Logistique et Supply Chain
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Laisser-faire, une stratégie pour mieux manager ?
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Laisser-faire, une stratégie pour mieux manager ?

Cette étude vise à évaluer le coût de l’auto-routage des agents dans un système de service avec des clients entrants et sortants. Les agents contrôlent les décisions de routage. En conséquence, ils décident de servir un client entrant ou sortant, ou de rester inactif. Le gestionnaire de système cherche à offrir un compromis approprié entre le choix des agents de servir les clients entrants et sortants en encourageant leurs actions par des paiements linéaires. Il se pose donc un problème de détermination du coût de l’auto-routage des agents, qui peut être interprété comme une variante du problème principal-agent où les efforts des agents sont dirigés vers le choix de leur politique de routage.

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Cette étude analyse 2 986 entreprises d’Amérique latine (2009–2017, base LAIS) pour comprendre comment les collaborations universités–entreprises influencent le lien entre dépenses d’innovation et résultats d’innovation. Les résultats montrent (1) une relation positive entre dépenses et résultats, et (2) un effet modérateur significatif de la collaboration universitaire : à budget équivalent, les entreprises partenaires des universités obtiennent davantage d’innovations. La qualité des partenariats compte autant que leur existence. Implications : structurer la coopération (objectifs, IP), investir dans le capital humain, et mobiliser les ressources académiques comme amplificateurs de capacité.
PLATA Carlos - EM Normandie |
Les entreprises investissent massivement en R&D, mais l’impact reste parfois inégal. Travailler avec les universités aide à passer des idées aux solutions utiles—non seulement via les brevets ou les équipements, mais grâce à la dimension humaine des connaissances. Un langage partagé, des routines simples et un apprentissage conjoint alignent les équipes et évitent les retours en arrière. En co-concevant le cahier des charges, en libérant un peu de temps aux chercheurs et en s’appuyant sur un soutien juridique et de gestion de projet solide, la collaboration avance mieux. Le prestige peut ouvrir la première porte, mais la valeur naît du travail quotidien ensemble : adoption plus rapide, processus améliorés, compétences qui restent dans l’entreprise. Quand les universités reconnaissent et valorisent ces résultats, les partenariats se renforcent. En bref : investir dans la relation qui porte le savoir-faire sécurise et améliore le rendement de la R&D.
PLATA Carlos - EM Normandie |
Tools and metrics for brand equity are proving inadequate in the rapidly evolving digital era. The study proposes a novel approach to Digital Brand Equity metrics. These metrics should not be based solely on social media and current digital indicators. New metrics should incorporate the share of search, digital brand awareness, and digital brand sentiment constructs. The study develops a Digital Brand Equity research agenda and underscores the critical research and policy questions
DAVCIK Nebojsa - EM Normandie |
Le risque de change est le danger financier lié aux variations des taux entre devises, affectant entreprises, investisseurs et particuliers dans leurs transactions internationales. Il peut impacter les revenus, les investissements ou les remboursements de prêts selon l'évolution des monnaies. On distingue le risque de transaction, de conversion et économique. Sa gestion repose sur des mécanismes internes (facturation, netting) ou externes (contrats à terme, options), avec un équilibre à trouver entre coût et protection.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |

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Sustainability depends less on consumer choices and more on how supply chains are structured. Research on Brazil’s beef sector shows that, despite the BRSL initiative to improve sustainability, results fell short. Four types of distance geographical, organizational, cultural, and relational hindered collaboration. These gaps created communication problems and weakened trust among stakeholders. Real progress requires external mediators, such as governments or NGOs, to reconnect the entire supply chain.
SAUER Philipp - NEOMA Business School |
Antony, together with his colleagues from NEOMA, presents research conducted with the University of Bristol on how international companies choose countries for sourcing. The concept of "country risk," once focused on economic conditions and political stability, now includes three major sociopolitical factors: populism, which creates regulatory uncertainty; state fragility, which affects suppliers’ ability to deliver; and checks and balances, which can limit but not always prevent political drift. The study, covering 1,300 U.S. companies and their suppliers in 90 countries, shows that these factors directly influence sourcing decisions. Examples like Samsung and H&M illustrate this shift toward countries perceived as more stable. In conclusion, companies must strengthen their geopolitical monitoring to anticipate risks and secure their supply chains.
PAULRAJ Antony - NEOMA Business School |
Cette recherche analyse la transformation digitale des entreprises industrielles sur le temps long, en s’appuyant sur le cas de l’industrie automobile. Elle montre que la digitalisation, amorcée depuis plusieurs décennies, s’inscrit dans une dynamique historique complexe. L’étude adopte une approche systémique et prospective, révélant six grandes périodes de co-évolution technologique. Elle souligne que la transformation digitale est à la fois continue et marquée par des ruptures, influencée par l’articulation produit-service-processus. L’ouvrage invite à repenser les stratégies digitales avec une approche intégrative, multidimensionnelle et interdisciplinaire, en valorisant l’expérience passée pour mieux accompagner les mutations futures.
FABBE-COSTES Nathalie - IAE Aix-Marseille Graduate School of Management |
Robotic warehouses have transformed logistics, prioritizing speed and efficiency. However, traditional static priority systems often leave low-priority customers facing excessive delays, raising concerns about fairness. This research, based on Invia, a robotic warehouse company, proposes a dynamic priority allocation model to balance efficiency and fairness. By adjusting order priorities over time, this approach ensures that both high-priority and long-waiting low-priority orders receive timely fulfillment. Through stochastic modeling and simulations, we demonstrate that dynamic prioritization reduces delays compared to static and first-come, first-served (FCFS) models. Case studies in e-commerce and healthcare logistics illustrate the broader impact of fairness in automation. As industries increasingly rely on AI-driven decision-making, the balance between efficiency and equity becomes critical. This research challenges the assumption that robotic warehouses should optimize for speed alone and advocates for a future where fairness plays a central role in automated commerce.
YUAN Zhe - EMLV |

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