Gestion des Ressources Humaines
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La valeur cachée des associations : les bénévoles
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La valeur cachée des associations : les bénévoles

La valeur cachée des associations est fondée sur leurs bénévoles. En effet, Les associations, loi 1901, regroupent des personnes volontaires réunies autour d’un projet commun et qui ne cherchent pas à réaliser des bénéfices. Les associations emploient des salariés ou peuvent fonctionner avec des bénévoles. Il convient alors de s’interroger sur la manière dont on gère les bénévoles des associations en trouvant la bonne articulation entre leurs envies, leurs besoins et le projet d’établissement. Une bonne gestion des bénévoles permet d’éviter les attitudes de « consommation » et de s’assurer que les comportements sont en correspondance avec le projet d’établissement. Les associations peuvent valoriser d’un point de vue comptable les heures données gratuitement à l’association.

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En 1966, William Baumol et William Bowen, deux chercheurs américains, s’intéressent au secteur des arts et de la culture, et plus particulièrement au spectacle vivant. Ils constatent alors la très faible possibilité d’obtenir des gains de productivité et une prépondérance des coûts structurels fixes sur les coûts variables. Cette situation crée, à terme, des déficits structurels pour les organisations artistiques et culturelles. Parfois appelée "maladie des coûts", cette situation économique est, de surcroît, aggravée par les exigences sociétales à l’égard des arts et de la culture. Elle sous-estime cependant la capacité d’innovation des organisations artistiques et culturelles ou encore l’exploitation d’activités découlant d’un concert ou d’un spectacle, tels que les produits dérivés. Enfin, ce sont toutes les externalités économiques et non économiques qui ne sont pas prises en compte dans ce modèle.
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |
Le secteur social et médico-social souffre aujourd’hui du manque d’attractivité de ces métiers pour les jeunes générations et du problème de la fidélisation des professionnels, qui souffrent physiquement et se retrouvent épuisés. Il convient de comprendre les facteurs qui génèrent ces problèmes de gestion des ressources humaines pour détecter des clés afin d’améliorer nos pratiques, c’est-à-dire nos processus de formation, recrutement et de gestion des trajectoires professionnelles.
GOUJON BELGHIT Anne - IAE Bordeaux |
Le secteur social et médico-social souffre aujourd’hui du manque d’attractivité de ces métiers pour les jeunes générations et du problème de la fidélisation des professionnels, qui souffrent physiquement et se retrouvent épuisés. Il convient de comprendre les facteurs qui génèrent ces problèmes de gestion des ressources humaines pour détecter des clés afin d’améliorer nos pratiques, c’est-à-dire nos processus de formation, recrutement et de gestion des trajectoires professionnelles.
GOUJON BELGHIT Anne - IAE Bordeaux |
Bien qu’il soit stigmatisé dans notre société, l’échec professionnel peut être surmonté avec un accompagnement adapté. En l’occurrence, l’accompagnant est là pour dédramatiser l’échec et aider la personne à absorber le choc psychologique, tout en veillant à éviter la contagion émotionnelle. Une réflexion (éventuellement formalisée) sur les causes internes de l’échec, pour identifier des axes d’amélioration, doit également être encouragée, en générant une certaine diversité cognitive. Il est tout aussi crucial d’aider la personne à saisir de nouvelles opportunités. L’accompagnant alterne ainsi entre une approche ‘orientée-perte’ et ‘orientée-restauration’ afin de favoriser le rebond professionnel. Enfin, il soutient la construction d’un storytelling post-échec impactant, qui valorise les apprentissages.
CUSIN Julien - IAE Bordeaux |

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La recherche analyse comment l’hypercroissance transforme l’organisation des entreprises et influence leur démarche RSE, à partir des cas de Foodles, Qui-Toque et Alan. Elle montre que la RSE accompagne la croissance tout en révélant des tensions entre structuration et innovation. Trois leviers sont identifiés : des relais internes, des temps collectifs de réflexion et une gouvernance évolutive. L’enjeu central est de formaliser sans freiner l’innovation, en faisant de la RSE un processus vivant.
DOUAUD Victor - IAE Lille |
L’hypnose managériale désigne l’usage éthique de l’attention, du langage et de la confiance pour influencer positivement les collaborateurs, renforcer la motivation et favoriser la coopération, tout en évitant toute forme de manipulation.
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |
La résistance désigne l’ensemble des comportements et pratiques par lesquels des personnes s’opposent, ralentissent ou contournent un changement. Elle peut être individuelle et collective et prendre des formes publiques (grèves, manifestations, refus ouverts) ou subtiles (désengagement, contournement des règles), ces dernières étant aussi qualifiées d’infrapolitique. Bien que souvent perçue comme un obstacle pour l’entreprise, cette résistance n’est pas systématiquement négative : elle peut révéler des dysfonctionnements, apporter des pistes d’amélioration grâce aux retours terrain, ou proposer des alternatives. Ce phénomène complexe est dès lors un enjeu central pour les organisations.
LOBBEDEZ Elise - NEOMA Business School |
Les organisations utilisent l'IA dans leurs processus de recrutement de plus en plus souvent, mais la perception éthique de ces processus semble mitigée. Face à une telle diversité de perceptions de l'IA dans le recrutement, il est essentiel de comprendre l'impact de ces perceptions sur les organisations qui l'utilisent. Nous analysons le lien entre les perceptions éthiques de l'utilisation de l'IA dans le recrutement et les perceptions d'attractivité et d'innovation des organisations. Nos résultats indiquent que ces perceptions éthiques sont positivement corrélées à la perception d'attractivité des organisations, directement et indirectement via les perceptions d'innovation, avec des variations selon la méthode de recrutement utilisée. Par exemple, nous constatons que les personnes qui considèrent comme éthique pour les organisations d'utiliser l'IA de manières souvent considérées comme attentatoires à la vie privée, comme l'analyse du contenu des réseaux sociaux, perçoivent ces organisations comme plus innovantes et plus attractives.
FIGUEROA-ARMIJOS Maria - FNEGE |

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