Enseigner à distance, ce n’est pas enseigner comme en classe à travers une webcam. Le contexte n’est pas le même, et notamment il manque plusieurs points clés : la situation de groupe n’est pas existante de facto (il va falloir la construire), la co-présence du professeur, l’attitude physique de l’étudiant, le contexte de la salle de classe (dans laquelle l’étudiant apprend depuis plus d’une décennie). Il n’est donc pas possible de faire comme en classe…
Avec un en plus un équilibre à trouver car il convient d’éviter les excès d’activités pédagogiques (par peur de ne pas occuper suffisamment les étudiants) ou au contraire la sous-activité. Dans un cas comme dans l’autre cela nuira à l’expérience d’apprentissage.

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Antony, together with his colleagues from NEOMA, presents research conducted with the University of Bristol on how international companies choose countries for sourcing. The concept of "country risk," once focused on economic conditions and political stability, now includes three major sociopolitical factors: populism, which creates regulatory uncertainty; state fragility, which affects suppliers’ ability to deliver; and checks and balances, which can limit but not always prevent political drift.
The study, covering 1,300 U.S. companies and their suppliers in 90 countries, shows that these factors directly influence sourcing decisions. Examples like Samsung and H&M illustrate this shift toward countries perceived as more stable. In conclusion, companies must strengthen their geopolitical monitoring to anticipate risks and secure their supply chains.
PAULRAJ Antony - NEOMA Business School |
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