Théorie des Organisations
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Simondon et la théorie des organisations
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Simondon et la théorie des organisations

C’est en individuant la pensée de Gilbert Simondon que nous pourrons voir ses apports à la théorie des organisations. Ceux-ci concernenent notamment la pensée de la technique, du travail, de l’information et du changement organisationnel. Toutefois cette individuation peut poser des questions éthiques, politiques et de réflexivité.

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Daniel Lang, maître de conférences à IMT-BS, présente le MOOC « Intelligence des Données au service des Organisations », visant à enseigner l'impact des données sur différents secteurs. Le programme combine théorie, cas pratiques et évaluation formative, permettant aux apprenants de progresser à leur rythme. Construit en collaboration avec des experts et une équipe audiovisuelle, il a attiré près de 1000 participants depuis janvier 2023, recevant des retours positifs. Le MOOC a obtenu le label FNEGE, valorisant son contenu, sa méthode pédagogique et son approche accessible.
LANG Daniel - IMT Business School |
Appliqué au management des organisations, le management symbiotique, pris dans une acception large, peut-être définit comme une association, qui tend à être durable et mutuellement bénéfique, entre et, au sein, d’un groupe d’individu avec leurs différents environnements. Ces environnements recouvrent notamment les environnements écologiques, sociaux, économiques, culturels et numériques.
AKAMBI Boladé - FNEGE |
BAUDOIN Emmanuel - IMT Business School |
Les transformations qui traversent le monde du travail sont multiples : numériques, écologiques, économiques, sanitaires ou encore géopolitique. Quel rapport entretiennent en 2023 les salariés français à leur travail et à ces transformations ? C’est à cette question que se sont intéressés le «HRM Transformations Lab» et la chaire « Inventivités Digitales » d’Institut Mines-Télécom Business School. Ils ont conduit une étude composée de 74 questions sur un échantillon d’un peu plus de 1 000 salariés français. Cette étude montre : 1. Des salariés positifs, quand ils ne sont pas très positifs, quand ils s’expriment sur leur travail, 2. Des salariés inquiets, pour ne pas dire très inquiets, quant aux transformations en cours, à l’exception de la transformation digitale prise dans son ensemble. Auteurs : Emmanuel Baudoin, Flavien Bazenet, Olivier Ségard.
BAUDOIN Emmanuel - IMT Business School |
BAZENET Flavien - IMT Business School |
SEGARD Olivier - IMT Business School |
Un peu plus de 9 salariés sur 10, 91,5% précisément, indiquent avoir recours au numérique pour réaliser la totalité ou une partie de leurs tâches au travail. S’il fallait encore s’en convaincre, le numérique est incontournable dans le quotidien des salariés. Mais quel rapport ont ces derniers à cette transformation numérique, comprise dans sa globalité ? Le HRM Transformations Lab d’Institut Mines-Télécom Business School, avec le soutien de la chaire « Inventivités digitales », du CFA EVE, du groupe OpenSourcing et de l’ANDRH Essonne a conduit trois études sur un échantillon représentatif d’un peu plus de 1 000 salariés français, en 2016, 2018 et 2023. Ces études montrent : 1. Un rapport global des salariés au numérique positif, 2. Le développement de pratiques numériques autonomes par l’existence de figure comme le salarié Self-RH et le salarié agile.
BAUDOIN Emmanuel - IMT Business School |

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L’industrie française consomme un quart de l’énergie du pays, et les entreprises doivent produire plus durablement sans perdre en compétitivité. Chaque achat industriel influence directement la consommation d’énergie, d’où le rôle stratégique de la fonction Achats. Mon étude, menée auprès d’experts et de professionnels, montre des freins persistants : travail en silos, faible culture énergétique et priorité donnée au prix plutôt qu’à la performance. Cinq leviers clés émergent : former les acheteurs, créer une gouvernance commune, intégrer un critère énergétique dans les achats, co-innover avec les fournisseurs et aligner les objectifs internes. Les Achats deviennent ainsi un acteur central de la transition énergétique et de la performance industrielle de demain.
RONDEAU Justin - IAE Lille |
La résistance désigne l’ensemble des comportements et pratiques par lesquels des personnes s’opposent, ralentissent ou contournent un changement. Elle peut être individuelle et collective et prendre des formes publiques (grèves, manifestations, refus ouverts) ou subtiles (désengagement, contournement des règles), ces dernières étant aussi qualifiées d’infrapolitique. Bien que souvent perçue comme un obstacle pour l’entreprise, cette résistance n’est pas systématiquement négative : elle peut révéler des dysfonctionnements, apporter des pistes d’amélioration grâce aux retours terrain, ou proposer des alternatives. Ce phénomène complexe est dès lors un enjeu central pour les organisations.
LOBBEDEZ Elise - NEOMA Business School |
Une marque blanche est un produit ou service conçu par une entreprise puis vendu par d’autres sous leur propre nom. Cette stratégie permet de proposer des produits similaires à des prix différents, visant des segments de clients variés. Elle facilite aussi l’extension de gamme en permettant de lancer rapidement de nouveaux produits sans lourds investissements en R&D. Les entreprises réduisent ainsi leurs coûts de production et leurs risques commerciaux, tout en profitant des économies d’échelle des fabricants. En revanche, elles ont moins de contrôle sur la qualité, dépendent fortement de leurs fournisseurs et doivent redoubler d’efforts pour se différencier. Des risques réglementaires existent également, car les lois varient selon les marchés.
BOUCHER Ronald - ISTEC Business School |
Prix EFMD FNEGE 2025 du Meilleur Ouvrage de Management – Catégorie puvrage de recherche collectif Prix Syntec Conseil du Meilleur Ouvrage de Management L’ouvrage examine les interactions entre la science et l’industrie à travers la notion de double impact, c’est-à-dire la capacité à produire à la fois des avancées scientifiques majeures et des innovations technologiques disruptives. Il met en lumière les leviers permettant de favoriser ces synergies, notamment par le transfert de connaissances, la coopération entre chercheurs et industriels, et des politiques d’innovation adaptées. L’objectif est de construire un écosystème où la recherche fondamentale et l’innovation industrielle se renforcent mutuellement au service du progrès économique et sociétal.
PLANTEC Quentin - TBS Education |

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