Qu’est-ce que la citoyenneté numérique ?

2833 vues

Partager

Le concept de citoyenneté est complexe, multidimensionnel et il peut être appréhendé à différents niveaux. En effet, la citoyenneté peut être vue comme un « statut », celui de citoyen. Ce statut découle à la fois d’une reconnaissance officielle de la part de l’État et d’une acceptation des codes de la communauté par l’individu, autrement dit de ses devoirs, de ses droits et de ses libertés.

Mais la citoyenneté c’est également une attitude, un idéal voire pour certains une vertu qui traduit un engagement, une responsabilité individuelle perçue et assumée vis à vis de la communauté que ce soit dans la prise de décision (lors d’un vote électoral par exemple) ou dans ses comportements au quotidien.

Mots clés

Vidéos de la même institution

04:04
Au sein des écosystèmes entrepreneuriaux (EE), les structures d’accompagnement entrepreneurial (SAE) font face à un renforcement de la concurrence avec l’entrée de nouveaux acteurs. Pour préserver leur attractivité vis-à-vis des porteurs de projets, ces structures doivent renforcer leur légitimité. Pour autant, la question de la légitimité des SAE au sein des EE est absente de la littérature. Pour y répondre, la recherche s’appuie sur la théorie néo-institutionnelle et propose de considérer l’écosystème comme un champ organisationnel. L’article vise à développer une échelle de mesure, en nous concentrons sur les perceptions des entrepreneurs. En se basant sur la littérature et plusieurs études empiriques, nous avons validé une échelle de mesure de la LEE comprenant trois dimensions : utilitaire, existentielle et socio-économique.
MESSEGHEM Karim - Montpellier Management |
04:26
La notion d’écosystème entrepreneurial connaît un fort intérêt dans la littérature mais sa dimension dynamique n’est pas suffisamment prise en considération. Cet article d’inspiration évolutionniste propose de s’appuyer sur le triptyque contexte, structure et dynamique pour comparer les sentiers de dépendance écosystémiques. L’analyse des écosystèmes entrepreneuriaux de Montpellier et de Toulouse révèle deux configurations, l’une politique et l’autre industrielle. Les résultats contribuent à enrichir l’approche des systèmes complexes adaptatifs en proposant une décomposition du sentier de dépendance sous forme de sous-écosystèmes et de séquences. Ils sont utiles pour les décideurs politiques en proposant une représentation dynamique de leurs écosystèmes entrepreneuriaux.
MESSEGHEM Karim - Montpellier Management |
03:01
L’accompagnement entrepreneurial est une pratique qui fait référence à une diversité de méthodes, comme le mentorat, ou de structures, comme les accélérateurs. Il peut être défini comme un processus organisé par une tierce partie, s’inscrivant dans la durée et permettant à un porteur de projet ou un entrepreneur de bénéficier d’une dynamique d’apprentissage, d’un accès à des ressources, d’une mise en réseau, de services et d’une aide à la décision. Caractérisé par une diversité d’acteurs, il peut être vu comme un écosystème. En tant que processus, sa modélisation peut se réaliser à l’aide du modèle LORA (Légitimité Opportunité Réseau Apprentissage).
MESSEGHEM Karim - Montpellier Management |
03:20
L’accompagnement entrepreneurial est une activité sur le court ou le long terme où des jeunes entrepreneur(e)s peuvent bénéficier de l’expérience d’intervenant(e)s experimenté(e)s et d’entrepreneur(e)s accompli(e)s pour le démarrage de leur projet. Avoir recours à de l’accompagnement permet d’être assisté pour les différentes phases de son projet.
SAMMUT Sylvie - Montpellier Management |

Vidéos de la même thématique

Le terme bureaucratie est devenu assez péjoratif, mais on retrouve ses principes derrière d’autres intitulés : démarche qualité, reengineering, workflow et la bureaucratie se cache derrière les progiciels de gestion, la formation des salariés et d’autres démarches qui visent à standardiser les procédés de travail.
NOEL Florent - IAE Paris-Sorbonne Business School |
Si on combine ces différentes dimensions on voit derrière l’autonomie apparaitre une façon de penser le travail un peu différent du travail subordonné ou du travail « facteur de production ». Entre travail prescrit et travail réel, entre autonomie conquise et autonomie requise, entre liberté et contraintes sociales, on voit émerger une nouvelle façon de penser le management : sortir de la contrainte pour laisser les salarier proposer des actions tant que leurs propositions sont créatrices de valeur pour l’organisation. Il s’agit finalement de développer et de capter leur expertise pour l’intérêt de l’organisation tout en accompagnant leur émancipation qui pourrait apparaitre comme la finalité ultime du travail ?
NOEL Florent - IAE Paris-Sorbonne Business School |
L’arrivée des TIC et de l’IA représente un challenge pour les cadres intermédiaires hospitaliers. Ces derniers doivent désormais se consacrer à de nouvelles missions économiques et juridiques informatisées en diminuant leur temps pour leurs missions principales d’interactions et soins auprès des patients. Husser, J., Goujon-Belghit, A. (2024). Nouveaux modes de coordinations hospitalières et de diffusion des savoirs à travers les TIC : le cas du management intermédiaire. Management International, vol(84).
HUSSER Jocelyn - IAE Aix-Marseille Graduate School of Management |
Les facteurs de résilience propres aux petites municipalités reposent largement sur leur capacité à mobiliser efficacement leurs ressources internes et à tirer parti de leur connaissance approfondie du terrain. De l’autre côté, les municipalités de taille moyenne bénéficient d’un équilibre intéressant entre les ressources d’une ville plus importante et une certaine proximité avec la population. Ces municipalités de taille moyenne ont le potentiel de développer des stratégies de résilience robustes et efficaces. Les petites et moyennes municipalités partagent plusieurs facteurs de résilience communs, bien que leur intensité puisse varier selon la taille de la commune. Ces facteurs de résilience, bien que présents dans les deux catégories de municipalités, peuvent varier en intensité. Les principales différences résident dans le degré d’intégration de la culture de gestion de crise, l’accès aux ressources externes et l’intensité de la proximité avec les citoyens.
GNAMM Mats-Benjamin - FNEGE |
JÜLICHER Milena - FNEGE |

S'abonner aux vidéos FNEGE MEDIAS