Qu’est-ce que l’Open Data ?

421 vues

Partager

L’open data né dans les années 2000 au Royaume-Uni et aux Etats-Unis; est un mouvement de libre partage des données publiques encadré en France par la loi pour une République numérique de 2016.

L’open data détient un important potentiel économique et démocratique, permettant l’innovation, la transparence et le développement de nouveaux services, notamment en synergie avec l’IA, l’IoT et la blockchain.

Malgré les défis comme l’interopérabilité des données, les coûts de mise en œuvre et les risques liés à la vie privée, l’open data permet de répondre à des enjeux majeurs comme le changement climatique, la santé publique et l’éducation.

Mots clés

Vidéos de la même institution

03:16
Le risque de change est le danger financier lié aux variations des taux entre devises, affectant entreprises, investisseurs et particuliers dans leurs transactions internationales. Il peut impacter les revenus, les investissements ou les remboursements de prêts selon l'évolution des monnaies. On distingue le risque de transaction, de conversion et économique. Sa gestion repose sur des mécanismes internes (facturation, netting) ou externes (contrats à terme, options), avec un équilibre à trouver entre coût et protection.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
07:29
En 2025, l’actualité des entreprises européennes a été marquée par la publication des premiers rapports sur la durabilité. En effet, la directive européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), relative à la publication de l’information extra-financière par les entreprises est entrée en vigueur en janvier 2024. La directive devrait concerner à terme près de 50 000 entreprises européennes. L’intégration des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la gestion des risques en entreprise a le potentiel de transformer les systèmes d’information de gestion des risques (SIGR) d’un outil de gestion réactif en une approche holistique proactive qui favorise une meilleure appréhension des risques. De l’efficacité des SIGR dépendra la pérennité des entreprises et leur résilience face aux chocs et aux ruptures.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
04:12
Le budget participatif, né en 1989 à Porto Alegre, vise à associer les citoyens à la démocratie locale. Il s'est développé en France, passant de 5 expérimentations en 2014 à 440 en 2024. Il favorise l’implication citoyenne et le dialogue avec les élus dans la mise en œuvre de projets publics. Une étude exploratoire révèle des perceptions contrastées : enthousiasme pour son potentiel démocratique, mais frustration liée au suivi des projets et au manque de clarté des sélections. Des recommandations incluent une meilleure gouvernance, plus de transparence et une inclusion élargie.
CHASSY Angélique - EM Normandie |
02:35
Emerging technologies offer endless opportunities for businesses and consumers. However, they also pose challenges in terms of adoption and use. It is essential to find a balance between technological innovation and human interaction. Businesses also need to deal with the misuse of these technologies (e.g., misleading advertising) and ensure ethical use.
ZAMAN Mustafeed - EM Normandie |

Vidéos de la même thématique

Les politiques publiques sont souvent conçues selon une logique « top-down », où l’État décide et le terrain applique. Mais pour l’entrepreneuriat innovant, cela ne suffit plus. Il faut aussi une dynamique « bottom-up », qui vient des entrepreneurs eux-mêmes. L’enjeu est donc d’articuler ces deux logiques. La French Tech, lancée en 2013, en est un exemple. Pensée par l’État, elle est portée localement par les entrepreneurs qui y participent activement. En dix ans, le nombre de start-up a fortement augmenté, malgré des limites. Ce modèle montre que l’efficacité d’une politique dépend autant de sa conception que de l’engagement du terrain. C’est cette coopération entre État et entrepreneurs qui rend une politique réellement vivante, utile et durable.
GOMOT Timothée - IAE Paris-Est |
CHABAUD Didier - IAE Paris-Sorbonne Business School |
Cette vidéo présente les travaux de Quentin Plantec (TBS Education), menés avec Pascal Le Masson et Benoît Weil (Mines Paris – PSL), sur un enjeu stratégique : repenser les relations entre science et industrie à l’heure des grandes transitions. À partir de l’ouvrage Science et industrie à l’aune du double impact, elle introduit un nouveau modèle de collaboration : le couplage à double impact simultané. Rompant avec la logique de transfert linéaire, ce modèle propose une co-émergence des percées scientifiques et des innovations industrielles. Fondé sur la théorie C-K et illustré par des cas emblématiques (prix Nobel, ARPA-E, CIFRE…), il souligne les conditions de cette dynamique : indépendance, échanges intenses, et complémentarité des logiques. La vidéo propose ainsi une nouvelle lecture des relations science-industrie, au service d’un impact à la fois scientifique et sociétal.
PLANTEC Quentin - TBS Education |
Cet article propose un agenda de recherche sur les stratégies internationales des entreprises combinant innovation et développement durable face aux menaces globales comme le changement climatique. À travers une revue systématique de la littérature, nous identifions les tensions organisationnelles majeures : court terme contre long terme, standardisation contre adaptation locale, et collaboration contre concurrence. L'article appelle à approfondir les recherches sur la gestion de ces tensions et leurs impacts sur l’innovation et la transformation organisationnelle. Il recommande aussi une approche multiniveau intégrant les acteurs internes et externes, et insiste sur l'importance d’études qualitatives pour comprendre les dynamiques décisionnelles et interculturelles.
BOLLINGER Sophie - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
NEUKAM Marion - Faculté des Sciences Economiques et de Gestion |
La gouvernance multi-acteurs et multi-niveaux désigne un mode de gestion des politiques publiques et des projets complexes qui repose sur l’articulation entre différents échelons de décision (local, régional, national, voire international) et la coopération entre une diversité d’acteurs publics, privés et citoyens. Contrairement aux modèles de gouvernance centralisés ou cloisonnés, cette approche reconnaît que les défis contemporains – comme la transition écologique ou la gestion des crises sociales – nécessitent une coordination entre plusieurs niveaux d’autorité et une implication active des parties prenantes. Inspirée de Duit et Galaz (2008), elle permet d’articuler des ressources et compétences variées pour répondre à des enjeux complexes. Selon Emerson, Nabatchi et Balogh (2011), elle s’appuie sur des processus et structures collaboratives impliquant divers acteurs au-delà des frontières institutionnelles et sectorielles. Cette gouvernance combine une coopération horizontale, entre organisations d’un même niveau, et verticale, entre différents échelons. Son objectif est de dépasser les logiques cloisonnées, favoriser l’innovation et mieux répondre aux besoins des citoyens.
BERTHINIER-PONCET Anne - LIRSA-CNAM |
MICHELIN Émilie - LIRSA-CNAM |
RIVAL Madina - LIRSA-CNAM |

S'abonner aux vidéos FNEGE MEDIAS