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Qu’est-ce que le capital social ?
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Qu’est-ce que le capital social ?

En entrepreneuriat il existe trois types de capital nécessaire au développement d’un projet entrepreneurial : social, financier et humain. Alors que le financier représente l’accès aux ressources monétaires et l’humain l’accès au savoir, le capital social englobe toutes les relations de notre réseau. La particularité du capital social est qu’il peut nous permettre d’accéder aux deux autres types de ressources.

Le capital social comprend deux types de relations ou de liens. Les liens forts sont les relations que nous entretenons avec les personnes de notre réseau immédiat. Ces liens sont très forts mais manquent de diversité. Quant aux liens faibles, ce sont les relations que nous développons avec des personnes situées au-delà de notre proximité mais qui peuvent nous donner accès à des ressources très précieuses pour le développement de notre projet.

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Le marketing a évolué du produit vers le client, intégrant progressivement les valeurs et les émotions. Le marketing 4.0 repose sur les technologies numériques, la personnalisation et l'omnicanalité pour anticiper les besoins. Il favorise une relation bidirectionnelle où les consommateurs deviennent acteurs de la marque. Des entreprises comme Starbucks et Nike illustrent cette approche en alliant digital et expérience humaine.
DASTUGUE Anne - ESSCA |
Cette vidéo examine deux modèles d’échange : le modèle B to B (Business to Business) et B to C (Business to Consumer). En premier lieu, les origines de ces deux concepts sont analysées. Le modèle B to B, théorisé notamment par Philip Kotler se concentre sur les interactions inter-entreprises. Quant au modèle B to C, il émerge avec l’avènement de la société de consommation. Nait alors la notion d’orientation client sous l’impulsion des travaux menés par Theodore Levitt. Ensuite, une étude comparative souligne les similitudes et divergences entre le modèle B to B privilégiant des relations complexes, rationnelles et pérennes et le B to C s’appuyant sur des stratégies engageantes, privilégiant la composante émotionnelle de l’expérience de consommation. Enfin, des illustrations concrètes soulignent ces distinctions. Ces deux approches distinctes convergent toutefois vers un même objectif : générer de la valeur et satisfaire leurs publics respectifs, condition indispensable à leur pérennité d’une organisation.
DASTUGUE Anne - ESSCA |
L'IA frugale est une approche visant à développer des solutions d'intelligence artificielle tout en minimisant l'utilisation des ressources. Selon une étude de l'Agence Internationale de l'Énergie (IEA), la consommation électrique des centres de données pourrait dépasser 1 000 térawattheures d'ici 2026, doublant ainsi leur consommation actuelle. Les modèles d'IA, comme ChatGPT, consomment beaucoup d'énergie, avec une requête pouvant utiliser jusqu'à dix fois plus d'électricité qu'une recherche Google classique. Pour contrer cela, l'IA frugale propose des solutions telles que l'edge computing, qui décentralise le traitement des données, et le transfer learning, qui réutilise des modèles existants pour réduire la consommation énergétique. De plus, l'A frugale intègre une réflexion éthique, en évaluant la nécessité et l'impact des usages de l'A, afin de favoriser des technologies durables et responsables. Adopter une IA frugale est essentiel pour rendre l'intelligence artificielle plus écologique, accessible et éthique, tout en répondant aux défis énergétiques posés par l'expansion des centres de données.
GLAVAS Dejan - ESSCA |
Le baromètre de l'A analyse l'intégration de l'intelligence artificielle dans les entreprises françaises et britanniques et son impact sur la durabilité. Basé sur les réponses de plus de 400 responsables informatiques, il révèle que, malgré les avantages perçus en termes de productivité et de réduction des coûts, des obstacles persistent tels que des contraintes financières et un manque de personnel qualifié. Les entreprises sous-estiment souvent les défis liés aux biais des systèmes d'lA et à la nécessité d'un contrôle humain. Les entreprises britanniques, adoptant une approche "test and learn", semblent plus avancées. Un besoin accru de compétences en lA, en gouvernance des données et en gestion des risques éthiques est identifié. Les entreprises reconnaissent l'importance de l'IA pour l'avenir, mais doivent intégrer pleinement les considérations éthiques et durables dans leurs stratégies.
GLAVAS Dejan - ESSCA |

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BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
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