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La gamification pour apprendre : perceptions des acteurs et pistes de développement
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La gamification pour apprendre : perceptions des acteurs et pistes de développement

Jouer pour enseigner, ce n’est pas nouveau. Mais transformer toute une séquence de formation en jeu, ou gamifier un cours, grâce aux technologies numériques, ça c’est plus « tendance ». Pour autant, la gamification est une démarche exigeante pour les pédagogues, et engageante pour les apprenants. Nous avons donc voulu comprendre comment tous ces acteurs perçoivent cette approche pédagogique, ce dont la littérature parle peu. Autrement dit, quel sont l’intérêt et la valeur perçue des jeux pédagogiques ? Pour cela, nous sommes allés voir ce qui se dit dans les communautés en ligne parlant de gamification, en particulier sur la plateforme Twitter, où les échanges sont nombreux.

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Le dispositif pédagogique « Crowdfund Your Business » est un challenge intermaster en équipe, permettant de déployer une analyse de la stratégie financière et digitale d’une campagne de levée de fonds participatif (crowdfunding). La formation est structurée afin d’être accessible quel que soit le niveau initial des participants dans les domaines considérés. Il réunit deux promotions de l’Ecole Universitaire de Recherche Economics Law and Management of Innovation (Université Côte d’Azur) : le Master Stratégie Digitale, et le Master Monnaie Banque Finance Assurance. Au sein de cette vidéo, nous décrivons le dispositif, mais aussi la démarche de recherche-action initiée grâce aux sondages colléctés auprès des étudiants.
BALLATORE Marta - FNEGE |
A la Faculté Jean Monnet - Université Paris-Saclay, un dispositif « oui-si long » en licence économie-gestion a été mis en place en 2018. Le parcours « oui-si » a pour objectif d'impliquer et d'engager des étudiants, en reprise d'étude ou avec des résultats fragiles au lycée, en utilisant une pédagogie et un format spécifiques. Des entretiens semi-directifs exploratoires avec des étudiants du dispositif « oui-si » ont mis en évidence les éléments pouvant favoriser leur réussite universitaire. Différents profils d'étudiants ont été dégagés en fonction de leur motivation à être dans le dispositif et leur réussite ou échec en première année de licence. Un tableau présentant le processus d'apprentissage et les acquis des étudiants résultant d'une innovation pédagogique couplée à un dispositif « oui-si » a également été construit. Par ailleurs, l'expérimentation du dispositif a souligné l'importance de la mise en place d'une innovation pédagogique reposant sur une utilisation encadrée des outils numériques.
KARAKAS Semra - FNEGE |
BEN ZARB Khaoula - FNEGE |
Badge, attestation de réussite, certificat, diplôme d’état ou d’université micro-certification, microcredential, digital credential… les appellations foisonnent ! Pourquoi ? Synonymes ou réelles différences ? Quel sens donner à chacun de ces supports ? Et la blockchain dans tout cela ? Dans cette vidéo, nous vous aidons à vous y retrouver entre ces différentes formes de représentation des acquis, en fonction de leur format, des conditions d’évaluation et du niveau d’authentification.
ARNOLD Déborah - AUNEGE |
Dans cette courte vidéo, nous abordons l’intérêt stratégique de développer des micro-certifications, en examinant les enjeux au niveau national, européen et à l’international, avant de répondre à la question « pourquoi développer une offre de micro-certification et pour qui ?
ARNOLD Déborah - AUNEGE |

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Une étude de notoriété sert à évaluer à quel point une marque est connue et reconnue par un public. Elle distingue la notoriété spontanée (marque citée sans aide) et la notoriété assistée (marque reconnue dans une liste). Ce type d’étude est essentiel pour mesurer la visibilité d’une marque, comprendre sa perception, suivre l’impact des actions de communication et orienter la stratégie marketing. Malgré son importance, une majorité de marketeurs ne connaît pas précisément le niveau de notoriété de leur marque. Des entreprises comme Hermès réalisent ce type d’analyse avant d’entrer sur de nouveaux marchés pour comparer leur image à celle des concurrents.
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
L'engagement de marque désigne le lien psychologique et comportemental intense entre consommateur et marque, structuré autour de trois dimensions : cognitive (attention), affective (attachement émotionnel) et comportementale (interactions concrètes). À l'ère digitale, les marques développent des stratégies innovantes pour créer cet engagement comme le brand content ou le storytelling transmédiatique. L'engagement n'est plus passif mais résulte d'une stratégie relationnelle complexe mobilisant narration, interaction et co-construction de sens entre marque et consommateurs.
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
L’industrie française consomme un quart de l’énergie du pays, et les entreprises doivent produire plus durablement sans perdre en compétitivité. Chaque achat industriel influence directement la consommation d’énergie, d’où le rôle stratégique de la fonction Achats. Mon étude, menée auprès d’experts et de professionnels, montre des freins persistants : travail en silos, faible culture énergétique et priorité donnée au prix plutôt qu’à la performance. Cinq leviers clés émergent : former les acheteurs, créer une gouvernance commune, intégrer un critère énergétique dans les achats, co-innover avec les fournisseurs et aligner les objectifs internes. Les Achats deviennent ainsi un acteur central de la transition énergétique et de la performance industrielle de demain.
RONDEAU Justin - IAE Lille |
Une marque blanche est un produit ou service conçu par une entreprise puis vendu par d’autres sous leur propre nom. Cette stratégie permet de proposer des produits similaires à des prix différents, visant des segments de clients variés. Elle facilite aussi l’extension de gamme en permettant de lancer rapidement de nouveaux produits sans lourds investissements en R&D. Les entreprises réduisent ainsi leurs coûts de production et leurs risques commerciaux, tout en profitant des économies d’échelle des fabricants. En revanche, elles ont moins de contrôle sur la qualité, dépendent fortement de leurs fournisseurs et doivent redoubler d’efforts pour se différencier. Des risques réglementaires existent également, car les lois varient selon les marchés.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |

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