Qu’est-ce que la frustration ?

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La frustration est une expérience émotionnelle négative très courante au travail dans un environnement client qui peut survenir dans diverses circonstances, généralement présentes lorsque nos objectifs sont bloqués, que l’on a un certain degré d’incertitude sur les causes du problème, que l’on pense que cette situation est injuste, et que l’on ne peut pas contrôler les choses. Ce qui se passe une fois que l’on se sent frustré, c’est que l’on peut soit « laisser tomber », soit persévérer, et ce que l’on fait en termes d’actions à entreprendre peut dépendre de facteurs personnels et environnementaux.

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Est-ce que cette situation vous est familière ? Dans certaines entreprises, les salariés connaissent leurs objectifs de l’année… mais quand on leur demande quelles orientations à long terme poursuivent leur entreprise ou quelles valeurs elle défend, ils n’en ont aucune idée. Ces entreprises-là sont en danger… Elles n’ont pas su communiquer et fédérer leurs parties prenantes autour d’une vision stratégique à long terme et autour d’une « mission » ou « raison d’être ».
MICHAUX Valéry - NEOMA |
03:53
Que peut-il se passer dans 5, 10, 15, 20 ou 50 ans ? Est-ce possible de le savoir ? Oui et non ! - Non, il n’est pas possible de savoir avec exactitude ce qui va se passer dans l’avenir tant le monde est incertain aujourd’hui. La prospective n’est pas un art divinatoire. - Oui, il est possible de mener une réflexion rigoureuse pour se projeter dans le futur et identifier différentes hypothèses plausibles d’évolution. On parle de futurs possibles.
MICHAUX Valéry - NEOMA |
03:51
Les capacités stratégiques correspondent aux expertises et aux savoir-faire principaux qu’une entreprise possède. On parle aussi de compétences-clés. On doit cette notion au duo bien connu en management : Hamel et Prahalad dans les années 1990. Mais elle repose sur une longue tradition de recherche en management stratégique qui commence dans les années 1950 avec Selznick et qui se poursuit avec des auteurs clés comme Barney, Teece ou Collis.
MICHAUX Valéry - NEOMA |
03:08
Un problème épineux sera dénoué par une approche collaborative. Aucun individu n’a la réponse et la direction à prendre est incertaine : il incombe alors au leader d’animer une culture expérimentale de l’apprentissage par tâtonnements (« trial-and-error »). Le décideur est alors amené à encourager la prise de risque pour élucider ce qui marche ou ne marche pas.
SANDERS Paul - NEOMA |

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La compétence collective résulte d’une alchimie complexe, et il ne suffit pas de rassembler des compétences individuelles pour y parvenir. Pourtant, les managers ont encore du mal à la considérer, et surtout à la mettre en pratique. Alors, pour la comprendre et la gérer, une image peut aider : construire une compétence collective, c’est comme construire un mur, avec certes des briques, mais aussi des fondations et du mortier.
DEFELIX Christian - Grenoble IAE |
Une entreprise qui veut innover doit forcément se poser la question de ses pratiques de gestion des ressources humaines. Cela a toujours été vrai, mais c’est une prise de conscience qui s’est renforcée ces dernières années. Aujourd’hui, contribuer à la politique d’innovation est un véritable mandat pour les DRH des organisations. La recherche et l’observation des pratiques nous apprennent qu’il y a trois grandes perspectives pour y parvenir.
DEFELIX Christian - Grenoble IAE |
La recherche étudie les facteurs qui déterminent les intentions de migration des talents et examine le rôle des pratiques de gestion des talents au niveau de l'entreprise dans la prise en compte de ces facteurs, l'inversion de la fuite des cerveaux et la gestion des flux de talents. Nous avons constaté que l'influence des facteurs sectoriels et individuels, qui déterminent les intentions de départ à l'étranger, peut être atténuée par les pratiques d'attraction...
LATUKHA Marina - EMLV |
La notion de réflexivité permet d’envisager les questions actuelles de responsabilité de l’entreprise, de gestion de crise, de changements et d’accélérations sociales. Venant du latin reflexivus, à la fois reflet et réflexion, ce concept prendra avec Descartes et Kant le sens des conditions subjectives sous lesquelles une valeur de vérité devient possible.
MAGAKIAN Jean Louis - emlyon business school |

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