This study examines the association between zombie firms and their environmental and social performance. Using a global dataset of listed firms from 49 countries between 2002 and 2019, we find that zombie firms perform poorly on environmental and social responsibility fronts. This finding supports the argument that zombie firms are characterized by consistent losses and that their existence is risky without external support. Zombie firms, while struggling for survival, may not be able to undertake environmental and social activities that require huge investments, thus falling behind other firms. Further analysis highlights that eco-innovation, the presence of a sustainability committee, and industry nature (i.e., heavily polluting industries) mitigate the negative impact of firms’ zombie status on their environmental and social performance. Moreover, a zombie firm’s engagement in environmental and social activities improves its financial performance. Our main findings are robust to a battery of estimation techniques, alternative proxies, selection bias, and endogeneity issues.

03:08
Cette recherche vise à mieux comprendre : le contenu des échanges entre les membres afin de déchiffrer la nature de leur haine, la structure organisationnelle et sociale en place afin d'identifier les jeux d'influence et la force des liens entre les membres, ainsi que l'intensité de la haine des membres et les comportements correspondant à chaque niveau. Une approche netnographique a été mise en œuvre au sein de deux communautés virtuelles françaises anti-marques. Au total, 1 000 verbatims provenant de chaque communauté ont été analysés. Au-delà de la catégorisation des publications des membres en quatre catégories, basée sur les travaux de Fetscherin (2019) et Granovetter (1973), nous mettons en évidence, d'une part, un nouveau niveau de haine (haine figée) qui se traduit par des grognements silencieux et, d'autre part, que la force des liens sociaux dépend du secteur d'activité de la marque ciblée. L'intérêt fondamental de cette recherche réside dans sa capacité à démontrer que les communautés virtuelles anti-marques s'auto-organisent, développant une forme de propagande qui favorise la haine des membres envers la marque, mais aussi la solidarité entre eux pour compenser les défaillances de la marque. Par ailleurs, ces communautés pourraient agir comme des lanceurs d'alerte et appeler les pouvoirs publics à contraindre les entreprises à améliorer la qualité de leurs services.
BUFFAZ Pierre - EDC Business School |
- Recherche
- Marketing, Vente et Communication, Transformation Digitale
