théorie et ce que les employés, agissant en égaux intellectuels, ont révélé à leurs employeurs.

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The purpose of our study is to examine how the sanctions influence macro talent management. To do so, we review the macro talent management (MTM) framework alongside the literature on sanctions. Using the case of Russia we have collected data from 419 media publications discussing the effects of sanctions and analyzed them using critical discourse analysis. Our findings highlight the predominantly negative nature of the sanctions’ impact on MTM ecosystems, theoretically yielding closer links between the sanctions and the MTM framework, and human capital more specifically.
LATUKHA Marina - EMLV |
We disaggregate the notion of ‘politics of internationalization’ through identification of a set of distinct dimensions in which politics affect firm internationalization. We find that EMNE strategies are becoming more entangled with those of governments, political parties, lobbyists, and other formal and informal institutions. In emerging economies, the state often plays a relatively active role in the economy, and EMNE strategies are more conditioned by politics, policies, and non-market considerations. We argue that the ability to leverage politics is becoming more important for the competitive advantage of EMNEs, and firms are increasingly engaging in political activities through nonmarket strategies.
PANIBRATOV Andrei - EMLV |
The sociomaterial lens within IS research holds that agency should not be considered as a property solely of humans, or of technology, but instead arises from an emergent interaction between the two. This, emergent, account of agency deepens our understanding of unfolding IS practice, but its largely cognitive orientation remains naïve towards affectively-sensed motivations that also form part of this interaction. By implication, a sociomaterial perspective lacking an affective dimension offers an incomplete conceptualisation of information systems. In response, an affectively-informed negative ontology encourages IS researchers to extend their focus beyond the visible, to encompass how actors’ receptiveness towards material objects (discourses, technologies) is shaped by deep, affectively-derived motivations of which they are not focally aware, but which nonetheless acquire agency in contributing to a sociomaterial outcome. A central argument, and illustrative empirical vignette, demonstrate how the concepts of sociomateriality, affect, and negative ontology combine to offer researchers an enhanced understanding of relational agency. A discussion follows, exploring some initial ontological, epistemological and methodological implications of an affectively-informed negative ontology for IS research.
PIGNOT Edouard - EMLV |
Digital technologies can create confusion among donors in the humanitarian supply chain (HSC), leading to uncertainty about their use. While resilience in HSCs has been widely studied, antifragility has not. This study examines how donor confidence in digital technologies impacts antifragility in HSCs through their application in sourcing, material flow, and distribution, with trust in digital technologies and perceived effective digital technology governance as moderating factors. Using resource dependence theory, data from 296 NGOs were analyzed with partial least squares–based structural equation modeling (PLS-SEM). The findings show that digital technology application is crucial for building an antifragile HSC and that donor confidence and trust in digital technologies are essential. NGOs should focus on enhancing trust and governance perception to facilitate digital transformation in HSCs.
BAG Surajit - EMLV |

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L’injonction à innover toujours plus et toujours plus vite est paradoxale : les innovations passées ont souvent contribué à aggraver les crises écologiques, géopolitiques, sociales et financières que nous connaissons aujourd’hui. Pour comprendre ce paradoxe, ce livre raconte comment s’est formée une culture de l’innovation, fondée sur la croyance que l’innovation est la condition de progrès économiques, environnementaux ou sociaux, et qu’elle est associée à des valeurs positives telles que la créativité et la liberté d’entreprendre. Ce livre montre que cette vision enchantée est en réalité dangereuse : elle mésestime les face sombres des innovations qui sont d’autant plus difficiles à repérer qu’elles se manifestent avec retard, au moment où elles sont diffusées à grande échelle. Comment innover autrement pour éviter ces effets indésirables et contribuer à une société plus soutenable ? Le livre explore deux pistes de réflexion complémentaires : la responsabilisation des innovateurs sur les conséquences à long terme de leurs projets ; les potentiels d’innovation plus sobres fondées sur la transformation des modes de vie, de consommation et de production, compatibles avec les limites planétaires et les besoins des générations futures.
AGGERI Franck - FNEGE |
L’autorité, définie comme le pouvoir légitime et accepté, a trois sources distinctes, selon Max Weber. Tout d’abord, l’autorité charismatique émane de leaders exceptionnels inspirants, comme un fondateur charismatique dirigeant une start-up. Ensuite, l’autorité traditionnelle repose sur des normes transmises de génération en génération, illustrée par une entreprise manufacturière avec une culture façonnée par des pratiques anciennes. Enfin, l’autorité rationnelle-légale, fondement des organisations modernes, s’appuie sur des règles formelles, avec un exemple concret d’un employé obéissant à son supérieur hiérarchique en vertu de la position de ce dernier. Ces sources d’autorité peuvent se chevaucher et un manager aura tout intérêt à faire appel à ces différentes sources pour assoir son autorité.
LE Patrick - NEOMA Business School |
Chaque entreprise développe sa stratégie marketing en s’appuyant sur 4 valeurs internationales et minimum : le Produit, le Prix, la Promotion et la Place. Ce cadre de référence se nomme le marketing mix ou les 4P du marketing. Cette notion de 4P a évolué et se trouve aujourd’hui représentée par les 7P car se rajoutent : les Personnes, le Packaging et le Processus. Suivre chacune de ces étapes, permet à toutes les sociétés, qui offrent un produit ou un service, de créer la base de leur stratégie marketing afin de bien toucher leur cœur de cible.
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |
La théorie des parties prenantes affirme qu’une entreprise possède une responsabilité vis-à-vis de l’ensemble de ses parties prenantes, c’est-à-dire de l’ensemble de ceux qui sont impactés par ses activités. L’entreprise possède donc une responsabilité sociale qu’elle doit exercer en prenant en compte les intérêts et les préoccupations de ses parties prenantes et le bien commun de la société en général.
GUYOTTOT Olivier - OMNES Education |

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