Partenariats ONG–entreprise et business models

992 vues

Les grandes entreprises sont soumises à des enjeux sociétaux qui menacent leur développement. Pour assurer leur pérennité, certaines décident de développer des partenariats diversifiés avec des organisations non-gouvernementales (ONG). A partir d’une étude de cas approfondie, nous identifions différents types de contributions des partenariats ONG-entreprise à la stratégie d’une multinationale. Au niveau corporatif, ils participent au pilotage des activités stratégiques de l’entreprise, et au niveau business, ils contribuent de façon complémentaire au déploiement des différents modèles d’affaires. Ces résultats permettent de repenser la contribution des ONG à la stratégie de l’entreprise à travers le concept de porte¬feuille de partenariats ONG-entreprise.

Mots clés

Médias de la même institution

03:21
L’avènement du printemps arabe a permis d’accéder à la liberté et à la démocratie, mais il a aussi suscité des réflexions par rapport à l’identité et l’émergence des valeurs conservatrices religieuses et le développement d’un sentiment anti-français. Face à ce contexte en mutation, en l’occurrence la Tunisie, nous avons souhaité tester l’effet du degré de religiosité, de l’ethnocentrisme, compte tenu de l’image du pays d’origine, sur l’intention d’acheter des produits made-in France.
BELAID Samy - EM Normandie |
02:44
Basée sur une recherche quantitative des DSI et des PDG, cette recherche se concentre sur la réputation informatique (RI) des entreprises et son impact sur la performance. Le sujet est intéressant parce que (1) la RI de l'entreprise, mesurée par la capacité perçue de l'entreprise à développer et à maintenir sa réputation en matière de capacités informatiques, pourrait être liée à la performance organisationnelle ; (2) l'identification de nouveaux facteurs de succès informatiques est nécessaire pour mieux comprendre les facteurs antécédents menant à la performance ; et (3) l'importance de la direction et de la réputation doit être davantage prise en compte. Le modèle développé et testé explique plus de 40% de la performance organisationnelle.
DUTOT Vincent - EM Normandie |
03:14
Les décideurs politiques ajoutent régulièrement des ressources pour réduire la congestion sur les routes ou dans les hôpitaux. Pourtant, cela ne réduit pas toujours la congestion. Pour expliquer ce phénomène, nous proposons un modèle de théorie des jeux avec des utilisateurs averse aux pertes. Nous prouvons que la congestion augmente avec le nombre de ressources. Cela crée le dilemme entre faciliter une plus grande demande en ajoutant des ressources ou décourager la demande en réduisant les ressources. L'ajout de ressources réduit la variabilité des temps d'attente ce qui attire les utilisateurs réfractaires aux pertes. De plus, le nombre de ressources n'influence pas seulement le volume de la demande mais aussi sa nature.
LEGROS Benjamin - EM Normandie |
03:08
Une option est un droit d’acheter (call) ou de vendre (put) un sous-jacent à une échéance donnée et à un prix fixé à l’avance, appelé prix d’exercice ou Strike en anglais. Le sous-jacent peut être une matière première, une devise, un taux, une action ou encore une obligation. L’échéance est la date à laquelle s’exerce l’option. Les options peuvent servir comme outils de couverture ou pour spéculer sur la hausse ou la baisse d’un sous-jacent.
LEGROS Benjamin - EM Normandie |

Médias de la même thématique

La stratégie dite “Océan bleu” proposée par W. Chan Kim et Renée Mauborgne, vise à : – s’écarter des marchés encombrés, aux perspectives de croissance limitées, – rechercher des marchés plus rentables, tout en évitant l’affrontement direct avec les concurrents. L’océan bleu est un espace stratégique non exploité, et rentable, car pratiquement libre de concurrence. Kim et Mauborgne nous proposent une méthodologie appelée ERAC, pour : Eliminer, Réduire, Augmenter et Créer de nouveaux attributs.
BESANGER Serge - OMNES Education |
Dans un contexte marqué par des crises successives, des tendances de fond s’imposent durablement. Cette étude identifie 7 tendances majeures et propose aux dirigeants des exemples d’actions concrètes à mettre en place. L’analyse des tendances majeures est comme une boussole qui aide les entrepreneurs à garder le cap du rebond économique dans un contexte de transformations profondes.
EL QAOUMI Kenza - BPI France Le Lab |
La théorie des paradoxes permet de mettre en lumière les tensions liées aux situations et aux injonctions paradoxales auxquelles font face les individus dans les organisations. Elles sont créées par les organisations elles-mêmes et les évènements extérieurs ne font que mettre en lumière des phénomènes internes. Elles ont des effets positifs sur les organisations dans la mesure où elles les aident à rester en alerte et à se développer.
GUYOTTOT Olivier - OMNES Education |
Les stratégies de coopétition consistent pour une entreprise à coopérer avec des concurrents. Si elle peut sembler contre-nature dans une économie de marché fondée sur la concurrence, elle se révèle efficace pour partager des expertises et financer des projets de développement… même si certaines entreprises craignent surtout que la coopétition permette à des concurrents de les copier.
GUYOTTOT Olivier - OMNES Education |

S'abonner aux vidéos