Deux grandes approches de la décision peuvent être trouvées. D’une part, l’approche optimisatrice vise à trouver, grâce à des algorithmes, la meilleure des solutions dans l’ensemble du champ des possibles. Dans cette approche, la décision est donc le meilleur choix dans l’absolu. Le décideur ne joue pas de rôle. D’autre part, l’approche cognitive initiée par H. Simon stipule qu’en raison de limites exogènes et endogène, la rationalité est limitée. Ici la décision se définit comme le choix de la solution la plus satisfaisante parmi les options disponibles au décideur.
Référence :
- Fügener, Andreas and Grahl, Jörn and Gupta, Alok and Ketter, Wolfgang, Will Humans-in-The-Loop Become Borgs? Merits and Pitfalls of Working with AI (July 4, 2021). Management Information Systems Quarterly (MISQ) – Vol. 45 No. 3
- Godé-Sanchez, C., Hauch, V., Lasou, M., & Lebraty, J.-F. (2012). Une singularité dans l’aide à la décision : le cas de la Liaison 16. Systèmes d’Information et Management, 17(2), 9–38.
- Kahneman, D., & Klein, G. (2009). Conditions for intuitive expertise: a failure to disagree. The American Psychologist, 64(6), 515–526. https://doi.org/10.1037/a0016755
- March, J. G. (1991). Décisions et organisations. Editions d’Organisations.