Qu’est-ce-que la conversion en marketing digital ?

119 vues

Partager

La conversion, essentielle en marketing digital, correspond à l’action d’un visiteur accomplissant un objectif clé, comme un achat ou une inscription. Trois éléments sont fondamentaux pour maximiser les conversions : une expérience utilisateur optimisée, avec un site rapide et intuitif comme Amazon; des messages pertinents et personnalisés, soutenus par des pages claires et des appels à l’action efficaces; et enfin, la confiance, renforcée par des avis clients ou des garanties. Des exemples comme Spotify, Booking.com ou Netflix montrent comment simplifier le parcours client ou créer un sentiment d’urgence peut transformer des visiteurs en clients fidèles. Les outils digitaux, tels que les tests A/B ou les heatmans, facilitent ces optimisations. Avec l’intelligence artificielle, des entreprises comme Google et IBM Watson personnalisent encore davantage les expériences, augmentant les taux de conversion. La conversion, bien plus qu’un indicateur, est désormais une méthode clé pour transformer une intention en action concrète.

Mots clés

Vidéos de la même institution

03:01
Le projet de ce Livre Blanc vise à mieux faire connaître les DBA et à obtenir leur reconnaissance par les autorités. Face à la croissance rapide du marché des DBA, souvent marqué par un manque de régulation, le Livre Blanc recommande une communication accrue pour valoriser la rigueur et l'impact du DBA, notamment via des événements ou des prix. Il préconise aussi une certification par des instances légitimes comme le ministère du Travail ou le MESR, afin d'assurer la reconnaissance officielle de la qualité des programmes DBA.
HELFER Jean-Pierre - IAE Paris-Sorbonne Business School |
02:35
La publication de ce Livre Blanc a été rendue possible grâce à une communauté de collègues engagés et malgré la contrainte du temps. Douze établissements ont partagé leur expertise sur les programmes de DBA, mettant en avant leur qualité et leur impact. Ce travail, soutenu par la FNEGE et ses partenaires, donne la parole aux docteurs pour illustrer la valeur de leur parcours.
HELFER Jean-Pierre - IAE Paris-Sorbonne Business School |
02:49
Le Growth Hacking est une méthode centrée sur la croissance rapide des entreprises combinant marketing, innovation et expérimentation agile. Popularisé par Sean Ellis en 2010, il repose sur cinq étapes clés du parcours client : Acquisition, Activation, Rétention, Revenus et Recommandations. Des entreprises comme Airbnb, Revolut ou Spotify utilisent cette approche pour attirer, fidéliser et transformer leurs utilisateurs en ambassadeurs. Avec l'intelligence artificielle, le Growth. Hacking évolue, s'appuyant sur des outils innovants pour optimiser le ciblage, automatiser les tâches et maximiser le retour sur investissement. Cette méthodologie, créative et data-driven, est devenue essentielle pour les entreprises cherchant à accélérer leur croissance.
MERCANTI-GUERIN Maria - IAE Paris-Sorbonne Business School |
03:33
L'inbound marketing est une stratégie qui attire les consommateurs grâce à des contenus pertinents et non intrusifs, au lieu de les solliciter via des publicités agressives. Popularisée par HubSpot en 2006, cette méthode repose sur trois étapes clés : attirer des visiteurs avec des contenus de qualité, engager ces visiteurs grâce à des interactions personnalisées et fidéliser les clients en les transformant en ambassadeurs. Elle utilise des techniques comme le référencement naturel ou SEO, l'automatisation des emails et les landing pages. L'intelligence artificielle renforce son efficacité en rendant les campagnes plus personnalisées et attractives. Cette stratégie durable place le consommateur au centre des actions marketing, tout en offrant aux entreprises un levier puissant pour développer des relations solides et pérennes.
MERCANTI-GUERIN Maria - IAE Paris-Sorbonne Business School |

Vidéos de la même thématique

L'agilité stratégique est une capacité cruciale pour les entreprises qui cherchent à prospérer dans un environnement turbulent et incertain. L’agilité stratégique repose sur trois principales dimensions : - La réactivité stratégique : fait référence à la capacité de revoir et de redécouvrir de nouvelles stratégies, parmi les stratégies alternatives, qui sont mieux adaptées aux changements inattendus. - L’unité collective : est d’une importance cruciale puisqu’elle se base sur la fédération des collaborateurs, considérés comme la pierre angulaire, autour d’un objectif commun. Dans un environnement collaboratif, les employés abordent les problèmes en groupe, remettent en question les hypothèses, explorent les cadres sous-jacents et cocréent des solutions innovantes pour surmonter les difficultés. - La fluidité des ressources : fait référence à la mobilisation et à la réallocation rapide des ressources tangibles et intangibles et à la reconfiguration des systèmes et des mécanismes de l’entreprise afin de répondre aux changements du marché et de saisir de nouvelles opportunités.
CHERBIB Jihene - EDC Business School |
La Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC) vise la neutralité carbone en 2050 et une réduction de 55 % des émissions d’ici 2030, imposant aux entreprises de revoir leurs pratiques. Tous les entrepreneurs doivent intégrer ces enjeux pour se conformer aux normes, innover, financer leurs projets, améliorer leur image et optimiser leurs coûts. L’ouvrage *Entrepreneuriat* (FNEGE Management décarboné, EMS, 2024) propose un cadre théorique et pratique pour initier les étudiants à l’entrepreneuriat décarboné. Structuré en deux parties, il aborde les bases de l’entrepreneuriat, l’impact de l’écosystème, le financement, la création, la reprise et l’intrapreneuriat, avec études de cas, exercices et QCM.
LAMETA Nathalie - FNEGE |
ALEXANDRE Laurice - FNEGE |
Le diagnostic stratégique constitue un préalable fondamental à la conception de sa stratégie, son « bâton de pèlerin », au travers notamment d’outils comme la matrice SWOT ou le modèle des cinq forces de Porter. Néanmoins, ils poursuivent avant tout un objectif de compétitivité économique et éludent les questions sociales, sociétales et environnementales, alors que les premiers effets de la crise écologique ont commencé à se faire ressentir. Se pose donc la question de la pertinence des outils de diagnostic stratégique ou, au moins, s’il ne conviendrait pas de les enrichir afin d’incorporer des parties prenantes étendues à la société civile et à l’environnement. Nous nous sommes ainsi intéressés à trois voies d’incorporation de ces parties prenantes externes. Nous avons ainsi discuté la pertinence de généraliser la mise en œuvre de stratégies de RSE, d’encourager l’inscription des entreprises comme sociétés à mission, voire l’adoption de statuts relevant de l’Économie Sociale et Solidaire. Chacune ayant ses avantages mais aussi ses limites, nous concluons à l’intérêt de les mobiliser de manière complémentaire.
MULLER Paul - FNEGE |
En 1966, William Baumol et William Bowen, deux chercheurs américains, s’intéressent au secteur des arts et de la culture, et plus particulièrement au spectacle vivant. Ils constatent alors la très faible possibilité d’obtenir des gains de productivité et une prépondérance des coûts structurels fixes sur les coûts variables. Cette situation crée, à terme, des déficits structurels pour les organisations artistiques et culturelles. Parfois appelée "maladie des coûts", cette situation économique est, de surcroît, aggravée par les exigences sociétales à l’égard des arts et de la culture. Elle sous-estime cependant la capacité d’innovation des organisations artistiques et culturelles ou encore l’exploitation d’activités découlant d’un concert ou d’un spectacle, tels que les produits dérivés. Enfin, ce sont toutes les externalités économiques et non économiques qui ne sont pas prises en compte dans ce modèle.
PLAISANCE Guillaume - IAE Bordeaux |

S'abonner aux vidéos FNEGE MEDIAS