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Digital Brand Equity in the Digital Age
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Digital Brand Equity in the Digital Age

Tools and metrics for brand equity are proving inadequate in the rapidly evolving digital era.

The study proposes a novel approach to Digital Brand Equity metrics.

These metrics should not be based solely on social media and current digital indicators.

New metrics should incorporate the share of search, digital brand awareness, and digital brand sentiment constructs.

The study develops a Digital Brand Equity research agenda and underscores the critical research and policy questions

 

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Cette vidéo présente les résultats d'une recherche sur l'adoption des outils de l'intelligence artificielle générative par les étudiants en sciences de gestion. Menée auprès de 257 étudiants français, l'étude étend le modèle UTAUT 3 (Unified Theory of Acceptance and Use of Technology) en intégrant la confiance, la valeur d'apprentissage et l'autonomisation. Les résultats identifient quatre facteurs clés d'adoption : l'attente de performance, la motivation hédonique, l'habitude et la confiance. Le modèle explique de manière significative l'intention d'usage, d'adoption et de recommandation de ces technologies. L’étude offre des pistes concrètes pour les établissements d’enseignement supérieur souhaitant intégrer efficacement l’IA générative dans leurs pratiques pédagogiques et mieux préparer les étudiants aux environnements professionnels de demain.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |
Cette étude analyse 2 986 entreprises d’Amérique latine (2009–2017, base LAIS) pour comprendre comment les collaborations universités–entreprises influencent le lien entre dépenses d’innovation et résultats d’innovation. Les résultats montrent (1) une relation positive entre dépenses et résultats, et (2) un effet modérateur significatif de la collaboration universitaire : à budget équivalent, les entreprises partenaires des universités obtiennent davantage d’innovations. La qualité des partenariats compte autant que leur existence. Implications : structurer la coopération (objectifs, IP), investir dans le capital humain, et mobiliser les ressources académiques comme amplificateurs de capacité.
PLATA Carlos - EM Normandie |
Les entreprises investissent massivement en R&D, mais l’impact reste parfois inégal. Travailler avec les universités aide à passer des idées aux solutions utiles—non seulement via les brevets ou les équipements, mais grâce à la dimension humaine des connaissances. Un langage partagé, des routines simples et un apprentissage conjoint alignent les équipes et évitent les retours en arrière. En co-concevant le cahier des charges, en libérant un peu de temps aux chercheurs et en s’appuyant sur un soutien juridique et de gestion de projet solide, la collaboration avance mieux. Le prestige peut ouvrir la première porte, mais la valeur naît du travail quotidien ensemble : adoption plus rapide, processus améliorés, compétences qui restent dans l’entreprise. Quand les universités reconnaissent et valorisent ces résultats, les partenariats se renforcent. En bref : investir dans la relation qui porte le savoir-faire sécurise et améliore le rendement de la R&D.
PLATA Carlos - EM Normandie |
Le risque de change est le danger financier lié aux variations des taux entre devises, affectant entreprises, investisseurs et particuliers dans leurs transactions internationales. Il peut impacter les revenus, les investissements ou les remboursements de prêts selon l'évolution des monnaies. On distingue le risque de transaction, de conversion et économique. Sa gestion repose sur des mécanismes internes (facturation, netting) ou externes (contrats à terme, options), avec un équilibre à trouver entre coût et protection.
AJILI BEN YOUSSEF Wissem - EM Normandie |

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L’Eco-score textile fonctionne comme un Nutri-score pour les vêtements : il informe sur leur impact environnemental. Face à une industrie très polluante, cette transparence pourrait transformer nos habitudes d’achat. Notre recherche, menée auprès de 413 consommateurs, teste six niveaux d’Eco-score, de A à E, plus l’absence de score. Les scores A et B améliorent l’image verte et augmentent la volonté de payer plus cher. Les scores D et E la dégradent, tandis qu’un score manquant agit comme un score C, neutre. Un score E provoque aussi un sentiment de culpabilité plus fort. Ne pas afficher de score revient à se priver d’un avantage concurrentiel. Pour les marques, c’est un levier stratégique ; pour les pouvoirs publics, un outil de transparence. L’Eco-score encourage une consommation plus consciente, pas forcément moindre. Reste à voir si le « coût environnemental » prévu par le gouvernement aura le même effet.
CHUNG CHAI MAN Anthony - FNEGE |
BEN DAHMANE MOUELHI Norchène - FNEGE |
BELLINI Béatrice - FNEGE |
Cette recherche explore le vide juridique entourant la biodigitalisation – la création d'êtres humains virtuels hyperréalistes. Basée sur vingt entretiens avec des professionnels de l'IA, l'étude révèle que ce vide législatif génère simultanément une incertitude paralysante pour les entreprises innovantes et des opportunités entrepreneuriales majeures pour les professionnels du droit. Les premiers entrepreneurs du droit à développer des services juridiques spécialisés et dématérialisés pourraient obtenir un monopole temporaire sur ce marché émergent de 527 milliards de dollars.
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |
Cette recherche analyse deux innovations majeures de l'influence commerciale sur les réseaux sociaux : le « Live Match » sur TikTok et l'influence virtuelle sur Instagram. Ces pratiques échappent au cadre législatif actuel et posent des questions éthiques, notamment concernant la protection des mineurs. À travers sept entretiens avec des professionnels de l'influence, l'étude révèle que les marques pourraient jouer un rôle de médiation éthique par leurs politiques de partenariat, établissant des standards là où la régulation fait défaut. Cette recherche met en lumière l'émergence d'un nouvel éthos des marques comme potentielles garantes d'une influence commerciale responsable.
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |
Une étude de notoriété sert à évaluer à quel point une marque est connue et reconnue par un public. Elle distingue la notoriété spontanée (marque citée sans aide) et la notoriété assistée (marque reconnue dans une liste). Ce type d’étude est essentiel pour mesurer la visibilité d’une marque, comprendre sa perception, suivre l’impact des actions de communication et orienter la stratégie marketing. Malgré son importance, une majorité de marketeurs ne connaît pas précisément le niveau de notoriété de leur marque. Des entreprises comme Hermès réalisent ce type d’analyse avant d’entrer sur de nouveaux marchés pour comparer leur image à celle des concurrents.
JAUFFRET Marie-Nathalie - OMNES Education |
AUBRUN Frédéric - OMNES Education |

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