Les entreprises européennes sont-elles prêtes pour intégrer les risques ESG dans leurs systèmes d’information ?
En 2025, l’actualité des entreprises européennes a été marquée par la publication des premiers rapports sur la durabilité. En effet, la directive européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), relative à la publication de l’information extra-financière par les entreprises est entrée en vigueur en janvier 2024. La directive devrait concerner à terme près de 50 000 entreprises européennes. L’intégration des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la gestion des risques en entreprise a le potentiel de transformer les systèmes d’information de gestion des risques (SIGR) d’un outil de gestion réactif en une approche holistique proactive qui favorise une meilleure appréhension des risques. De l’efficacité des SIGR dépendra la pérennité des entreprises et leur résilience face aux chocs et aux ruptures.
Les entreprises européennes sont-elles prêtes pour intégrer les risques ESG dans leurs systèmes d’information ?
En 2025, l’actualité des entreprises européennes a été marquée par la publication des premiers rapports sur la durabilité. En effet, la directive européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), relative à la publication de l’information extra-financière par les entreprises est entrée en vigueur en janvier 2024. La directive devrait concerner à terme près de 50 000 entreprises européennes. L’intégration des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la gestion des risques en entreprise a le potentiel de transformer les systèmes d’information de gestion des risques (SIGR) d’un outil de gestion réactif en une approche holistique proactive qui favorise une meilleure appréhension des risques. De l’efficacité des SIGR dépendra la pérennité des entreprises et leur résilience face aux chocs et aux ruptures.
Comment utiliser les IA génératives dans l’enseignement supérieur de gestion ?

Les Intelligences Artificielles Génératives (IAG) sont omniprésentes depuis 2023, influençant divers secteurs, y compris l’enseignement en management. L’étude de la Fnege (juillet 2024) révèle leur intégration dans le quotidien des enseignants et des étudiants, qui demande une réflexion urgente sur les pratiques dans l’enseignement supérieur de gestion. Quatre jalons clés sont proposés : informer et sensibiliser les parties prenantes aux avantages et dangers des IAG, établir une charte éthique d’utilisation, repenser les objectifs pédagogiques, et enfin, expérimenter avec soin en évaluant tous les impacts de ces outils pour nos établissements.
Comment utiliser les IA génératives dans l’enseignement supérieur de gestion ?
Les Intelligences Artificielles Génératives (IAG) sont omniprésentes depuis 2023, influençant divers secteurs, y compris l’enseignement en management. L’étude de la Fnege (juillet 2024) révèle leur intégration dans le quotidien des enseignants et des étudiants, qui demande une réflexion urgente sur les pratiques dans l’enseignement supérieur de gestion. Quatre jalons clés sont proposés : informer et sensibiliser les parties prenantes aux avantages et dangers des IAG, établir une charte éthique d’utilisation, repenser les objectifs pédagogiques, et enfin, expérimenter avec soin en évaluant tous les impacts de ces outils pour nos établissements.
Intérêt des récits dans les transformations sociales et environnementales des entreprises privées

Les récits jouent un rôle essentiel dans les transformations sociétales des entreprises en facilitant la projection vers un futur souhaité et en aidant à la prise de conscience des changements nécessaires. Selon Paul Ricœur, les récits sont des vecteurs et des médiateurs de l’imaginaire, rendant le temps saisissable et permettant de se distancier pour mieux comprendre son impact sur le monde. Cependant, bien que les récits puissent inspirer l’action, ils ne garantissent pas de changements structurels profonds. Pour une transformation effective, il est crucial de se concentrer sur des actions concrètes et de s’assurer que les récits restent ancrés dans la réalité et alignés sur des objectifs opérationnels.
Comment l’IA gérérative révolutionne le métier de Web Analyst ?

En 2024, l’intelligence artificielle générative révolutionne la web analyse en automatisant des tâches techniques comme la configuration de balises ou la correction d’erreurs, tout en optimisant la collecte et l’analyse des données. Des modèles comme ChatGPT-4 se démarquent par leur efficacité, mais présentent des limites telles que des données obsolètes ou des résultats imprécis. Bien que puissants, ces outils nécessitent une intervention humaine pour garantir la fiabilité et le contexte des analyses. L’avenir de la web analyse pourrait être marqué par une intégration accrue des LLM dans des outils spécialisés.
Qu’est-ce que l’IA frugale ?

L’IA frugale est une approche visant à développer des solutions d’intelligence artificielle tout en minimisant l’utilisation des ressources. Selon une étude de l’Agence Internationale de l’Énergie (IEA), la consommation électrique des centres de données pourrait dépasser 1 000 térawattheures d’ici 2026, doublant ainsi leur consommation actuelle. Les modèles d’IA, comme ChatGPT, consomment beaucoup d’énergie, avec une requête pouvant utiliser jusqu’à dix fois plus d’électricité qu’une recherche Google classique. Pour contrer cela, l’IA frugale propose des solutions telles que l’edge computing, qui décentralise le traitement des données, et le transfer learning, qui réutilise des modèles existants pour réduire la consommation énergétique. De plus, l’A frugale intègre une réflexion éthique, en évaluant la nécessité et l’impact des usages de l’A, afin de favoriser des technologies durables et responsables. Adopter une IA frugale est essentiel pour rendre l’intelligence artificielle plus écologique, accessible et éthique, tout en répondant aux défis énergétiques posés par l’expansion des centres de données.
Qu’est-ce que l’IA frugale ?

L’IA frugale est une approche visant à développer des solutions d’intelligence artificielle tout en minimisant l’utilisation des ressources. Selon une étude de l’Agence Internationale de l’Énergie (IEA), la consommation électrique des centres de données pourrait dépasser 1 000 térawattheures d’ici 2026, doublant ainsi leur consommation actuelle. Les modèles d’IA, comme ChatGPT, consomment beaucoup d’énergie, avec une requête pouvant utiliser jusqu’à dix fois plus d’électricité qu’une recherche Google classique. Pour contrer cela, l’IA frugale propose des solutions telles que l’edge computing, qui décentralise le traitement des données, et le transfer learning, qui réutilise des modèles existants pour réduire la consommation énergétique. De plus, l’A frugale intègre une réflexion éthique, en évaluant la nécessité et l’impact des usages de l’A, afin de favoriser des technologies durables et responsables. Adopter une IA frugale est essentiel pour rendre l’intelligence artificielle plus écologique, accessible et éthique, tout en répondant aux défis énergétiques posés par l’expansion des centres de données.
Baromètre IA : Entreprises et durabilité

Le baromètre de l’A analyse l’intégration de l’intelligence artificielle dans les entreprises françaises et britanniques et son impact sur la durabilité. Basé sur les réponses de plus de 400 responsables informatiques, il révèle que, malgré les avantages perçus en termes de productivité et de réduction des coûts, des obstacles persistent tels que des contraintes financières et un manque de personnel qualifié. Les entreprises sous-estiment souvent les défis liés aux biais des systèmes d’lA et à la nécessité d’un contrôle humain. Les entreprises britanniques, adoptant une approche « test and learn », semblent plus avancées. Un besoin accru de compétences en lA, en gouvernance des données et en gestion des risques éthiques est identifié. Les entreprises reconnaissent l’importance de l’IA pour l’avenir, mais doivent intégrer pleinement les considérations éthiques et durables dans leurs stratégies.
Baromètre IA : Entreprises et durabilité

Le baromètre de l’A analyse l’intégration de l’intelligence artificielle dans les entreprises françaises et britanniques et son impact sur la durabilité. Basé sur les réponses de plus de 400 responsables informatiques, il révèle que, malgré les avantages perçus en termes de productivité et de réduction des coûts, des obstacles persistent tels que des contraintes financières et un manque de personnel qualifié. Les entreprises sous-estiment souvent les défis liés aux biais des systèmes d’lA et à la nécessité d’un contrôle humain. Les entreprises britanniques, adoptant une approche « test and learn », semblent plus avancées. Un besoin accru de compétences en lA, en gouvernance des données et en gestion des risques éthiques est identifié. Les entreprises reconnaissent l’importance de l’IA pour l’avenir, mais doivent intégrer pleinement les considérations éthiques et durables dans leurs stratégies.